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Bassem Trifi : Saïed derrière la non publication du mouvement des magistrats
13/09/2022 | 15:19
1 min
Bassem Trifi : Saïed derrière la non publication du mouvement des magistrats

 

L'avocat et vice-président de la Ligue tunisienne des droits de l’Homme (LTDH), Bassem Trifi a critiqué la non-publication du mouvement des magistrats. Il a rappelé que le 15 septembre marquait la date de la fin des vacances judiciaires, ainsi que celle de la rentrée scolaire. Trifi a expliqué que plusieurs magistrats n'avaient pas encore procédé à l'inscription de leurs enfants au sein d'un établissement scolaire en raison d'une possible mutation.

 

Dans une publication Facebook du 13 septembre 2022, Bassem Trifi a affirmé que le système judiciaire était complètement paralysé. Il a cité les rumeurs évoquant une possible dissolution du conseil provisoire de la magistrature formé par Kaïs Saïed en février 2022. Le vice-président de la LTDH a expliqué que la principale cause de non-publication du mouvement des magistrats était la question des juges révoqués par décret du président de la République. Il a expliqué que Kaïs Saïed refusait de les inclure dans ce mouvement. Pour rappel, 47 d'entre eux avaient obtenu gain de cause auprès du tribunal administratif. La ministre de la Justice avait refusé d'appliquer la décision de la cour et avait même annoncé l'ouverture d'enquêtes judiciaires visant ces derniers.

« La confusion, l'hésitation et le bras de fer dans lesquels nous vivons ne servent personne, mais perturbent plutôt la situation générale et celle de la justice. Vous pourriez laisser tout cela de côté et traiter la question de manière un peu humaine », a-t-il écrit.

 

 

S.G

13/09/2022 | 15:19
1 min
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Commentaires
Jilani
Tout le monde le sait
a posté le 13-09-2022 à 19:07
Rien de nouveau
Ancien '?lu de la république française
ils font tout pour destituer Kaïs Saïed, mes chers compatriotes il faut rester unis derrière Kaïs Saïed
a posté le 13-09-2022 à 18:16
le manque de sucre c'est Kaïs Saïed,le manque d'huile c'est Kaïs Saïed, le manque d'eau c'est Kaïs Saïed, le manque de tout c'est Kaïs Saïed, par contre Kaïs Saïed il n'a pas envoyé des terroristes à l'étranger, il n'a pas envoyé des djihadistes pour tuer les vrais musulmans, il n'a pas vidé la caisse de l'état , il n'a pas distribué de l'argent aux islamistes soi-disant des indemnités, il n'a pas abandonné le peuple tunisien pendant la Covid-19, je m'adresse au peuple tunisien les islamistes, les traîtres , les corrompus et les hommes d'affaires, ils mettent des bâtons dans les roues à Kaïs Saïed pour le faire chuter, je pense que le peuple tunisien a compris vos magouilles, je vous assure la guerre n'est pas exclue, les seuls responsables sont les islamistes, les hommes d'affaires, la majorité des juges corrompus etc
Keffala
Réponse
a posté le à 12:41
Comme il détient tous les pouvoirs il est donc le seul responsable des pénuries en attendant la famine
Houcine
En appeler à un traitement humain ?
a posté le 13-09-2022 à 15:51
Sans doute, tout le monde en conviendrait.
Toutefois, il y manque une condition que notre homme semble négliger, la loi.
Que l'on souscrive ou non aux décisions de Kais Saied, on doit lorsqu'on invoque l'intérêt général en appeler a6 faire prévaloir la loi.
Les magistrats ont entrepris une fronde et semblent persévérer dans leur combat contre les décisions du Président de la République. Ils incluent dans leur répertoire des magistrats que le sus-nommé a déclarés interdits d'exercice.
Et, ils s'étonnent qu'il ne contresigne pas.
Il faut arrêter le théâtre.
Ces juges n'ont pas respecté la loi, ils ne sont pas dignes de la "dire", ni l'appliquer.
Et, leurs collègues inconscients ou obtus l'ignorent aussi.
Et que l'on cesse de toutes parts de nous jouer le numéro de l'outragé quand on sait que furent peu nombreux, en tout cas pas des rangs de ceux qui associent leur voix aux frondeurs, à s'opposer au nettoyage opéré par Bhiri qui reposait non point sur des fautes ou délits, mais sur les présupposées affiliations au RCD.