Pauvre Hugo..il parait que même les Castro disent du mal de vous...enfin selon les biens informés!
ah,j'allais oublier!Hugo:il parait que ton successeur ne vaut qu'un infini pourcentage de l'ex-tartour!Oui,oui Hugo,c'est toujours selon...
A l’actualité cette semaine, l’assassinat de l’écrivain jordanien Nahed Hattar pour avoir partagé sur les réseaux sociaux une caricature de l’au-delà où l’on voit un daechien au milieu de ses houris en train de donner des ordres à Dieu. Après la polémique, suite à ce partage d’une caricature dont il n’est même pas l’auteur, Nahed Hattar a dû se rétracter et présenter ses excuses. N’empêche ! Il sera traduit en justice. Elle n’a rien à faire d’autre la justice en Jordanie que de rendre justice à un bon Dieu qu’on a jugé incapable de se défendre lui-même. Faut-il faire confiance à cette justice qui prétend défendre le bon Dieu ? Nahed Hattar a estimé que oui et allait se présenter devant elle. Le problème, c’est que les défenseurs de Dieu deviennent nombreux et chacun prétend le défendre mieux que tous. L’un d’eux a été plus rapide que les autres. Il a prononcé le verdict et exécuté la sentence avant même que l’écrivain n’entre au palais de Justice. Nahed Hattar est mort, l’honneur de Dieu est sauf ! On ne verra plus de mécréants partager sa caricature ! Le hic, c’est que la caricature n’est pas morte. Celle-ci en particulier. Elle a été bien partagée hier dans les réseaux sociaux et devrait continuer à être partagée ad vitam æternam. Paix à ton âme, Nahed Hattar ! On ne te connaissait pas avant, mais grâce à ton assassin daechien, tu es devenu célèbre dans le monde entier !
La caricature en question sera-t-elle publiée sur Business News ? Non ! C’est une censure vicieuse et silencieuse que nous pratiquons, sans que personne ne la dénonce. Nous censurons un dessin de presse et nul ne crie ou criera au scandale. Peut-être même qu’on nous applaudira ce coup de ciseaux.
La semaine dernière, c’est le film iranien « Mohamed, le messager de Dieu » de Majid Majidi qui a été censuré, alors qu’il devait être projeté dans une salle de cinéma de Tunis. Motif de la censure du film : on y aurait représenté le prophète. Cette décision de censure a été prise par le ministère tunisien de la Culture. Oui, vous lisez bien ministère de la Culture et non ministère des Cultes.
Personne n’a dénoncé cette censure, non plus. Même pas ceux qui prétendent être défenseurs de la liberté d’expression et ennemis farouches de la censure. Ceux-là mêmes qui disaient un jour qu’il vaut mieux laisser ce type de caricaturistes en prison, pour leur sécurité. Ceux-là mêmes qui gesticulaient autour de la censure d’une interview à la télé et font les morts quand on tue un écrivain pour le censurer.
En attendant de se rendre compte que la censure ne résout aucun problème, le partage (discret) des caricatures moquant Dieu et l’islam continue et la vision (en catimini) du film se poursuit. Le public a même augmenté grâce à la censure.
L’autre actualité de la semaine, c’est la publication de la résolution du Parlement européen relative aux relations de l’Union avec la Tunisie. En 70 points, le parlement énonce à la Tunisie ce qu’elle devrait faire et ne pas faire pour obtenir son statut de partenaire privilégié avec l’Europe avec le Plan Marshall pour la sauver qui va avec. Le document est à lire. Le mot révolution est écrit zéro fois, mais le mot liberté est énoncé à treize reprises. Sur les 70 points de la résolution, il y en a cinq relatives aux libertés fondamentales et d’expression.
Vous voulez le développement, vous voulez le Plan Marshall, vous voulez la croissance, vous voulez vous en sortir ? Continuez à censurer et à prétendre être des défenseurs du bon Dieu !
