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Un conseil ministériel restreint examine les grandes lignes de la loi de Finances 2018
10/06/2017 | 12:14
1 min
Un conseil ministériel restreint examine les grandes lignes de la loi de Finances 2018

 

« Limiter le glissement du dinar », « développer les exportations » et « rationnaliser les importations ». Telles seront les grandes lignes de la loi de Finances 2018, selon un communiqué de la présidence du gouvernement, publié samedi 10 juin 2017, à l’occasion d’un conseil ministériel restreint présidé par Youssef Chahed.

 

Les grandes lignes prévoient également une diminution du déficit de la balance commerciale et s’intéresseront de plus près à la situation des secteurs qui rencontrent des difficultés, notamment le secteur du textile, du cuir et des chaussures.

 

Le conseil ministériel restreint s’est tenu en présence des membres du bureau exécutif de l’UTICA, menés par la présidente de l’organisation, Wided Bouchamaoui.

 

S.A

10/06/2017 | 12:14
1 min
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Commentaires (4)

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hadou
| 10-06-2017 14:35
tant que la tunisie abrite le denommé terroriste rached guanouchi,malgré que tous le monde se sont mis daccord sur le fait que ce frere musulman est terroriste...alors aucun pays ne mettra un dollar dans l'economie tunisienne...

Rationnel
| 10-06-2017 14:26
Les importations: alimentations (9,5%),
matières premières et demi produits (31,2%), biens d'équipements ( 19,7%), biens de consommation (23,4% ), énergie ( 16,2%).

On peut réduire les importations d'énergie avec les énergies renouvelables, la promotion des voitures électriques et le covoiturage (ride-sharing). La majorité des produits de consommation importés sont superflus, est ce qu'on besoin d'importer des bananes?

Jilani
| 10-06-2017 14:21
Déjà les hommes d'affaires ont participé en 2017 avec l'impôt en plus de 7,5 %. Le plus grave on ne sait pas où cet argent a été dépensé quand on entend cet argent sale qui circule dans les banques et sert pour financer les terroristes. Aucun investisseur tunisien ou autre ne mettra son argent dans les banques tunisiennes. Le pouvoir est aussi sous les mains des terroristes venus du Soudan et financés par le Qatar. Croire au développement avec cette situation est illusoire. Et surtout ne répétez pas cette connerie d'imposition en 2018.

Forza
| 10-06-2017 12:38
Une analyse des importations montrera bien l'effet dévastateur de l'importation des voitures, hors la banque centrale a-elle demandé aux concessionnaires de couvrir par eux même leurs demandes en devises. Ces concessionnaires font-ils de l'export ? Ils ont une License à imprimer de l'argent sans faire un vrai effort pour ramener des investisseurs ou pour exporter, en tout cas pour certains d'entre eux.