Dans sa tête, oui. . .
"Est-ce le seul vicieux, il existe aussi beaucoup de vicieuses"
A ce compte-là, tout le monde est vicieux, vous aussi vous êtes vicieux et vous devriez donc vous soigner !
Maxula.
Le collectif Aswat Nissa a lancé le 8 novembre 2019 la campagne « un harceleur ne légifère pas ! ». La campagne appelle les internautes à protester le 13 novembre devant l’ARP, lors de la séance inaugurale, contre « la prise de fonction » du nouveau député Qalb Tounes, Zouhair Makhlouf.
Zouhair Makhlouf a été, en effet, accusé de harcèlement sexuel et d’atteinte aux bonnes mœurs, selon les articles 226 et 226bis du code pénal. Des photos compromettantes avaient circulé sur les réseaux sociaux, le mettant en scène dans une position obscène assis dans sa voiture en partie dénudé, près d’un lycée selon la personne qui a posté les photos.
Il avait comparu le 14 octobre devant le procureur de la République près du Tribunal de première instance de Nabeul. Le procureur de la République avait décidé de le laisser en liberté.
Le député, fraîchement élu, n’a cessé de clamer son innocence expliquant que son diabète l’oblige à faire ses besoins dans l’urgence et que les photos ont été prises alors qu’il urinait dans une bouteille et se mettait une crème antifongique.
A.S
Le collectif Aswat Nissa a lancé le 8 novembre 2019 la campagne « un harceleur ne légifère pas ! ». La campagne appelle les internautes à protester le 13 novembre devant l’ARP, lors de la séance inaugurale, contre « la prise de fonction » du nouveau député Qalb Tounes, Zouhair Makhlouf.
Zouhair Makhlouf a été, en effet, accusé de harcèlement sexuel et d’atteinte aux bonnes mœurs, selon les articles 226 et 226bis du code pénal. Des photos compromettantes avaient circulé sur les réseaux sociaux, le mettant en scène dans une position obscène assis dans sa voiture en partie dénudé, près d’un lycée selon la personne qui a posté les photos.
Il avait comparu le 14 octobre devant le procureur de la République près du Tribunal de première instance de Nabeul. Le procureur de la République avait décidé de le laisser en liberté.
Le député, fraîchement élu, n’a cessé de clamer son innocence expliquant que son diabète l’oblige à faire ses besoins dans l’urgence et que les photos ont été prises alors qu’il urinait dans une bouteille et se mettait une crème antifongique.
A.S