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Yassine Brahim : Nidaa Tounes doit clarifier ses positions (vidéo)
Le chef du parti Afek Tounes, Yassine Brahim, a indiqué, aujourd’hui, vendredi 30 janvier 2015, sur Mosaïque Fm, que le chef du gouvernement Habib Essid garde toujours la même démarche dans les négociations concernant la composition du prochain gouvernement.
Dans ce contexte, le chef d’Afek Tounes a appelé Nidaa Tounes à clarifier sa position par rapport aux prochaines alliances, « il est nécessaire que Nidaa précise sa vision du gouvernement, soit il veut mettre en place un gouvernement d’indépendants, soit un gouvernement de politiques », a-t-il affirmé.
Concernant la position de son parti vis-à-vis de la participation de l’UPL au prochain gouvernement, M. Brahim a estimé qu’il est préférable que ce parti ne soit pas présent au futur gouvernement, « il est gênant, voire même honteux, de retrouver des noms suspectés de corruption au sein du gouvernement, et qu’on soit obligé de rectifier le tir. Toutefois, si le parti est capable de présenter des compétences pouvant apporter le plus, ils sont les bienvenus », a –t-il conclu.
S.H
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Commentaires (6)
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Affaires de PAYS contre Affaires ENTRE AMIS , et moi et moi et moi ?
abdel
| 31-01-2015 14:10
Accepter toutes les conditions de Yacine Brahim et toutes celles de Hamma Hammami c'est toujours mieux que de s'allier avec les gens de Ennahdha , des démocrates finiront toujours par trouver une SOLUTION ACCEPTABLE POUR LE PAYS alors que avec Enahdha c' est toujours des SOLUTIONS POUR ARRAGER diverses PERSONNES peut etre meme pour arranger des choses pour BCE et Ghannouchi et leurs suites . Sans rancune car c'est ce que je pense au fond de moi meme librement
Parfaitement : pas d'Ennahdha au gouvernement !
Mansour Lahyani
| 31-01-2015 09:57
Faudra-t-il que nous, les opposants à l'entrée d'Ennahdha au gouvernement, descendions dans la rue pour manifester notre irréductible opposition à cette violation du vouoir du peuple qui a voté ? On nous oppose une prétendue vision "réaliste" de la scène politique tunisienne. Faisons le compte : 217 députés à l'ARP, quand on en déduit les 69 nahdhaouis, il en reste combien ? Nous n'avons besoin que de 109 voix pour faire passer le gouvernement : déduisons encore 10 ou 15 "irréductibles" ou "dissidents", il reste malgré tout assez de voix pour donner la confiance au gouvernement qui sera proposé : alors, pourquoi cette entrée forcée d'Ennahdha en dépit de l'opposition des électeurs qui l'ont condamnée par anticipation ?? C'est une violation de la vox populi, quoi qu'en disent les cloportes !!
Pauvres Tunisiens, pauvre Tunisie, tu n'arrives pas à faire respecter ta volonté populaire !!!
Pauvres Tunisiens, pauvre Tunisie, tu n'arrives pas à faire respecter ta volonté populaire !!!
GATEAU CONTRE PAIN SEC ? OU VA T ON COMME CA ?
abdel
| 31-01-2015 06:39
Bravo Yacine , vous avez vraiment RAISON , Nidaa doit clarifier sa position car il donne l'impression qu'il PATAUGE et cherche plusieurs chemins a la fois . Essid a montré ses limites ou plutot n'a pas de personalité" pour décider , il est entraine' comme une '' loque '' par les 3 mousquetaires de Carthage ? J'esper et je souhaite qu' il ECHOUE et qu'il DEGAGE , il n'est pas a la hauteur de la siyuation . Je propose Mr BACCOUCHE a sa PLACE . ET ATTENTION surtout pas Mahdi Jemaa qui a l'air de s' interesser apres son entrevue avec BCE . BCE est fatigu' et meme DEPASSE . BONJOUR CAFOUILLAGE et DISPUTE POUR PARTAGER le GATEAU au moment ou le pauvre citoyen ne TROUVE MEME PAS DU PAIN SEC A GRIGNOTER
Mr Yassine Brabim a raison
hatem jemaa
| 30-01-2015 19:10
Il est de la responsabilité de Nidaa de former la coalition gouvernementale. Ce n'est pas une tâche qui doit être confiée au chef du gouvernement encore moins quand ce dernier n'est pas issu des rangs du parti. La composition de la coalition ainsi que la représentativité des différentes parties qui la constituent doivent être l'aboutissement de négociations entre partis. Le choix des membres du gouvernement est la responsabilité quasi exclusive de son chef qui les désignera parmi les candidats proposés par les partis membres de la coalition et ce conformément aux accords de représentativité établis entre eux.
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