3 août 1903 naissait Habib Bourguiba, premier président de la République tunisienne. Adulé, haï, aimé, détesté, il a bien marqué son temps et n’a laissé personne insensible. Aussi bien sur le plan national qu’international.
Les nouvelles générations en entendent parler, mais le connaissent mal, voire très mal. Qui est-il et qu’en reste-t-il ? Disons-leur que Habib Bourguiba n’a toujours pas eu de successeur digne de ce nom. Dans un pays, dans une nation, un pareil leader (zaïm), on n’en voit qu’un tous les deux-trois siècles. Qui est Bourguiba et qu’en reste-t-il ? Business News a fouillé dans ses archives et retrouvé cet article rédigé par son ancienne journaliste Nadya Bchir en 2014. Il est plus que jamais d’actualité.
La Tunisie du temps de Bourguiba, on la regrette. Ils sont nombreux à le penser, à le croire et à s’en égosiller. Cet aphorisme confesse dans un silence bavard, une ribambelle de hiatus saillant le pays dans son honneur : l’État ! Cet État que le Zaïm Bourguiba avait construit, après avoir mené la guerre au colonisateur français, a été estropié tout au long des trois années ayant suivi l’avènement du 14-Janvier (…). En ce 119e anniversaire du Zaïm Bourguiba, on ressasse le passé, celui d’une Tunisie moderne, quoique dépeinte en noir et banc. On se souvient de l’émancipation de la femme, de l’éducation pour tous, et d’un État souverain gouverné par celui qu’on appelle le Père de la Nation (…).
Le 20 mars 1956, la Tunisie obtient de la quatrième République française, son indépendance. Habib Bourguiba, en véritable fer de lance du mouvement pour l’indépendance de la Tunisie, s’est évertué à construire, dans une architecture moderne et progressiste, un État. Il mettra fin à la monarchie et proclamera la République. Bourguiba avait misé alors sur l’éducation, la réduction des inégalités entre hommes et femmes, le développement économique ainsi qu’une politique étrangère équilibrée. Plus de 66 ans plus tard, la Tunisie se retrouve, à reculons, à en découdre pour imposer de garder des acquis de l’État. C’est alors, que des batailles se sont déclenchées entre ceux qui prônaient les valeurs modernes et progressistes, et ceux qui prêchent les principes de l’islamisme et sermonnent sur la nécessité de récupérer ce qui a été sciemment égaré par Bourguiba d’abord et Ben Ali ensuite. Cette sphère de la société politique et civile déclinait une conviction intime, celle de la marginalisation de la religion par l’État. Un État proclamé de droits. Un jour, il y a de cela, bien des années, Habib Bourguiba avait prononcé un discours qu’on qualifierait de prémonitoire. Ses mots disaient que la confrontation entre cette sphère des islamistes radicaux et la sphère des modernistes progressistes se fera dans quelques décennies. Ils accuseront leurs « opposés » d’apostasie, ils les renieront et béniront leur marginalisation.
Le Zaïm avait alors attiré l’attention sur ce qui était en germe à l’époque et qui a fini par éclore aujourd’hui. Il s’agit de cette frange du peuple, non moindre, qui par défaut d’éducation assorti de la pauvreté, pouvait être sujette à la manipulation et l’endoctrinement. Selon Bourguiba, l’un des rôles prépondérants de l’État, est de sensibiliser cette frange du peuple, l’éduquer, la rassurer sans pour autant enraciner des craintes et ou des hostilités quant à la religion. L’État doit à ras-bord être orné de la modernité et la progression, et contrairement à ce que véhiculent les obscurantistes, les extrémistes religieux, l’Islam se conjugue à la perfection en tout temps et toute circonstance (…).
