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Syndicat de l’enseignement secondaire : Nous poursuivrons la lutte en dépit des menaces !
08/03/2018 | 16:10
1 min
Syndicat de l’enseignement secondaire : Nous poursuivrons la lutte en dépit des menaces !

La Fédération générale de l’enseignement secondaire a lancé un appel à tous les enseignants à maintenir le refus de la remise des notes du 1er semestre, ainsi qu’ « à poursuivre la lutte contre les tentatives de harcèlement et les menaces du ministère de l’Education à leur encontre ». C’est ce qu’a indiqué un communiqué de la Fédération paru ce jeudi 8 mars 2018.

 

La Fédération a également ajouté que « terroriser les enseignants ne réussira pas à les décourager de revendiquer leurs droits légitimes ainsi que de défendre les véritables intérêts des élèves». Elle a, par ailleurs, souligné que le ministère de l’Education « a ignoré la décision de la commission administrative sectorielle de bloquer les notes, a atteint à la dignité des enseignants qui se sont conformés  à cette décision et a violé leur droit syndical, et ce en les appelant à signer un document prouvant qu’ils avaient, en fait, remis les notes ».

 

Selon le communiqué, le ministère de l’Education « se dérobe de ses responsabilités et refuse de négocier avec la partie syndicale». Il essaie, en outre, de « monter les parents et l’opinion publique contre les enseignants et leur faire endosser la responsabilité de la crise du système éducatif ».

B.L

 

 

 

 

 

 

 

08/03/2018 | 16:10
1 min
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Commentaires (5)

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Vent du Nord
| 09-03-2018 11:08
Ce couard Yaacoubi ne sera écarté et le problème ne sera résolu que lorsque les parents et les élèves descendront EN MASSE dans la rue chaque jour pour manifester leur ras-le-bol contre ce syndicat qui prend en otage les élèves et met en danger leur avenir et l'avenir du pays.
Une manifestation a l'??instar du SIT-IN ERRAHIL est LA SEULE SOLUTION pour faire reculer ce débile Yaacoubi et ces complices.
Cordialement

Barg-ellil
| 08-03-2018 19:44
Ni les menaces,ni les mises en garde du gouvernement n'ont d'effets sur ce syndicat voyou qui sait par expérience que se sont des paroles en l'air.
Le plus étonnant c'est l'absence de réaction de la société civile ( ex : les parents d'élèves ) qui préfèrent réagir sur des sujets futiles plutôt que l'avenir de leurs enfants.

k.Hmida 7806
| 08-03-2018 18:30
Dignité des enseignants..
Mon oeil, en reste-t-il un brin?? ça m'étonnerait.
Quelle honte de devoir fuir les regards inquiets de ses élèves, de ceux qu'ils prétend avoir comme enfants.
Quelle honte de devoir se dérober pour fuir l'inquiétude, voire l'agacement des parents, se trouvant à regarder leurs gosses abandonnés au gré du vent..
et on vient me parler de dignité, de lutte et de légitimité?? Bon Dieu mais où va-t-on?
j'ai l'impression qu'être enseignant en ces temps de merde est devenu synonyme de racket, haine, soif du gain et grand banditisme et que l'on ne vienne me dire le contraire ou me donner des leçons de morale car c'est une conviction pour moi.
A une année de la retraite, et après trente six années de loyaux services, et ça, des générations entières me l'affirment, je me trouve dans une situation très inconfortable..
mes notes je les ai remises à l'administration depuis un mois, n'en déplaise à ceux qui le désapprouvent, mais je sais que ça reste insuffisant..
Surtout que l'on ne vienne pas me dire que c'est l'état qui fait tout pour implanter l'enseignement privé. Oh que non, le responsable le vrai est principalement l'enseignant.. A prix de sacrifices, il pourra participer à préserver l'enseignement public, et nos enfants..
Quelle amertume..

Abir
| 08-03-2018 16:25
C'est un grand cadeau que vous offrez à ces bandes d'affamés,ils attendent que ça ,baisser les bras ou fouir ,non,ce connard voulait un islamiste en Education,il est manipulé pistonné par les Kwanjis,si non il ne peut pas dépasser tout les ministres qui sont relayés à ce poste de l'Education

jilani
| 08-03-2018 15:40
Les tunisiens sont devenus réellement malades et déprimés et en ont marre des gouvernants qui ne veulent pas appliquer la loi et des syndicalistes des années 80 qui prennent en otage l'avenir de leurs enfants. Comment pourrons nous parler de travail alors que vivons un vrai cauchemar. Fuir et laisser le pays aux syndicalistes, islamistes, opportunistes et BCE et ses enfants ...