| 24-05-2018 23:59
Sinon, HCE ne peut être tout seul à l'origine de toutes les catastrophes soccioeconomiques en Tunisie.
Et la raison est pourtant très évidente :
1) Les massacres causés par troïka dont le minable et massacreur Imed Daimi en plus de nahdha.
2) Les massacres causés par Ali Larayadh et ce recrutant, par connivence et ignorance, par centaines de milliers es habitants de sa ville et les localités limitrophes, anarchiquement et sans compétence, et ce dans les administrations et les sociétés étatiques de Tunis et rien qu'à Tunis, mais jamais à Gabes ni Mednine et de ne jamais (puisque c'est banni) de construire des directions ou des succursales desdites administrations à Gabes et à Mednine, et ce afin de préserver l'idée saugrenue et débile, celle de migrer coûte coûte vers Tunis puisque d'habiter (en ayant par compassion avec les massacreurs nahdha toutes les commodités à Tunis) est devenue obsession pour ces naïfs et doués sudistes.
3) les décentralisation n'ont jamais été traités ni même étudiés, et surtout pas de la des députés, dont particulièrement ceux de nahdha, qui refusent catégoriquement de penser à ce sujet, d'autant s'ils s'agit, pour eux, de quitter la tant convoitée ville de Tunis.
4) Les de la rations des biens de la part des députés et particulièrement, et comme toujours, les bandits et km hors la loi nahdha.
5) Les marchés parallèles n'ont jamais été prohibés et interdits, puisque c'est les mafieux nahdha qui en tirent la quintessence.
6) Les taxis lâchés par dizaines de milliers dans la capitale (maudite) Tunis, pour s'enrichir inexorablement à l'aide de l'essence subventionné par l'?tat et les véhicules détaxés par l'?tat, et achetés par des facilités espacées, et ce pour s'acheter des apparts aux périphéries de Tunis et puis les mettre en location engendrant ainsi la spéculation.
7) Les intermédiaires (applaudisseurs de nahdha et proches parents du clan de nahdha en général qui interviennent dans tous les secteurs socio-économiques de la Tunisie, mais qui résident grâce aux nouvelles routes et les échangeurs qui s'y raccordent, et ce à Tunis bien évidement ; la ville à ne pas lâcher.
8) Les transports privés qui ne dépendent plus des sociétés étatiques, et dont des particuliers se permettent de tirer profit du manque à gagner de l'état, comme ce bateau qui relie Gabes à Djerba pour en faire un milliardaire en plus au sud, alors que ces crédits bancaires dépendent des crédits obtenus par les utilise de la tête de l'?tat auprès des banques mondiales. Ains que d'autres projets obtenus par des particulier et qui devraient revenir à l'?tat, tel que entre autres les stations-service pour la vente des carburants subventionnés par l'?tat.
- Etc...la liste des déficits de l'?tat est interminable.
Et la raison est pourtant très évidente :
1) Les massacres causés par troïka dont le minable et massacreur Imed Daimi en plus de nahdha.
2) Les massacres causés par Ali Larayadh et ce recrutant, par connivence et ignorance, par centaines de milliers es habitants de sa ville et les localités limitrophes, anarchiquement et sans compétence, et ce dans les administrations et les sociétés étatiques de Tunis et rien qu'à Tunis, mais jamais à Gabes ni Mednine et de ne jamais (puisque c'est banni) de construire des directions ou des succursales desdites administrations à Gabes et à Mednine, et ce afin de préserver l'idée saugrenue et débile, celle de migrer coûte coûte vers Tunis puisque d'habiter (en ayant par compassion avec les massacreurs nahdha toutes les commodités à Tunis) est devenue obsession pour ces naïfs et doués sudistes.
3) les décentralisation n'ont jamais été traités ni même étudiés, et surtout pas de la des députés, dont particulièrement ceux de nahdha, qui refusent catégoriquement de penser à ce sujet, d'autant s'ils s'agit, pour eux, de quitter la tant convoitée ville de Tunis.
4) Les de la rations des biens de la part des députés et particulièrement, et comme toujours, les bandits et km hors la loi nahdha.
5) Les marchés parallèles n'ont jamais été prohibés et interdits, puisque c'est les mafieux nahdha qui en tirent la quintessence.
6) Les taxis lâchés par dizaines de milliers dans la capitale (maudite) Tunis, pour s'enrichir inexorablement à l'aide de l'essence subventionné par l'?tat et les véhicules détaxés par l'?tat, et achetés par des facilités espacées, et ce pour s'acheter des apparts aux périphéries de Tunis et puis les mettre en location engendrant ainsi la spéculation.
7) Les intermédiaires (applaudisseurs de nahdha et proches parents du clan de nahdha en général qui interviennent dans tous les secteurs socio-économiques de la Tunisie, mais qui résident grâce aux nouvelles routes et les échangeurs qui s'y raccordent, et ce à Tunis bien évidement ; la ville à ne pas lâcher.
8) Les transports privés qui ne dépendent plus des sociétés étatiques, et dont des particuliers se permettent de tirer profit du manque à gagner de l'état, comme ce bateau qui relie Gabes à Djerba pour en faire un milliardaire en plus au sud, alors que ces crédits bancaires dépendent des crédits obtenus par les utilise de la tête de l'?tat auprès des banques mondiales. Ains que d'autres projets obtenus par des particulier et qui devraient revenir à l'?tat, tel que entre autres les stations-service pour la vente des carburants subventionnés par l'?tat.
- Etc...la liste des déficits de l'?tat est interminable.
