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Asma Shiri : les examens nationaux sont prévus pour le mois de juillet
22/04/2020 | 15:49
2 min
Asma Shiri : les examens nationaux sont prévus pour le mois de juillet
Lors de son passage sur Mosaïque fm, aujourd’hui mercredi 22 avril, Asma Shiri, porte-parole du gouvernement et ministre de la Femme, de la Famille, de l’Enfance, a assuré que la quarantaine ne sera pas levée dans son ensemble : « nous adopterons des procédures de déconfinement par étapes ».
 
Asma Shiri a parlé d’un déconfinement en quatre étapes. Chaque étape durera 15 jours jusqu’au mois de juillet. La première étape est prévue du 4 au 20 mai et concerne certains domaines vitaux, certaines régions et une tranche d’âge bien déterminée.
 
Selon la porte-parole du gouvernement, les nouvelles mesures permettront à quelques domaines de reprendre leurs activités de manière progressive selon des conditions fixées par le gouvernement mais au cas où les conditions du déconfinement progressif ne sont pas respectées, le gouvernement réinsérera les mesures du confinement général.
 
Asma Shiri a assuré que les examens nationaux comme le Baccalauréat, la Neuvième et la Sixième sont maintenus « les élèves et les étudiants concernés par les examens nationaux passeront leurs examens au mois de juillet » 
 
Concernant le domaine du transport, la porte-parole du gouvernement a indiqué que les transports en commun ne reprendront pas normalement pendant la première période jusqu'au 20 mai, mais uniquement en partie, et les transports publics seront dirigés vers les lieux où se trouvent les usines et les entreprises selon des conditions bien spécifiques.
 
A rappeler que le pays vit une crise sanitaire aigue depuis plus d’un mois avec la propagation d’un virus mortel, le Covid-19 qui a obligé la Tunisie à entrer en confinement total depuis le 22 mars et au moins jusqu'au 3 mai 2020. 901 contaminés ont été recensés et annoncés jusqu'au 21 avril courant, sur un total de 18.165 dépistages, avec 170 rétablissements et 38 décès.
 
 
 
 
R.A

22/04/2020 | 15:49
2 min
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Commentaires
Alya
C est vrai que le sujet est très delicat
a posté le 22-04-2020 à 17:05
Le problème est que le baccalauréat tunisien est un examen dit "classant"autrement dit débouchant sur une orientation qui définit la profession future du candidat.Ce n est pas le cas en France ou certes les lauréats sont plutôt conseillés pour la filière a suivre et acceptent les conseils
renardine
La vérité
a posté le 22-04-2020 à 16:39
En mettant en danger la vie des élèves et des enseignants avec aucune garantie pour préserver leur vie,cela dénote de l'ignorance de ce gouvernement qui montre réellement son indifférence .Un gouvernement hypocrite puisqu'il n'est ni concerné par les examens ,ni par la surveillance.Il est derrière son bureau donnant des directives stupides.Il serait plus judicieux de calculer la moyenne des élèves pour leur passage préservant ainsi la vie de ces personnes.Prétextant qu'il y va de la crédibilité du bac.Je pense ,qu'on ne peut parler de crédibilité du bac que quand on est dans des conditions normales.Or on est dans des conditions exceptionnelles ,imposées et anormales puisqu'on est en situation de guerre contre un ennemi invisible et imprévisible ,donc une décision exceptionnelle s'impose.La France qui n'es pas loin de chez nous a décidé la suspension de l'examen du bac et le passage se fera en calculant la moyenne des trois trimestres. Ce gouvernement ne voit que son intérêt qui est matériel et jamais pour préserver la santé de ses concitoyens.Le discours du premier ministre dénote d'un corrompu et d'un hypocrite de premier ordre.Bien sûr pour ne pas tomber en conflit avec ses ministres ,il légitime leur corruption.Ce gouvernement ne fera pas long feu et les mois à venir le confirmeront.
renardine
la vérité
a posté le 22-04-2020 à 16:21
Ce gouvernement est hypocrite :il dit une chose puis son contraire .D'abord sous quelle garantie passeraient-ils les élèves leurs examens? Aucune.Il suffit qu'un élève ait les signes du virus pour arrêter les examens;ces incompétents ne savent rien manoeuvrer.Ils copient sur la France très précisément qui est déjà en ébullition..Je ne pense pas que les enseignants et les élèves vont accepter ces décisions. Ce gouvernement va à sa perte.et je peux vous affirmer que ces décisions ne seront pas appliquées même sous la menace.S'il y aura des morts ,le gouvernement sera tenu pour responsable et doit être jugé.Déjà avec la chaleur ,c'est insupportable et avec une bavette ,c'esr impossible de passer les examens avec une chaleur torride.De plus psychologiquement ,les élèves auront peur:peur d'être infectés.et cela se répercutera sur les résultats.;Le gouvernement n'a que faire puisque ce n'est ni lui qui va passer les examens ,ni lui qui va s'en .