A Kerkennah, une solution à la crise Petrofac a été trouvée. L’accord concerne la régularisation de la situation de 266 chômeurs diplômés, sur une durée de 3 ans, avec un taux de 30% la première année. Le ministre a, par ailleurs, confirmé le financement par Petrofac et l’ETAP, à hauteur de 2,5 millions de dinars, des projets de développement dans la région ainsi que l'amélioration de la situation sécuritaire.
En faisant signer cet accord, Youssef Chahed espère enfin retrouver la paix. Winston Churchill disait : « Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre ».
La première grosse erreur de son prédécesseur Habib Essid a été de signer début 2015, sous la contrainte, un accord abracadabresque avec l’un des syndicats de l’enseignement. Depuis, l’Etat n’a jamais pu imposer ses décisions.
Avec la signature de l’accord de Kerkennah, Youssef Chahed cède devant un collectif de prétendus chômeurs dirigés par un président qui n’en est pas un et devant un parti islamiste radical qui n’a jamais caché son mépris de la loi et sa haine de la République.
Ici et là, on se félicite de l’accord et on moque les médias qui exagéraient la menace du parti islamiste sur l’île. Ils disaient que tout allait bien sur une île où l’on compte des rentiers par centaines (venus d’ailleurs, même pas autochtones) et où il n’y avait aucun agent des forces de l’ordre ! L’île et ses habitants étaient livrés à eux-mêmes, mais tout allait bien, selon les « politologues » patentés par George Soros and co.
Maintenant que l’accord est signé, allez expliquer au reste de la population qu’il y a quelque part à Kerkennah des personnes qui vont obtenir des rentes sans travailler et qu’il y a une entreprise semi-publique qui va essayer de dégager du bénéfice avec une production plus coûteuse et un management plus fragile.
C’est le prix de la paix sociale, pourrait dire Youssef Chahed. Cher Youssef, tu auras payé le prix et tu n’obtiendras pas la paix. Revois ce qu’ont fait les Américains, les Asiatiques et les Européens par le passé. Si cette politique était efficace, cela se saurait ! Le dernier à s’être entêté pour aller contre vents et marées s’appelle Hugo Chavez. Lui est parti sous terre pour laisser son peuple s’entretuer et mourir de faim.
A l’actualité cette semaine, l’assassinat de l’écrivain jordanien Nahed Hattar pour avoir partagé sur les réseaux sociaux une caricature de l’au-delà où l’on voit un daechien au milieu de ses houris en train de donner des ordres à Dieu. Après la polémique, suite à ce partage d’une caricature dont il n’est même pas l’auteur, Nahed Hattar a dû se rétracter et présenter ses excuses. N’empêche ! Il sera traduit en justice. Elle n’a rien à faire d’autre la justice en Jordanie que de rendre justice à un bon Dieu qu’on a jugé incapable de se défendre lui-même. Faut-il faire confiance à cette justice qui prétend défendre le bon Dieu ? Nahed Hattar a estimé que oui et allait se présenter devant elle. Le problème, c’est que les défenseurs de Dieu deviennent nombreux et chacun prétend le défendre mieux que tous. L’un d’eux a été plus rapide que les autres. Il a prononcé le verdict et exécuté la sentence avant même que l’écrivain n’entre au palais de Justice. Nahed Hattar est mort, l’honneur de Dieu est sauf ! On ne verra plus de mécréants partager sa caricature ! Le hic, c’est que la caricature n’est pas morte. Celle-ci en particulier. Elle a été bien partagée hier dans les réseaux sociaux et devrait continuer à être partagée ad vitam æternam. Paix à ton âme, Nahed Hattar ! On ne te connaissait pas avant, mais grâce à ton assassin daechien, tu es devenu célèbre dans le monde entier !
La caricature en question sera-t-elle publiée sur Business News ? Non ! C’est une censure vicieuse et silencieuse que nous pratiquons, sans que personne ne la dénonce. Nous censurons un dessin de presse et nul ne crie ou criera au scandale. Peut-être même qu’on nous applaudira ce coup de ciseaux.
