Amel Atoui, journaliste au quotidien arabophone Al Dhamir, a publié sur sa page Facebook une information selon laquelle elle avait été licenciée de son poste pour avoir liké (NDLR cliquer j’aime) une publication postée sur Facebook par l’écrivain Riadh Khlif.
Il s’agit, en effet, d’un post où ce dernier soutient avoir été victime d'un vol de propriété intellectuelle de la part de Jalila Fradj, journaliste, elle aussi, à Al Dhamir.
Selon Mme Atoui, son patron Ridha Ajmi n’a pas du tout apprécié le fait qu’elle ait manifesté, à travers son like, une marque de soutien ou de sympathie pour l’écrivain. « Le conseil de rédaction m’a convoqué pour m’expliquer sur ce like en me disant : Cet homme nous insulte et toi tu l’admires ! » Amel Atoui a ajouté que le patron du journal prétendait qu’il « s’était rétracté sur la sanction de licenciement » tout en justifiant le licenciement par l’arrivée à échéance du contrat de travail « alors que je n’ai signé aucun contrat ».
Commentaires (6)
CommenterContrat
Ingérance dans les affaires personnelles!
ANTI-ISLAMISME (et non pas anti-islam)
L'hopital qui se fout de la charité
MDR!! il y a encore des progrès à faire