1) une recapitalisation de cette banque menée avec de l'argent public sans contrepartie pour savoir d'où proviennent les créances classées (c'est a dire des crédits que la banque a donnée et qu'elle n'obtiendra jamais le remboursement).
2) Nos banques ne font pas de l'investissement donc elles ne sont pas touchées par l'état de l'économie. Leurs bénéfices proviennent de la taxation excessive et des frais qu'elles endossent sur le dos des clients.
3) Et pour finir l'économie formelle est en tunisie et pas l'informel (qui progresse à des taux de plus de 10% par an). Or l'informel utilise un peu le secteur bancaire et ce dernier en profite un peu.
Le grand défi pour la Tunisie est dans la simplification des démraches administratives (cela pourrait amener 1 à 2 points de croissance), dans la gestion rigoureuse des dépenses de l'état avec deux postes par exemple ou des réductions massives pourrait être obtenu (gestion du parc automobile de l'état qui accapre près de 600 millions de dinars, soit 5% du budget qui va pour payer les fonctionnaires) et la gestion des subventions (comme pour les huiles végétales dont les tunisiens n'en profitent pas et va uniquement aux restos ou les hôtels