Et le Zaïm avait relevé le défi, non par les paroles, mais par les actes comme il aimait à le dire. Aujourd’hui, et depuis la destitution de Ben Ali, la Tunisie s’est dotée d’un président « élu » qui n’a eu de cesse, dans une complaisance inexpliquée et injustifiée, de fourvoyer l’honneur du pays : l’État ! Tout un édifice quasiment annihilé de tant d’incompétences et manque d’égard à la notion et les dispositions de l’État. L’anarchie reconquiert les rues et à plus d’une dimension. Les politiques intérieure et étrangère du pays, dans leurs esthétiques défigurées comme jamais, enfoncent davantage l’État dans un gouffre inhabituel. Nombreux sont ceux qui clament : il n’y a plus d’État en Tunisie. La notion de l’État de droit n’existe plus. Cet État que Bourguiba a construit au travers d’armes humaines et en déclarant avoir construit « quelque chose de solide » avec, n’est plus qu’épaves à présent (…).
Retracer le parcours du Zaïm Bourguiba, enseigne les substances mêmes de la politique et de la gouvernance d’un pays. Préserver le sacré de l’État est un ultime bouclier pour intégrer un pays et son peuple dans la sphère de la modernité, la progression et le développement. Le combattant suprême avait légué un précieux héritage pour les prochains présidents de la République. Car, il n’est guère aisé que d’en être un de haute facture, d’imposante envergure, et de grande âme. Bourguiba en était un. Un véritable parangon pour des successeurs qui pourtant n’ont rien conçu jusque-là et n’entendent pas le faire. Alors que nous nous affranchissons du devoir d’honorer la mémoire du premier président de la Tunisie, de surcroît, en prétendant avoir chassé un tyran ô combien funeste pour préserver l’État et le hisser, nous admirons, tout désarmé que nous sommes, un spectacle des plus désastreux que celui de la destruction de l’État par ses tenants.
En ce 119e anniversaire de Habib Bourguiba, il n’y a qu’un souhait à faire : rebâtir un État fort et infrangible. Un État dont aucune révolte avec ses débauches, ne pourra avoir raison. Faire honneur à la mémoire de celui qui a libéré la Tunisie du colonisateur français, de celui qui a fondé un État et une République modernes, de celui qui se souciait de fédérer tous les Tunisiens, de celui, rare, pour qui l’intérêt suprême de la patrie n’avait rien d’égal, est un devoir national ! Honorons Bourguiba et sa mémoire, et reconstruisons l’État de la Tunisie.
Sans cette éducation (ta'lim), nous n'aurions jamais pu tenir tête aux obscurantistes qui sont les islamistes.
La mort sous la torture de "la Beya" épouse du monarque Lamine Bey et le sort réservé à la famille beylicale et à l'illustre ministre Tahar Ben Ammar, signataire de l'indépendance et patriote exemplaire, sont la parfaite illustration de la maniére dont s'est comporté Bourguiba avec ses opposants!
D'un autre coté, ne s'est il pas approprié tous les beaux rôles et omis, dans "ses contes" de l'histoire de la Tunisie colonisée, de relater le mérite des militants et "moujahidin" dont certains ont fini dans les geôles de la République!? N'a-t-il pas répudié sa première épouse Matilde -qui était une femme battue - et ensuite sa deuxième épouse "al Majida Wassila Ben Ammar" sur un coup de caprice, lui qui s'est proclamé "libérateur de la femme"?
N'a-t-il pas divisé le pays en deux, une partie "gâtée" et l'autre marginalisée.
Bref, les méfaits de la république de Bourguiba sont innombrables, multiples et variées. Il faut manquer d'objectivité pour s'investir de la mission d'être "l'avocat du diable".
L'Histoire est têtue..... Bourguiba, charismatique, politicien chevronné, orateur talentueux, prédateur, arriviste et opportuniste, fût, selon de nombreux historiens, et contrairement à ce qu'il affichait, un dictateur sournois.
( Extrait d'un article de Naoufel B.Aissa, Du Beylicat à la république Bourguiba ) .
Chacun est libre de choisir son idole, mais personne n'est en mesure de maquiller l'histoire ni la falsifier.
