Étrangers ou tunisiens de d'étrangers : ne venez JAMAIS à Tunis-Carthage. Les taxis sont violents et voleurs et personne ne vous aideras. L'Espagne c est mille fois mieux pour se reposer et ne pas se faire agresser.
Un diplomate sénégalais aurait été molesté jeudi dernier, 2 juillet 2015, par un policier tunisien, à l’aéroport de Tunis Carthage. Le diplomate s’appelle Ousseynou Fall et il est conseiller en charge des affaires de protocole à l’ambassade du Sénégal à Tunis. L’agression a fait la une de plusieurs journaux sénégalais qui ont dénoncé avec force ce comportement, le qualifiant de raciste.
Contacté par Business News, Mokhtar Chaouachi, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, a indiqué que l’ambassade du Sénégal avait adressé une note dans ce sens au MAE, ajoutant que l’affaire fait actuellement l’objet d’un examen par ledit ministère.
Au sujet des suites à donner à cette note, M. Chaouachi a déclaré qu’il ne pouvait pas, pour l’instant, en dire plus. Toutefois, il a affirmé que le MAE reviendrait vers l’ambassade du Sénégal avec une réponse.
E.Z.
Commentaires (24)
CommenterEvitez l'Aeroport à tous prix, c est dangereux
Étrangers ou tunisiens de d'étrangers : ne venez JAMAIS à Tunis-Carthage. Les taxis sont violents et voleurs et personne ne vous aideras. L'Espagne c est mille fois mieux pour se reposer et ne pas se faire agresser.
honte
Posez vous simplement la question de savoir si oserez en compagnie de votre enfant de 2 ans dans les bras jouer au caid ou agresser des policiers et surtout dans un pays etranger
Quel pere de famille (irresponsable ) aurait ce comportement indigne
La verite est simple ; si ce diplomate etait europeen il n'aurait jamais subi ce sort
Heurseument ce comportement s'il est peut etre majoritaire dans la police tunisienne ne l'est peut etre pas aupres de sa population expatrié en France par exemple
Le racisme n'est que de la betise et de l'ignorance
Lissez si vous voulez, zappez sinon
Ce qu'il faut reconnaitre, c'est que le racisme dans ce pays la Tunisie (comme aussi au Maroc ou la plupart des pays Maghrébins) se manifeste comme suit: jalousie, provocations, insultes, discrimination,agression et attentats. Heureusement que vos attentats vous les orientez vers les Blancos, les Blacks par contre prennent tout le reste.
Faire le ménage: s'il y a un ménage à faire c'est bien au sein de vous même, car sont mêlés terroristes et soit-disant musulmans dans votre pays. A cause de sa pauvreté, le Black il est traité de tous les noms, alors que les faits parlent d'eux mêmes: qui est l'auteur d'attentats au bus piégé? qui est l'auteur d'attentat à la bombe? qui tire sur les etres humains en liberté sur une plage? qui prend en otage des innocents dans une mosquée ou église? qui tire sur des journalistes dans un pays de droit et de liberté? qui s'immole par le feu? Qui fait des attaques terroristes dans des avions en plein vol? Qui s'entretuent à daesh, au yemen,en Syrie, en Afganistan, etc..? C'est bien le Beurre, pas le Black. Donc la barbarie et le manque de civilisation est bien du côté des Beurres et Arabes et non du côté des Blacks. Certes ils sont pauvres, mais ils sont pas barbares et encore moins terroristes.
Tunisie ou Bahamas ?
J'envisageais même à acheter un petit appartement en Tunisie pour souvent y aller passer les vacances, j'encourageais des amis à visiter (soutenir) la Tunisie ; mais ô combien je suis désabusé aujourd'hui des tunisiens. je décourage aujourd'hui l'idée à tous mes amis de s'y rendre (les anglais n'ont plus que leurs yeux pour pleurer). Dans ce pays là, je trouve que le black n'est pas le bienvenu. Ce sont là autant de raison qui ont fait que la BAD quitte finalement la Tunisie et ce n'est qu'un début, car même les tunisiens civilisés eux mêmes vont quitter le navire. On dirait que certains tunisiens (je ne sais pas si c'est la majorité) ont fait leur choix : s'accommoder des enturbannés. Aujourd'hui je préfère me limiter ici aux Caraïbes, Jamaïque, Brésil, Bahamas, etc.
