Le chef du gouvernement, Elyes Fakhfakh a présidé, ce samedi 14 mars 2020, le premier congrès des gouverneurs pour l’année 2020 à Dar Dhiafa mettant l’accent sur la nécessité d’imposer le prestige de l’Etat et l’application de la loi sans exception.
Dans son mot d’ouverture, le chef du gouvernement a assuré que ce congrès s’est tenu en urgence tenant compte du nombre des défis qui attendent ce gouvernement, auxquels s’ajoute celui du Coronavirus (Covid-19) ayant imposé à la Tunisie une situation exceptionnelle.
Dans ce contexte, M. Fakhfakh a insisté sur le rôle des gouverneurs dans leurs régions pour faire face à cette épidémie en adoptant une attitude de proximité avec les citoyens. Il a, également, rappelé les différents défis à relever durant la prochaine période, notamment, la lutte contre le terrorisme, la lutte contre la hausse des prix, la mise à disposition des ressources financières supplémentaires pour le financement du budget de l’Etat outre le défi social tenant compte des tensions sociales observées dans plusieurs régions.
Le chef du gouvernement a ajouté qu’un plan d’action basé sur la clarté a été mis en place à travers une véritable mobilisation, tout en disant toute la vérité aux Tunisiens à propos de la réalité de la situation sur le plan économique et social.
S.H
Mais apparemment le Khrigi est aux aguets...
Le rétablissement du prestige de l'ETAT ne peut passer que par l'abolition de cette constitution débile de 2014 !!!
Sans oublier que ces gouverneurs avec eux toute leur tribu surtout quand il s'agit d'un gouvernorat d'une ville qu'ils suposent inexplicablement plus moderne (alors qu'elle est sale et pleines de gabegies sur tous les plans) et surtout afin de fuir, par complexe maladif, leur ville originelle (exemple celles situées au sud) et s'orienter vers une autre ville comme celles des quatre gouvernorats de (Tunis la tant convoitée et colonisée par les sudistes) qui se ruent comme des criquets pour la coloniser et l'investir (sauvagement) par dizaines de milliers et accentuer ainsi les catastrophes socioéconomique de La Tunisie qui se sont déclenchées en flagrance depuis le 23/10/2011 ( lors du cirque du printemps arabe) pour que le pays tunisien se soumette indignement à s'accorder des prêts colossaux de la part des banques mondiales surtout que le précédent chef de gouvernement n'a pas réussi à contrôler les ordres et les exigences de nahdha et de leur de bande le mafieux ghanouchi, qui a exigé l'accord de ces prêts pour les rémunérations (symboliques) de ses partisans et ce afin qu'ils deviennent ses votants potentiels et qu'il parvienne de sapart à garder le pouvoir à l'aide de ces manigances ; il est de même parvenu par la corruption à devenir incroyablement chef du parlement alors qu'il n'a aucun niveau et aucune expérience.
Les arabes quelle lumière pour le monde !
Toujours des discours pompeux et décalés , mais pour qui?
pour des incultes incultes et ignorants de Bagla Liha et Likoum!!