Ce que nous endurons aujourd'hui est le résultat fatidique des années galère, dictature sous Bourguiba suivie de celle de B.Ali, assommés par le pouvoir de la secte.
A nous les Tunisiens, tu peux bluffer comme bon te semble. Les âmes de nos Martyrs, te prendront par les sourcils de tes yeux, pour te fourrer dans le fond profond du noyau du soleil, afin que ton âme satanique, y fasse le combustible du soleil.
Les beauf champions dans le déni et la malhonnêteté intellectuelle.
Vous êtes incroyables.
Oui, nous avons hâte d'avoir un zaïm comme Bourguiba.
Ta fourbe mouchi n'a jamais levé le petit doigt pour défendre Bourguiba quand il était mal traité et humilié par votre idole le sanguinaire ben Ali.
Bourguiba, pendant 23 ans a été
assigné à résidence. L'interdiction pour lui de bouger et pour ses proches de le visiter...
Allez va t'amuser ailleurs.
Que de la malhonnêteté et la fourberie les crasseux du rcd.
'?a sent que tu es un "Zarabe" et islamiste.
Nooooooonnnn !!!
Ils te montrent en photo «technicolor», préparée par «Jackomonko» de Paris, à l'époque de la construction des palais présidentiels de la Tunisie. Les yeux verts, la denture bien alignée, le sourire à la «cheese» et le «machmoum fèll», plus grand que le visage.
Les Témoins de Jéhovah, ont leurs propres méthodes pour manipuler les jeunes.
Allah yostir Tounes.
De plus, Bourguiba était si simple et humble : il célébrait essentiellement son anniversaire avec des garçons et des fillettes venant de toute la république tout un mois d'août chaque année. Est-ce que quelqu'un sait s'il y a des dirigeants dans ce monde qui peuvent fêter tout un mois leurs anniversaires ?
K. Saied doit au moins se dépêcher de faire quelque chose de semblable et, surtout, mettre de côté beaucoup d'argent de son vivant ou le faire détourner du budget de l'Etat pour faire construire son mausolée à Mnihla, comme le grand Bourguiba en a déjà créé de son vivant á Monastir.
Et beaucoup ici pensent que Bourguiba n'avait rien du tout ?
..
Arabes..
Bey --> Turque
Bourguiba -->Libyen (traboulsi)
Ben Ali --- > Libyen (Traboulsi)
Mbassa3 ? ca en dit long
Marzouki ---> Marocain
BCE --- > Bosnia
Kaiis S3aied---> BenouHilèli (Benou Said Yemenite)
Toute l´histoire de la Tunisie, mè ijinè Kèn Etta77an Wa Khouh
Ou plutôt, comme je le pense vous seriez tous à soutenir la charia et le terrorisme islamique... Et ce qui me fait pleurer, c'est que même les femmes soutiendraient.
Hamma hammami a fait de même
BOURGUIBA a passé des dizaines d années en prison et en exil et n a rien demandé de dédommagement
'? sa mort il ont rien trouvé à don nom sauf la maison herite de ses parents
Les envahisseurs qui insultent bourguiba allah yarhmou et qui disent défendre les principes de l islam on exige le dédommagement arrivant à ruiné le pays
Quelle différence entre le grands Hommes et les minables
Son fils s'etait enrichit. Wassila....son entourage du Sahel
Bourguiba confondait les caisses de l'Etat avec sa poche.
Bourguiba gouvernait par la corruption.
Il s'était entouré de tous les rapaces, l'essentiel c'est qu'ils l'aide à garder son pouvoir.
Il s'était débarrassé de tous les patriotes.
C'est l'instigateur du système corrompu qui pillé le pays aujourd'hui.
Est presque un prophète
Un vrai musulman
Il ira certainement au paradis
Je l ai vu en sept 1983 lors d'un toast en l'honneur de george buch père encore vis président
Comme quoi je vous laisse imaginer la classe de Bourguiba levant son verre et prononçant la fameuse phrase
Allah yarhmou
Les prophètes ne font pas la manche.
