En somme, tout comme l'indigène que vous êtes !
Maxula.
Le syndicaliste sécuritaire Walid Zarrouk a été arrêté, dimanche 16 septembre 2018 dans la soirée, pour extorsion et escroquerie avec une somme de 10 mille dinars en devise en sa possession.
Dans une déclaration accordée à Business News ce lundi 17 septembre 2018, Sofiène Selliti, porte-parole du Tribunal de première instance de Tunis et du pôle judiciaire antiterroriste, a indiqué que le syndicaliste a extorqué la somme de 10 mille dinars en devises d’un citoyen syrien en lui faisant croire qu’il peut l’aider à régler sa situation.
« Contrairement aux rumeurs qui ont circulé, un post publié sur Facebook n’est pas derrière l’arrestation de Walid Zarrouk. Ce dernier a, en effet, prétendu avoir des liens avec de hauts cadres du ministère de l’Intérieur et a exigé d’un citoyen syrien en détresse qu’une somme de 10 mille dinars lui soit versée en contrepartie de son assistance. Zarrouk est actuellement placé en garde à vue et les investigations dans cette affaire se poursuivent », précise Sofiène Selliti.
B.L
Le syndicaliste sécuritaire Walid Zarrouk a été arrêté, dimanche 16 septembre 2018 dans la soirée, pour extorsion et escroquerie avec une somme de 10 mille dinars en devise en sa possession.
Dans une déclaration accordée à Business News ce lundi 17 septembre 2018, Sofiène Selliti, porte-parole du Tribunal de première instance de Tunis et du pôle judiciaire antiterroriste, a indiqué que le syndicaliste a extorqué la somme de 10 mille dinars en devises d’un citoyen syrien en lui faisant croire qu’il peut l’aider à régler sa situation.
« Contrairement aux rumeurs qui ont circulé, un post publié sur Facebook n’est pas derrière l’arrestation de Walid Zarrouk. Ce dernier a, en effet, prétendu avoir des liens avec de hauts cadres du ministère de l’Intérieur et a exigé d’un citoyen syrien en détresse qu’une somme de 10 mille dinars lui soit versée en contrepartie de son assistance. Zarrouk est actuellement placé en garde à vue et les investigations dans cette affaire se poursuivent », précise Sofiène Selliti.
B.L