La semaine dernière, c’est le film iranien « Mohamed, le messager de Dieu » de Majid Majidi qui a été censuré, alors qu’il devait être projeté dans une salle de cinéma de Tunis. Motif de la censure du film : on y aurait représenté le prophète. Cette décision de censure a été prise par le ministère tunisien de la Culture. Oui, vous lisez bien ministère de la Culture et non ministère des Cultes.
Personne n’a dénoncé cette censure, non plus. Même pas ceux qui prétendent être défenseurs de la liberté d’expression et ennemis farouches de la censure. Ceux-là mêmes qui disaient un jour qu’il vaut mieux laisser ce type de caricaturistes en prison, pour leur sécurité. Ceux-là mêmes qui gesticulaient autour de la censure d’une interview à la télé et font les morts quand on tue un écrivain pour le censurer.
En attendant de se rendre compte que la censure ne résout aucun problème, le partage (discret) des caricatures moquant Dieu et l’islam continue et la vision (en catimini) du film se poursuit. Le public a même augmenté grâce à la censure.
L’autre actualité de la semaine, c’est la publication de la résolution du Parlement européen relative aux relations de l’Union avec la Tunisie. En 70 points, le parlement énonce à la Tunisie ce qu’elle devrait faire et ne pas faire pour obtenir son statut de partenaire privilégié avec l’Europe avec le Plan Marshall pour la sauver qui va avec. Le document est à lire. Le mot révolution est écrit zéro fois, mais le mot liberté est énoncé à treize reprises. Sur les 70 points de la résolution, il y en a cinq relatives aux libertés fondamentales et d’expression.
Vous voulez le développement, vous voulez le Plan Marshall, vous voulez la croissance, vous voulez vous en sortir ? Continuez à censurer et à prétendre être des défenseurs du bon Dieu !
A Kerkennah, une solution à la crise Petrofac a été trouvée. L’accord concerne la régularisation de la situation de 266 chômeurs diplômés, sur une durée de 3 ans, avec un taux de 30% la première année. Le ministre a, par ailleurs, confirmé le financement par Petrofac et l’ETAP, à hauteur de 2,5 millions de dinars, des projets de développement dans la région ainsi que l'amélioration de la situation sécuritaire.
En faisant signer cet accord, Youssef Chahed espère enfin retrouver la paix. Winston Churchill disait : « Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre ».
La première grosse erreur de son prédécesseur Habib Essid a été de signer début 2015, sous la contrainte, un accord abracadabresque avec l’un des syndicats de l’enseignement. Depuis, l’Etat n’a jamais pu imposer ses décisions.
Avec la signature de l’accord de Kerkennah, Youssef Chahed cède devant un collectif de prétendus chômeurs dirigés par un président qui n’en est pas un et devant un parti islamiste radical qui n’a jamais caché son mépris de la loi et sa haine de la République.
Ici et là, on se félicite de l’accord et on moque les médias qui exagéraient la menace du parti islamiste sur l’île. Ils disaient que tout allait bien sur une île où l’on compte des rentiers par centaines (venus d’ailleurs, même pas autochtones) et où il n’y avait aucun agent des forces de l’ordre ! L’île et ses habitants étaient livrés à eux-mêmes, mais tout allait bien, selon les « politologues » patentés par George Soros and co.
Maintenant que l’accord est signé, allez expliquer au reste de la population qu’il y a quelque part à Kerkennah des personnes qui vont obtenir des rentes sans travailler et qu’il y a une entreprise semi-publique qui va essayer de dégager du bénéfice avec une production plus coûteuse et un management plus fragile.
C’est le prix de la paix sociale, pourrait dire Youssef Chahed. Cher Youssef, tu auras payé le prix et tu n’obtiendras pas la paix. Revois ce qu’ont fait les Américains, les Asiatiques et les Européens par le passé. Si cette politique était efficace, cela se saurait ! Le dernier à s’être entêté pour aller contre vents et marées s’appelle Hugo Chavez. Lui est parti sous terre pour laisser son peuple s’entretuer et mourir de faim.