A ce point vous êtes dépourvus de jugeote.
"Inna khalakna elinssena fi ahssani tawkwim thouma radadnehou assfla sefilin".
Avec l'escroquerie islamiste, totalement exogène au fait tunisien, et qui est issue dans sa forme moderne des bureaux de la CIA
Comme disait le si regretté Jacques Berque, une des références idéologiques de l'halluciné des Lumières : " il n'y a pas de nations sous-développées, mais des nations sous-analysées".
Si ce nétaient pas les USA qui ont dégagé la France de l´Afrique du Nord ..
9allou Kifè7 Bou-petit-cou et le pays d´un million de Chèhid Eljazzeir , si ce nétaient pas les USA !
Il faut rendre à Cesar ce qui appartient à Cesar!
Ecrit par A4 - Tunis, le 10 Avril 2009
La boxe est un art, c'est un beau sport d'élite
Elle vous emmène partout, même sur la Galite
Quand vous en êtes mordu, vous ne lâchez plus
Qu'il ait fait mauvais, qu'il ait neigé ou plu
Vous vous accrochez de toutes vos forces
En levant la tête et bombant le torse
Et lui dans cet art, il était excellent
Rusé comme un renard, très intelligent
On peut affirmer sans risque de mentir
Qu'avec ces yeux là, il voyait l'avenir
Avait souvent raison, presque jamais tort
Et était élégant comme un matador
Il avait du courage et je dirais même
Pour certains c'était le combattant suprême
Avec autant de succès et de conquêtes
Ne finit-on pas par avoir la grosse tête?
On a beau esquiver tous les uppercuts
Mais un jour ou l'autre, ça sera la chute!
Hélas, même affaibli, en fin de carrière
Il n'admettait pas de faire machine arrière
Il voulait continuer jusqu'à la mort
Poussé en cela par d'avides sponsors
Qui se souciaient peu des critiques et reproches
Car leur but c'était de se remplir les poches
On entend de nos jours la foule qui l'acclame
Lui qui savait parler surtout aux belles dames
Certains vous diront qu'il n'est jamais parti
Qu'il est toujours là, que sa voix retentit
Qu'ils entendent encore au milieu de la nuit
Le c'?ur endeuillé du bourg qui bat pour lui
Aujourd'hui, demain et même après-demain
Quand je pense à lui, je ne me vois qu'en nain
Tout ce que je peux faire n'est que dérisoire
Comparé à ses combats et ses victoires
Disons-nous tous et répétons-le sans cesse
Il mérite amplement respect et tendresse
Ainsi, Bourguiba se serait trompé de peuple.
Ou ses ambitions furent démesurées en rapport avec l'ambition de "son" peuple.
Au moins, peut-on lui rendre ce qu'il mérite, un hommage raisonnable si l'on admet sa contribution en matière d'éducation, la reconnaissance d'une égalité, fût-elle théorique, pour les femmes.
Et, comme toutes les ambitions, elles se mesurent à l'aune de l'histoire, et ce qui survit à l'homme dans la durée est le meilleur témoignage dans sa vérité contrastée.
Et puis, cette autre contribution et non des moindres qu'est celle d'avoir donné à penser à tous qu'on formait une nation.
Ainsi, ce peuple, ces populations ne furent pas qu'un agglomérat de tribus, de bédouins.
Je crois que c'est une fausse perception que de le croire, puisqu'avec l'école, le service militaire, la diffusion par la radio d'une langue que tout le monde comprenait auront autant fait en faveur d'une inclusion que bien des décrets.
Du fin fond des campagnes, on entendait sa voix, on écoutait ses messages quotidiens, toute une pédagogie qu'on lira chacun selon sa comlkexion et ses préjugés, mais cela donnait à tous le sentiment qu'on avait du commun, qu'on formait un ensemble... un pays.
