Bonsoir
Ces des méthodes révolues
Il n'a ni les moyens techniques ni intellectuelles
On est au 21 ème siècle
C'est la cartouche du dernier espoir
Avant le jet de l'éponge
Il faut l'aider à quitter la table on l'ignorant un peu messieurs les journalistes et creuser dans des analyses qui peuvent intéresser les tunisiens merci

Ghannouchi est K S, ils sont de même communauté deux Khowamjia

alors comme ça tu veux fêter ton DOUSTOUR LIMKHAYYIT ALA KIESSKOUM ! et en ligne SVP !! ghanou chien : t'as raison , ta fête est pour bientôt et surtout ne t'en fais pas ELLE SERA BIEN CELEBRER , a en même la majorité des tunisiens organiseront DU BOUMZIOUD ,,,,, les kssikssou et zoghlemi en seront les premières et par magie à danser ! ILLWI YA FOUZDIK .

Vous êtes le malheur de la Tunisie et son peuple, HABIB BOURGUIBA avait raison, dites au peuple tunisien votre ami Medhioub, il est actuellement au Qatar pourquoi faire, je m'adresse à certains où certaines journalistes de businessnews si je mens dites le au peuple tunisien, la guerre civile n'est pas exclue, les américains sont impatients leur rêve bientôt sera réaliser merci ghannouchi et les autres traîtres de la Nation Tunisienne

C'est la même ruse qu'ont utilisée le défunt dictateur déchu Bourguiba et ses régionalistes, avec l'abolition du "Habous" en Tunisie, afin qu'ils s'emparent des propriétés des autres. Depuis des siècles que les Tunisiens musulmans gardaient leurs biens et leurs propriétés invendables, au profit de la survie de leurs descendants. Leur vint Bourguiba et ses acolytes au pouvoir. Ils ont trouvé comment voler les "Habous" à leurs propriétaires millénaires. Ils ont décrété leur loi criminelle de l'abolition des "Habous", en demandant à leurs propriétaires héritiers, de présenter des documents dont les noms de famille, changeaient même par les changements des grades militaires ou des services beylicaux. Caïd Essebsi qui s'occupait des chichas du Bey, pouvait changer de Missions beylicales en "Ouakil", en "Bach Hamba", en "Bachtobbji" ou même en "Chater" etc. Le changement de grade ou de mission, signifiait le changement d'appellation. Ce qu'on appelle aujourd'hui "nom de famille".
Comment pourrait-on donc s'il vous plaît, s'acquérir des documents changeants, d'ascendance de plusieurs siècles, aux époques où il n'y avait même pas de certificats de naissance ni de décès!!!
Une ruse criminelle par laquelle Bourguiba et ses applaudisseurs, ont volé les terres, les immobiliers les propriétés et les biens des autres. Les vrais propriétaires pensaient les avoir immortalisés au profit de leurs descendants par le régime musulman du "Habous". Ils n'ont pas compté avec un tel crime d'escroquerie impardonnable.
Idem avec la Constitution de 2014, qui a été spécialement conçue pour un régime parlementaire moderne, en copie-conforme avec tous les autres régimes parlementaires des pays avancés de l'après deuxième guerre mondiale. Presque toute l'Europe l'utilise, hormis la France et quelques nains des anciens pays communistes de l'Est.
Nous vient le président Kaïs Saïed, qui veut s'emparer du pouvoir, en voulant abolir la Constitution de 2014 ou le "Habous démocratique" de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011, que les Tunisiens ont immortalisée pour leurs nouvelles futures générations.
Si le défunt dictateur déchu Bourguiba, avait abusé d'un peuple tunisien appauvri et analphabétisé par les colonisateurs français, l'actuel président Kaïs Saïed, en a affaire à un peuple tunisien de l'Internet, du portable et de la rapidité de l'information satellitaire.
Allah yostir Tounes.

La prochaine fête sera celle de son retour en Tunisie, celle qui a scellé la décrépitude du pays et la renaissance de ce parti qui n'a aucune compétence pour diriger, sauf celle de s'accaparer du pouvoir et d'assouvir une soif du pouvoir.
Ce gourou est celui qui a détruit l'image du pays et saigné le peuple.
Ce gourou est la plus grande catastrophe arrivée au pays depuis 3000 ans.
Si le pays essuie des problèmes sociaux et économiques, c'est grâce à ce gourou et son parti.

On n'est pas sorti de l'auberge, un qui yitahi et l'autre qui yizakki, le pays balance entre Carthage et Ennahli, des enfantillages de vieux séniles.

On le répète pour la n ème fois, c'est bien dommage que le ridicule ne tue pas.

Il peut se la carrer là où je pense sa constitution.

De déclaration en réaction, il poursuit par le moyen de relais bien disposés en faveur de la mouvance, sa contre-offensive escomptant un rétropédalage chez Kais Saied.
Le pari est hasardeux, même si le chant des sirènes fait croire à un retournement de situation.
Il est vrai, ici en particulier, que les beaux linges des festivités sont sortis des armoires, les tables sont mises, et l'orchestre joue déjà la partition.
Si la musique sonne encore faux, l'espoir de voir la troupe accorder ses violons n'est pas remisé aux calendes...
Je ne voudrais pas casser l'ambiance, ni chagriner nos hérauts, mais il y a loin de la cuiller à la bouche.
Ghannouchi fêtera ses vieilles lunes, et avec la décrépitude de l'islamisme c'est sa fin qu'il voit davantage puisque son avenir l'a laché, et depuis quelque temps son ombre lui fait office de compagnon.
Je fais le pari inverse qu'on pourrait fêter un événement bien plus audacieux bien qu'attend, la mise derrière les barreaux du sénile satrape.
Et, nous verrons bien de qui sera le jour de fête.
De profundis.

En contre partie, il faut lui organiser une fête bien spéciale, à son égard, pour fêter son départ aller simple "fi galbou" dans la pire prison possible, afin de célebrer tout les crimes perpétuer par sa détestable personne!