Le président de la République, Kaïs Saïed a effectué, mercredi 18 janvier 2023, une visite à l’hôpital de la Rabta à Tunis où il a pu visiter le nouveau service de chirurgie cardio-vasculaire et thoracique et découvrir ses multiples départements et équipements permettant de réduire les délais d’attente pour les opérations chirurgicales.
Le président de la République a échangé avec les chefs de services de l’hôpital à propos de la situation du secteur de la santé et les difficultés rencontrées aussi bien sur le plan des équipements et des moyens que celui des ressources humaines et du départ des compétences à l’étranger à cause des conditions de travail défavorables et du manque de motivation.
Malgré les explications fournies par les professeurs, le président de la République a maintenu les éléments de son discours habituel, indiquant que « la santé n’est pas une marchandise et elle doit être disponible pour tous. Ils n’ont qu’à revenir aux instruments internationaux pour comprendre que le droit à la santé fait partie des droits de l’Homme. Même les fonds, notamment, le Fonds monétaire international, doivent comprendre que la santé n’a pas de prix ».
Les chefs de services ont tenté d’expliquer au président de la République l’importance de la digitalisation pour la réduction de la corruption, mais le chef de l’État a profité de la question pour rebondir en affirmant que la corruption ne peut être éradiquée qu’en éliminant ses causes, « celui qui détient un peu de pouvoir, le transforme en marchandise. Avant, il n’y avait pas autant de corruption. Les gens touchaient des salaires suffisants, maintenant ce n’est plus le cas. Malheureusement, cela est prémédité pour porter atteinte aux services publics. (…) Il ne faut pas que les institutions de lutte contre la corruption deviennent une partie prenante dans la corruption. Il faut plusieurs services de chirurgie dans la lutte contre la corruption ».
Le président de la République a poursuivi son discours en assurant, « ceux qui ont une maladie cardiaque guériront, mais ceux qui ont dans leurs cœurs une maladie ne seront jamais guéris ».
S.H
Au mieux la plus grosse partie de ce coût est supportée par l'Etat et la sécurité sociale ... effort qui tend à diminuer depuis plusieurs années obligeant le patient à dépenser de sa poche des sommes de plus en plus élevées.
Certains s'appauvrissent à cause des dépenses de santé ... d'autres renoncent aux soins.
Voilà un peu de ce qu'un Président doit savoir .
Je suis d'accord avec lui, la santé n'a pas de prix, surtout la santé mentale. Il est pathétique comme toujours. Vivement la fin de ce cauchemar.
https://www.30millionsdamis.fr/actualites/article/21133-origine-du-covid-19-le-virus-provient-il-des-fermes-a-fourrure-en-chine/
Par pitié alors qu'il aille travailler à la Pharmacie Centrale!!
Il pourra expliquer aux fournisseurs de la Tunisie qui attendent encore d'être payé que ce n'est pas grave et qu'ils envoient quand meme des médicaments LOL LOL
Mais il va se reveiller un jour On doit payer nos facture avec de l'argent et du travail, pas du blablbalblablablabla !!!!
Nemsia et son système fiscal nécessite un dragage....
Saied lui veut augmenter sans retenue les avantages des corps armés et le budget de la présidence pour sécuriser son pouvoir et accuse en même temps le FMI mais les ignares qui le suivent n'ont pas un cerveau pour réfléchir.
Mais en cette circonstance l'allusion au FMI démontre tout simplement et sans équivoque, une nouvelle fois, qu'il est a coté de la plaque. Dangereusement a coté de la plaque.
Qu'en clair : qu'il ne comprend pas ,ou pire encore, feint de ne pas comprendre la logique du FMI. Surtout, surtout, que c'est la Tunisie qui est allé quémander l'aide du FMI et non l'inverse.
Ce fait a lui seul démontre de manière définitive et je pèse mes mots , l'incapacité de Mr Saed, malgré toute sa bonne volonté, a gouverner la Tunisie dans ce contexte extrêmement délicat et dangereux.
Le pire est que certains croient encore qu'un miracle va avoir lieu et ce monsieur sauvera la Tunisie.