Naturellement, une bonne part de tout cet édifice aura été détruit par les vrais bédouins, les séparatistes, ceux qui ont dans la tête qu'il existe La Vérité et qu'ils en sont les héritiers et les passeurs.
Bourguiba était d'une autre époque, nourri aux sources des interrogations, des questions où bien formuler la question est bien plus important que les réponses escomptées.
Ce renversement depuis un certain temps, nous introduit à un autre âge. Nous ramène aux temps où il n' y avait qu'une réponse, et que les questions relevaient de l'empire des doctes.
Il faut tendre l'oreille.
Ou encore prêter l'attention nécessaire à ce qui se dit dans les mots, s'écrit dans les lignes.
Eh oui ! Bourguiba fut grand.
Son peuple aussi. De stature comparable.
Regardez aujourd'hui ce qu'il y a de distance entre nos prétendants et ce peuple-là.
Alors, c'est vrai, ils ont aussi détruit le liant qui ambitionna de former nation.
Même cela.
Vive le Bourguiba cultivé.
L'homme civilisé.
Vive ce peuple qui le vit naître et à travers et avec lui se voulait grand.
respecté par tous les dirigeants du monde entier
Seul leader étranger reçu à l'aeroport par j.f Kennedy lui même (du jamais vu à washington)
Stratège visioniste franc adhère la politique des étapes (comme dit le proverbe commencer petit et voir grand)
Il a conduit une grande bataille pour construire la nouvelle tunusie moderne en allouant 30 à 50% du budget à l éducation et la santé
Les khouanjias répètent jusqu'à ce jour qu'il a fermé la Zitouna
Pourtant la vérité c est qu' il a fait modernis la Zitouna en la rendant faculté avec le même staff
Il savait que les fanatiques religieux vont s opposer au plan dd modernisation dd la tunisie car ils étaient les seuls maîtres respectés du pays
Il construit la tunisie de zéro
Il a obligé les parents à inscrire leurs enfants aux écoles en prenant charge vêtement nouritures et fournitures scilaires scolaire et les parents qui ne veulent pas sont jugés
Il etait le seul leader arabe à dire aux palestiniens dd prendre en charge leur destin et accepter la redoltil de partage de l on
Il a été renvoyé de Ariha pour sa franchise et il a été insulté par les chefs du moyen orient
Qui ont subir la dédité et ka perd dd toute la Palestine se sinai et du golan
Allah yarhmou il a prédit que ce pays sera détruit par des gens envahisseurs non patriotes
Ce qui est arrivé cette dernière décennie noire
Pour accéder à la Zitouna c'était une autre pédagogie et un autre concept dont l'état tunisien à été contraint de trouver la solution idoine celle de construire une faculté de théologie en 1970 mais bien sur on ne peut atteindre les possibilités et les dimensions d'une époque propice surtout par les familles conservatrices et riche de savoir en la matière, au niveau d'antan datant de plusieurs siècles de labeur.
Bourguiba en tout ça n'avait aucun rôle et aucune intervention surtout négative pour la culture islamique, que nahdha veut se faire une fausse image qu'elle est concernée par la mosquée Zitouna se trouvant à Tunis la prestigieuse et non pas à h'halmet Gabes de ghanouchi qui n'a jamais mis les pieds à Zitouna ni même à la facultés de théologie de montfleury.
Donc cette question n'a jamais été liée ni à Bourguiba ni à l'indépendance mais surtout au mode de vie des tunisois et des grandes villes acquis depuis la conquête islamique au Maghreb.
Bien sûr l'histoire en Tunisie n'est plus apprise à l'école mais dans les cafés des incultes et escrocs nahdhaouis.
C'est ça qu'il a essayé de nous inculquer, mais que nous n'avons pas toujours compris jusqu'à ce jour.
