La palmeraie de Réjim Maatoug a été créée par des hommes. Les dattes produites sont vendues à des prix très intéressants. On peut créer des dizaines de palmeraies semblables; les terres disponibles ne se comptent pas.
L'Etat peut ainsi créer des centaines d'emplois en investissant dans l'exploItation de la nappe phréatique profonde et ce, dans le cadre d'un projet parfaitement étudié. Notre pays regorge d'agronomes hautement qualifiés capables de garantir la réussite de chacune des étapes de réalisation d'un tel projet.
Les nouvelles palmeraies seraient gérées par les jeunes dans le cadre de coopératives de production et de services.
Pour ce qui est des régions du Centre et du Centre-ouest, on n'a qu'à voir le prix de vente du kilo d'amandes ou de pistaches. C'est bien dommage que ça soit les agriculteurs des pays exportateurs qui en profitent. Pourtant les terres domaniales ne manquent pas.
Je connais certains qui se sont enrichis par la culture intensive du cactus inerme.
Le projet doit inclure la recherche de gagnes-pain honorables en attendant que les plantations entrent en production, notamment les cultures maraîchères.
Tout ce qu'il faut c'est des décisions politiques, un encadrement efficient et l'exploitation rationnelle de la méthode participative car la motivation est indispensable