Le Parlement tunisien a réagi, samedi 6 juin, à des allégations selon lesquelles on aurait dissimulé une correspondance provenant du Parlement libyen basé à Tobrouk et adressé au président de l’ARP, Rached Ghannouchi.
L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a précisé que cette correspondance provenait du président de la Commission des affaires étrangères au Parlement libyen de Tobrouk.
N’étant pas parvenue par « voie officielle », l’ARP a dû consulter le ministère de Affaires étrangères pour s’assurer de l’authenticité du document, lit-on dans le communiqué explicatif du Parlement tunisien.
Le ministère des Affaires étrangères a communiqué sa réponse après que Rached Ghannouchi et son homologue libyen du Parlement de l’est, Aguila Salah, aient convenu d’une rencontre qui s’est déroulée le 8 février en Jordanie, a ajouté l’ARP dans son communiqué.
N.J.
Non, la vérité est que Khriji joue un double jeu: il fait semblant de présider le parlement et parallèlement il continue à agir comme chef de la secte et oeuvre dans l'intérêt de l'islamisme international.
La bêtise des nouveaux politiciens c'est de croire que tout leur est permis et qu'il n'ont pas conscience des dégâts qu'ils causent au Pays.
Dites à mekki de lui préparer une cellule à Errazi. Il sera bien content de rendre ce dernier service à son chei5 ...
Des indices et des déclarations ont été répétés par des politiciens tunisiens sur le désir des Emirats d'abandonner le chemin démocratique tunisien et de classer le mouvement de la Renaissance comme un mouvement terroriste similaire aux Frères musulmans, et en janvier 2019, l'ancien président tunisien Moncef Marzouki a déclaré que les Emirati avaient tenté de renverser le gouvernement tunisien en soutenant certains groupes armés terroristes et en utilisant de l'argent. Médias corrompus et corrompus.
En juillet de la même année (2019), un politicien tunisien et l'un des fondateurs de Nidaa Tounes, Omar Sahabo, a évoqué ce qui peut être considéré comme un problème structurel pour les Emirats avec le chemin démocratique en Tunisie et la crainte d'Abu Dhabi que le modèle tunisien soit au centre de l'attention de ceux qui souhaitent la démocratie en provenance des pays arabes.
Il savoure sa position au perchoir du parlement grâce à qui ?
Eh bien grâce aux traîtres de toutes parts et tout particulièrement des députés du parti de N.Karoui: Kelb's Tounes.
Il est écrit quelque part que la Tunisie est contrainte de passer par une période où le pouvoir doit tomber entre les mains des obscurantistes rétrogrades Khouanjias par le vouloir des députés arrivistes des camps soi-disant modernistes et non par le mérite des islamistes eux-mêmes.
Malheureusement, on craint que le scénario va se répéter dans l'avenir encore et encore...
Qu'est ce que le président du parlement ne comprend pas dans tout ça ?
Mr K. Said devrait taper du poing sur la table et mettre les ponts sur les i avec Mr Ghannouchi , une fois pour toutes !
Quand se décidera t-il ? ça devient un foutoir !
personne n'a confiance en lui. c'est un type dangereux ses yeux montrent bien son fond
mais je ne sais pas qu' est ce qu' ils attendent nos chers députés .
Rien que pour cette correspondance, RG doit être démissionné!
Les derniers évènements donnent, une fois de plus, raison à Mme Abir Moussi dans sa mise en accusation de Khriji (alias Gahhnouchi) quant à son comportement illégal et son non respectueux de l'institution parlementaire.
Cette fois, c'est la députée du Bloc de la Réforme, Nasrin Ammari, qui a levé le lièvre en dénonçant la dissimulation et l'occultation par le président de l'ARP d'une correspondance officielle qui lui a été adressée par le parlement libyen, internationalement reconnu. Au lieu de faire diligence et faire suivre cette correspondance à qui de droit, Khriji l'a occulté et l'a cachée. Il a donc fallu la dénonciation du comportement illégale de Khriji par Mme Ammari pour que l'ARP reconnaîsse le fait tout en mettant en avant des arguments fallacieux qui ne peuvent justifier la dissimulation commise par Khriji.
Ce comportement indigne d'un président du parlement tunisien révèle bien que Khriji se comporte non pas comme un président neutre du parlement, mais comme un vulgaire islamiste militant contre un parlement internationalement reconnu. Khriji a donc occulté et dissimulé une correspondance officielle.
Ces agissements et ces nouvelles révélations nécessitent une procédure de destitution pour illégalité et comportement séditieux. Khriji n'a plus sa place à la présidence et doit démissionner. Ce d'autant plus qu'il vient de reconnaître qu'il a rencontré de manière secrète en Jordanie le président du parlement libyen sans que le parlement tunisien ait été informé, ni au préalable ni de manière posthume.
Trop c'est trop. Le voleur est une fois de plus pris la main dans le sac. Khriji doit démissionner car il constitue une menace pour la paix civile.
Cette réponse est cette de Habib Khedher, il vient de démentir (Comme dab), par ce fameux 'Canal officiel'.
Ma question à Habib Khedher : D'après ta réponse, pourquoi le MAE ne vous a pas répondu du Fév à aujourd'hui ?
***, Mati7chmouch.