L'économiste et président du cercle des financiers de Tunisie, Abdelkader Boudriga, a affirmé, mercredi 14 décembre 2022, qu’il y a trois grandes guerres dans le monde au niveau économique.
Au micro de Myriam Belkadhi dans l'émission La Matinale sur Shems FM, M. Boudriga a indiqué que la première vise à capter les talents, la deuxième est une guerre de data, d’information et d’indicateurs et la troisième guerre est de se projeter dans l’avenir, prévoir les trends futurs en tenant compte des stratégies des autres pays pour pouvoir se positionner et faire les alliances nécessaires. Trois guerres que nous sommes en train de perdre, selon lui.
Pour lui, il faut mettre en place un programme de rétention des talents : un pays ne pouvant pas avancer sans son élite, notamment sa main d’œuvre qualifiée. En outre, il a souligné la nécessité d’avoir certaines informations pour mettre en place des politiques publiques et les évaluer, ce qui n’est pas le cas de la Tunisie actuellement.
Pour lui, la Tunisie a mal choisi la guerre à entreprendre : le pays a cru qu’il fallait entreprendre une guerre pour la démocratie alors que la véritable guerre était comment sortir d’un modèle économique intermédiaire vers un modèle avancé basé sur l’innovation. Pire, depuis 2011, on a induit en erreur les Tunisiens, en leur expliquant qu’il y a un trésor qu’on leur a spolié et qui leur sera rendu.
I.N
La Tunisie perd ET CONTINUERA DE PERDRE LES principaux défis économiques SANS CE RAPPEL DE CADRE incontournable n en déplaise à Brunette, Boudrogua, les Shems chien.ne.s de garde et autres pierrot de la Lune :
UNE TUNISIE LIBRE ET DEMOCRATIQUE POUR TOUS
REPRESENTATION ET PARTICIPATION DE TOUS A PART ENTIERE
PLUS AUCUN TRAITEMENT ENTIEREMENT A PART
A BAS LE COUP D ETAT DU CAS K.
LIBERTE DIGNITE JUSTICE EGALITE SOUVERAINTE