Hasbona Allah wa niama alwakil fikom
Ils n'arrivent même pas à ses chevilles
Bourguiba a fait son temps et d'ailleurs plus que son temps. Au point de finir renversé par un coup d'état orchestré par son premier ministre et ancien militaire zaba au lieu d'ouvrir le pays a la démocratie.
Anyway ne jugeons pas le passé avec les critères d'aujourd'hui et laissons notre ancien dictateur bien aimé tranquille mais sans le glorifier avec des mensonges tachés avec le sang de ses victimes
La critique est facile mais l'art est difficile comme dit le proverbe mais les faits sont les faits '?'
Or la grandeur des chefs n'est pas dans leur personne, mais dans la mesure où ils servent la grandeur de leur peuple. Quand ce peuple est digne de grandeur, d'ailleurs.
Bourguiba, en tant qu'authentique fils de la Méditerranée, s'est trompé de Peuple, en grande partie
Il a confondu son terreau identitaire et social individuel , en tant que Monastirien, avec le supposé terreau identitaire des steppes arides de l'intérieur du Pays;
Ces steppes, No Man's Land disloqué entre tribus hilaliennes et résidus claniques berbères, n'ont pas d'Histoire; poussières d'oublis et d'abandons successifs, elles n'ont pas de bases civilisationnelles et pas de capacités de projection vers l'Avenir, de construction d'un projet collectif
En éradiquant l'héritage zeitounien qui servait depuis plus de 800 années de liant fragile aux diverses communautés qui peuplaient le territoire tunisien Bourguiba a érigé un décor fantasmagorique en carton-pâte; un décor - oui, un simple décor- qui pouvait servir d'ersatz a la frange littorale du Pays, mais qui en aucun cas ne pouvait servir de récit national et de lien identitaire
Le résultat le voici, en 2002 : la Tunisie est devenue une obscénité bédouine au patrimoine sociohistorique laminé , sans véritable capacité de cohérence et de projection vers un Avenir commun
Imbécilité arrogante, saleté , anarchie, perte du savoir-vivre ensemble, primauté des logiques claniques
Une poussières de zombies errant au soleil
depuis plus de 800 années, torchis
Ton Bourguiba s'est trompé de peuple il voulait gouverner les états-unis dans sa mégalomanie démesuré, il est né Tunisien a sa grande deception ce dont il a honte, il criait sur tous les toit qu'il avait les yeux bleus qu'il n'est pas des notres nous peuple basané, il voulait imiter les blancs occidentaux dans tout raison pour laquelle il voulait nous occidentaliser pour nous travestir en bon gaulois, sauf que ça ne marche pas, notre identité est ancré et il n'a réussi qu'a nous aliéner, il avait raison Ibn khaldun quand il disait que le vaincu imite le vainqueur dans sa façon de vivre et ses habits croyant détenir la force du vainqueur par ce moyen...
La Tunisie est un pays riche en histoire, il faut savoir en déceler le meilleur en elle, ce qui est obscène c'est ton ignorance de la Tunisie et des Tunisiens.
...
Après la révolution, à cause du chien ghannouchi et sa secte ,les malfrats et les déchets du rcd sont revenus au début têtes baissées et en rasant les murs surtout la fourbe ,la taupe des émirats sioniste Unis mouchi.
Le seul moyen pour cette crapule était d'embobiner les résidus des déchets du rcd en utilisant la photo de BOURGUIBA...
Les tunisiens ne sont pas dupes et sont assez rusés comme peuple..
'? chaque élection ils mettent un gros majeur pour mouchi et ses amis....
Un zaim littéraire ?
il n'y aura jamais un autre BOURGUIBA
....
.....
Devant le géant BOURGUIBA
,,,,,De toute façon il est décédé
Khidmet elli maandou khidma
Sa plus grande tare est qu'il n'a pas préparé de dauphin.
Ayant vécu toutes les époques du Zaim jusqu'à Kais, je considère que l'époque de Ben Ali est loin la meilleure de tout les points de vue (économie, sécurité, ...)