Je soutiens la police tunisienne
Violences sur un Sénégalais à l'aéroport Tunis : La verite des faits
Tout commence par une banale histoire de taxi. Ousmane Fall accompagne, en ce jeudi 2 juillet, sa nièce, qui doit retourner au Sénégal, à l'aéroport Tunis-Carthage. Arrivés à destination, vers 17h40, le deuxième conseiller de l'ambassade de la République du Sénégal paie le chauffeur et se dirige vers la malle pour en sortir les bagages. Pendant que le Sénégalais s'occupait des valises de sa nièce, le chauffeur arrive et lui réclame de l'argent sans lui dire autant pourquoi. Ousmane Fall refuse de le lui donner d'autant plus qu'il lui avait déjà payé la somme affichée par le taximètre. Le taximan se dirige vers un policier pour se plaindre que son client ne veut pas le payer, sans lui préciser que la course avait été payée. Le policier lui demande de le suivre au poste. Le Sénégalais est d'accord après avoir fait rentrer les bagages et sa nièce dans l'enceinte de l'aéroport.
«Quand je suis retourné voir le policier, il n'était plus tout seul. Il avait appelé deux de ses collègues. À hauteur du café situé sur le hall supérieur du terminal, j'ai pris mon téléphone pour appeler ma nièce, l'agent de police me dit «Vas-y appelle ton ambassade». Je lui répondis que je n'ai pas besoin d'appeler l'ambassade, parce que je suis de l'ambassade. Réponse à laquelle il réagit par une première insulte en me dépassant. Jugeant que je ne descendais pas assez vite les escaliers 'je tenais par la main mon enfant, un petit garçon de trois ans qui m'avait accompagné à l'aéroport', l'agent de police (celui vêtu d'une chemise de couleur bleue), m'a pris par la ceinture pour me tirer violemment vers le bas des marches, entrainant ainsi mon petit garçon dans une chute brutale. C'est en cherchant à me redresser de mon déséquilibre que je reçus un coup de pied au tibia droit, suivi d'insultes, toujours de la part du même agent. Plusieurs autres policiers se sont alors précipités sur les lieux, s'ajoutant aux trois premiers, pour s'adonner aux exactions», raconte le diplomate.
Il est traîné vers les locaux de la police, son enfant abandonné par les policiers sur les marches de l'escalier. Il est récupéré par un africain subsaharien.
«Dès mon arrivée devant les locaux de la police judiciaire, j'ai reçu plusieurs coups et insultes principalement de la part de trois agents de police particulièrement violents dont celui qui portait un gilet de police de couleur blanche, et d'un agent d'âge avancé vêtu d'une chemise de couleur vert clair. M'apercevant de l'absence de mon fils, je demande de ses nouvelles, et quelqu'un me lance : il est avec ton ami. Je me précipite alors vers la porte en criant : quel ami ? Je suis arrivé seul à l'aéroport. C'est dans ces circonstances que l'officier de police muni d'un gilet blanc m'a donné un violent coup à la poitrine et ensuite plusieurs coups à la figure pendant que j'étais maintenu par un autre très corpulent qui m'insultait. Malgré cela, j'ai demandé plusieurs fois pour qu'ils envoient quelqu'un chercher mon petit garçon, sinon j'irais moi-même. Seule réponse obtenue : il est avec ton ami», ajoute-t-il.
«Un jeune étudiant est arrivé portant mon fils dans ses bras. C'est à lui que, discrètement, j'ai indiqué le numéro d'appel de Son Excellence Madame l'Ambassadeur du Sénégal à Tunis pour l'informer de la situation. Durant plus d'une heure de temps, je suis resté menotté dans une pièce, mon fils sur mes genoux. Pendant ce temps, mes pièces d'identité, à savoir ma carte d'identité diplomatique et ma carte d'accès à la zone sous-douane et quelques cartes de visite étaient aux mains des éléments de la police qui disaient vérifier mon identité, malgré la présence d'un fonctionnaire du Ministère des Affaires Étrangères qui est de permanence au bureau de protocole de l'aéroport. Au bout de deux heures, deux parmi ces mêmes agents sont venus me notifier que j'avais frappé et insulté un officier de police, pour ensuite me remettre mon téléphone et mon portefeuille.... et me dire que j'étais libre de partir. Jusqu'au moment où j'ai quitté les locaux de la police, aucun procès-verbal ne m'a été lu. Ils m'ont libéré aux environs de 19h40», dit-il.
Il faut arrêter ces critiques..
Ce n'est pas parce qu'il est fonctionnaire de l'Ambassade du Sénégal qu'il faut qu'il ait un passe droit.
Ce flic n'a pas soudain pété les plombs sur lui, il y a forcément une raison et si l'autre n'avait rien à se reprocher, il l'aurait suivi sans discussion avant d'en arriver à la force des bras pour qu'il les suive.
Affaire à suivre car on connaît les diplomates, ce ne sont pas des citoyens ordinaires mais EXTRA..OR..DINAIRES !
Harimna Harimna.... Votre Aude infecte à la république 2.1
Il se prends pour un médecin qui osculte un patient ?!?
Il faut lâcher un communiqué de suite !
A moins qu'on veuille attendre la fin de Ramadan ainsi que laisser filer l'été avant de penser à examiner la CHOSE ..