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Tunisie – Enseignement : Des cellules d'accompagnement pour les élèves en difficulté (audio)
29/01/2015 | 16:33
1 min
Tunisie – Enseignement : Des cellules d'accompagnement pour les élèves en difficulté (audio)

Des cellules d’accompagnement scolaire ont été créées pour suivre les élèves en difficulté, notamment dans les milieux pauvres et ruraux, annonce le ministre des Affaires sociales Ahmed Ammar Younbaï.

Intervenant jeudi 29 janvier 2015 sur Express Fm, le ministre a indiqué que trois ministères sont concernés par ce projet, à savoir l’Education, la Santé et les Affaires sociales. Et d’ajouter que le rôle de ces cellules consiste, entre autres, à déterminer les causes amenant au décrochage scolaire, à l’absentéisme dans les classes ou encore à la dégradation du niveau scolaire.

Les cellules d’accompagnement ont commencé à exister depuis octobre dernier dans quelques écoles en attendant qu’elles couvrent d’ici la fin de l’année l’ensemble du territoire, a-t-il conclu.

E.Z.

29/01/2015 | 16:33
1 min
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Commentaires (4) Commenter
Pourquoi pas
Sc
| 03-02-2015 08:03
Je trouve que c'est une bonne chose. Il faut bien commencer qq part.
Révolution
Béchir Toukabri
| 29-01-2015 18:30
Alors que tout le système tombe en ruine on applique la politique de l'improvisation,du replâtrage et du bouchage de trous. Et même si on veut reformer il faudrait 1)changer la moitié du personnel du ministère à commencer par les cadres,2) Recycler tous les enseignants,3)Instaurer un système militaire dans les Établissements.
SURVEILLER LEUR TENDANCE AU PSEUDO JIHADISME EN MEME TEMPS
SELIM
| 29-01-2015 17:54
Oui et comme ça ça fera d'une pierre deux coups. Il faut associer le ministère des affaires religieuses et le min de l'intérieur à cette affaire...
DOUBLE EMPLOI
3ABROUD
| 29-01-2015 17:22
La déperdition scolaire a été bien étudiée, ses causes ont été bien cernées. Ne cherchez pas midi à quatorze heures ! Vos cellules ne serviront à rien, si ce n'est que pour dilapider les deniers publics. Le diagnostic a été fait et le mal est bien connu. Malheureusement, il nous manquent les moyens d'agir, pour aider nos jeunes à espérer, au moins.