L’ancien porte-parole de la présidence de la République Adnen Mansar a dénoncé, dans un post Facebook daté de ce vendredi 10 juillet 2020, ce qu’il considère comme «une atteinte à la Constitution».
M. Mansar a ainsi expliqué, suite à une réunion tenue à Carthage la veille sous la tutelle du président de la République Kaïs Saïed et présentée comme étant "la réunion du conseil des armées et des dirigeants sécuritaires", qu’il n’existe aucune structure constitutionnelle ou légale portant ce nom.
Et de soutenir qu’il y uniquement deux structures : le conseil de la sécurité nationale (qui englobe les dirigeants militaires, le président du parlement, le chef du gouvernement et toute autre personne que le chef de l’Etat décide d’inviter selon la nature du planning) et le Conseil supérieur des armées (qui englobe uniquement les dirigeants des trois armés, le directeur des renseignements militaires, l’inspecteur général des forces armées et un seul civil le président de la République en tant que chef suprême des forces armées).
Pour lui le chef du cabinet du président n’est membre d’aucun des deux conseils, chacun d’eux ayant son rapporteur et une organisation prévus par la loi. Il fait ici référence à la présence à la réunion de Nadya Akecha, actuelle cheffe de cabinet de la présidence de la République.
Adnen Mansar estime donc que toute décision issue de ce conseil ne peut en aucun cas être engageante pour l’Etat.
I.N
Ces traitres devraient faire un petit saut au TPI.
Il a raison le président, le complot est à côté de Carthage, et l'état est parti en miettes, il ne reste que l'explosion.
Dorénavant, ce qui se passera à Carthage restera à Carthage, la sécurité nationale est le périmètre du président, il fera ce qu'il voudra pour assurer cette sécurité.
Votre Gourou n'en fera plus partie. Yebta Chwaya.