L’ancien chef du gouvernement, Habib Essid s’est exprimé, jeudi 19 novembre 2020, sur les ondes de Radio Med, concernant la situation politique actuelle.
L’ancien chef du gouvernement a souligné que le régime politique « hybride », l’instabilité gouvernementale et les nominations non-étudiées étaient à l’origine de la crise actuelle, estimant que « Les Tunisiens n'ont jamais vécu une telle crise depuis l’indépendance ».
« Le régime politique hybride a engendré des tiraillements entre les parties au pouvoir (...) On aurait dû réformer l’ancienne constitution au lieu de créer une nouvelle législation. Amender la loi électorale sans réformer le régime politique ne permet de résoudre aucun problème », a avancé Habib Essid.
En ce qui concerne le dialogue national, M. Essid estime que ceci n'est pas possible tant que les trois présidences- de la République, du gouvernement et le Parlement- ne sont même pas d’accord entre elles.
I.M.
A cela, il faut rajouter l'impact de la résurgence de nouvelles donnes politiques angoissantes pour certaines parties, qui auront tout à perdre à quitter leur « confort » actuel, et qui seront peut être plus tentées par un naufrage collectif que par un sauvetage qui les clouera au pilori, et verra leur influence réduite à la portion congrue.
le bon Dieu va regler le compte de ce peuple menteur, hypochrite et voyou.
Et nous payerons pour vous sales politiciens, bureaucrates de m***(
Ce sont ces aveugles ingrats envers l'aide divine, qui font le malheur et le pessimisme éternel de la Tunisie francisée. Je le vis de moi-même en Allemagne. Je vous jure que les Allemands sont prêts à changer les portes de leur appartement suivant la mode de l'époque, que de s'acheter un kilogramme de tomates pour bien se nourrir. Ils vivent jusqu'à leur mort, en se nourrissant de tartines, que même nos enfants ne pourraient les accepter. Un plat de couscous à l'agneau, des macaronis au "sardouk arbi", des pois "jelbana" ou des haricots "loubiya" à la viande de chèvre!!!
Mais tu veux les appauvrir, eux dont la bière leur pompe le ventre et la Mercedes leur donne l'allure de riches?
A quand la loi martiale !!
A bon entendeur
Ghost
Ecrit par A4 - Tunis, le 29 Avril 2017
La première a vécu, a fait ce qu'elle pouvait
En partant de nulle part, en partant de zéro
Elle a été écrite dans un style pas mauvais
Par des battants, des guides et de vrais héros
La première a vécu, ça et là trimbalée
A coup de grossières retouches et de mises au pas
A coup de nouveaux décrets très mal ficelés
Fêtés à grandes pompes, à coups de tabla
La première a vécu avant de suffoquer
Avant de rendre l'âme, rejetée, piétinée
Elle a dû renoncer, tout lâcher, abdiquer
Ne supportant plus d'être à ce point malmenée
Puis vint la seconde ... de naissance déformée
Rédigée à la hâte par des handicapés
Aux neurones inexistants ou ... bien abîmés
Aux petites cervelles vides ou ... sous-équipées
Persistons ainsi avec ces textes archi-nuls
Ecrits par des bornés à la vue étroite
Ecrits par des gugusses aux idées ridicules
Qui vont nous découvrir que notre terre est plate
Moi, je la voyais belle, roulant comme un bolide ...
Me voilà dans un tacot sans volant ni frein
Me voilà emporté par des idées stupides
Où hélas personne ne peut décider de rien
Laissons la rouler, la descente est glissante
Elle finira pour sûr, sans illusion ni frime
A la fin de sa folle course harassante
Immobilisée et raide au fond de l'abîme
Il est temps de jeter cette seconde version
Version bancale qui ne tiendra jamais la route
Pour malfaçon et défaut de fabrication
Pour débilité menant à la banqueroute
Vivement la troisième, rédigée par des "chefs"
Loin de tous ces incompétents de populistes
Une constitution n'est pas une simple greffe
C'est une affaire de chevronnés et spécialistes !
Merci aux commerçants de la religion et chapeaux bas surtout pour leur chiens d'adeptes qui s'achètent avec un paquet de biscuit choco...
1. Les Tunisiens n'ont jamais vécu une telle crise depuis l'indépendance.
2. Le régime politique, l'instabilité gouvernementale, et les nominations non-étudiées étaient à l'origine de la crise actuelle.
3. On aurait dû réformer l'ancienne constitution au lieu de créer une nouvelle.
4. Amender la loi électorale sans réformer le régime politique ne permet de résoudre aucun problème.
5. Le dialogue national n'est pas possible tant que les trois présidences ne sont même pas d'accord entre elles.
Mais personne n'entendrait, la pente est si forte qu'il est difficile de s'arrêter! La personne clé de cette catastrophe est le traitre suprême RG.