Une manifestation a l'??instar du SIT-IN ERRAHIL est LA SEULE SOLUTION pour faire reculer ce débile Yaacoubi et ces complices.
Cordialement
La Fédération générale de l’enseignement secondaire a lancé un appel à tous les enseignants à maintenir le refus de la remise des notes du 1er semestre, ainsi qu’ « à poursuivre la lutte contre les tentatives de harcèlement et les menaces du ministère de l’Education à leur encontre ». C’est ce qu’a indiqué un communiqué de la Fédération paru ce jeudi 8 mars 2018.
La Fédération a également ajouté que « terroriser les enseignants ne réussira pas à les décourager de revendiquer leurs droits légitimes ainsi que de défendre les véritables intérêts des élèves». Elle a, par ailleurs, souligné que le ministère de l’Education « a ignoré la décision de la commission administrative sectorielle de bloquer les notes, a atteint à la dignité des enseignants qui se sont conformés à cette décision et a violé leur droit syndical, et ce en les appelant à signer un document prouvant qu’ils avaient, en fait, remis les notes ».
Selon le communiqué, le ministère de l’Education « se dérobe de ses responsabilités et refuse de négocier avec la partie syndicale». Il essaie, en outre, de « monter les parents et l’opinion publique contre les enseignants et leur faire endosser la responsabilité de la crise du système éducatif ».
B.L
La Fédération générale de l’enseignement secondaire a lancé un appel à tous les enseignants à maintenir le refus de la remise des notes du 1er semestre, ainsi qu’ « à poursuivre la lutte contre les tentatives de harcèlement et les menaces du ministère de l’Education à leur encontre ». C’est ce qu’a indiqué un communiqué de la Fédération paru ce jeudi 8 mars 2018.
La Fédération a également ajouté que « terroriser les enseignants ne réussira pas à les décourager de revendiquer leurs droits légitimes ainsi que de défendre les véritables intérêts des élèves». Elle a, par ailleurs, souligné que le ministère de l’Education « a ignoré la décision de la commission administrative sectorielle de bloquer les notes, a atteint à la dignité des enseignants qui se sont conformés à cette décision et a violé leur droit syndical, et ce en les appelant à signer un document prouvant qu’ils avaient, en fait, remis les notes ».
Selon le communiqué, le ministère de l’Education « se dérobe de ses responsabilités et refuse de négocier avec la partie syndicale». Il essaie, en outre, de « monter les parents et l’opinion publique contre les enseignants et leur faire endosser la responsabilité de la crise du système éducatif ».
B.L