ils n'ont abordé un sujet et aucun mot sur la situation catastrophique de l'économie, et de la sécurité du pays et des citoyens , du chômage, de la santé ... rien
Le conflit d'intérêt qui dominer la réunion...
La réunion qui s’est déroulée au palais de Carthage ce lundi 16 juillet 2018 a vu un clash entre le chef du gouvernement Youssef Chahed et Hafedh Caïd Essebsi, directeur exécutif autoproclamé de Nidaa Tounes.
Une réunion à laquelle assistent le président de la République, le président d’Ennahdha, les SG de l’UGTT et de l’Utica et le chef de cabinet du président de la République.
Durant la réunion, Youssef Chahed a demandé à Hafedh Caïd Essebsi de se taire, parce qu’il n’a pas la légitimité pour parler au nom de Nidaa, tel qu’on l’a connu en 2014. « Tais toi ! Tu n’as pas le droit de parler au nom de Nidaa, c’est quoi ton titre ? », a déclaré le chef du gouvernement qui est également membre dirigeant du parti fondé par le président.
Ce dernier n’a pas réagi après ce recadrage, refusant de soutenir le chef qu’il a nommé et son propre fils.
Un clash qui vient quelques jours après le désaveu cuisant essuyé par Hafedh Caïd Essebsi par la propre instance politique et la présidence du bloc parlementaire.
Quant au reste de la réunion, il n'y aurait rien de nouveau, chacune des parties présentes a campé sur sa position initiale
R.B.H
La réunion qui s’est déroulée au palais de Carthage ce lundi 16 juillet 2018 a vu un clash entre le chef du gouvernement Youssef Chahed et Hafedh Caïd Essebsi, directeur exécutif autoproclamé de Nidaa Tounes.
Une réunion à laquelle assistent le président de la République, le président d’Ennahdha, les SG de l’UGTT et de l’Utica et le chef de cabinet du président de la République.
Durant la réunion, Youssef Chahed a demandé à Hafedh Caïd Essebsi de se taire, parce qu’il n’a pas la légitimité pour parler au nom de Nidaa, tel qu’on l’a connu en 2014. « Tais toi ! Tu n’as pas le droit de parler au nom de Nidaa, c’est quoi ton titre ? », a déclaré le chef du gouvernement qui est également membre dirigeant du parti fondé par le président.
Ce dernier n’a pas réagi après ce recadrage, refusant de soutenir le chef qu’il a nommé et son propre fils.
Un clash qui vient quelques jours après le désaveu cuisant essuyé par Hafedh Caïd Essebsi par la propre instance politique et la présidence du bloc parlementaire.
Quant au reste de la réunion, il n'y aurait rien de nouveau, chacune des parties présentes a campé sur sa position initiale
R.B.H