Le président de l’Ordre national des avocats de Tunisie, Brahim Bouderbala, a affirmé que le discours du président de la République, Kaïs Saïed, lors de sa rencontre du 20 avril 2022 avec le président du Forum tunisien des droits économiques et sociaux (FTDES), Abderrahmane Hedhili, était le même que celui prononcé lors d'autres rencontres.
Invité le 21 avril 2022 par Myriam Belkadhi sur les ondes de la radio Shems FM, Brahim Bouderbala a considéré que les positions des acteurs politiques étaient dépourvues de toute légitimité. Il a rappelé que les mesures exceptionnelles avaient octroyé le pouvoir législatif au président de la République. Il a expliqué que le peuple était favorable à cela.
Brahim Bouderbala a estimé que le chef de l’Etat était en train de rencontrer les participants au dialogue national d’où l'entretien avec le président du FTDES. Il a expliqué que les réunions précédentes, notamment celles avec l’UGTT et l’Utica, portaient sur la situation socio-économique.
Concernant le volet politique, Brahim Bouderbala a considéré que le président de la République n’avait pas tranché au sujet de la révision de la Constitution ou de l’adoption d’un nouveau texte. Le président de l’ordre des avocats a considéré que la véritable priorité était la révision du système électoral et le régime politique. Il a souligné l’importance de la participation des organisations nationales et des personnalités publiques dans l’élaboration de propositions.
Brahim Bouderbala a estimé que le dysfonctionnement de la justice tunisienne résultait de la complexité des procédures. La législation en vigueur, a-t-il rappelé, oblige le ministère public à se soumettre aux instructions de la ministre de la Justice. Il a mis en garde contre la diabolisation des magistrats. Ces derniers, selon lui, font face à une dégradation de l’infrastructure et au nombre excessif des affaires à traiter.
S.G
... la Tunisie mérite mieux
Un homme de loi qui balance une affirmation sans preuve.C'est grave.
Il n'y a que les urnes qui peuvent répondre à cette question.
Quelle girouette
Quel caméléon
Quelle utilité ou quelle application de cette loi devant l'absence d'accords entre entre l'ORDRE DES AVOCATS TUNISIENS ET LEURS HOMOLOGUES CHINOIS?