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Sondage Sigma Conseil : 58,7% des Tunisiens jugent mauvais le rendement du gouvernement Essid
30/04/2015 | 22:05
3 min
Sondage Sigma Conseil : 58,7% des Tunisiens jugent mauvais le rendement du gouvernement Essid

La manifestation « les Rencontres de Tunis », organisée, jeudi 30 avril 2015, conjointement entre la Fondation Konrad Adenauer Stiftung et Sigma Conseil, a été l’occasion de débattre des 100 premiers jours du gouvernement Essid, sous le thème « Gouvernement Essid : Entre actions urgentes et réformes ».

 

En présence du ministre de la Santé, Saïd Aïdi, du ministre de l’Education nationale, Néji Jalloul, du ministre des Technologies de l’Information et de l’Economie numérique, Noômane Fehri, et du président de l’Association action et développement solidaire, Radhi Meddeb, le président de Sigma, Hassen Zargouni a présenté un sondage sur un échantillon de 1.003 personnes appartenant aux 24 gouvernorats.

 

Hassen Zargouni a déclaré que le concept des 100 jours vient de l’idée que les 3 premiers mois d’un gouvernement sont importants dans une démocratie, parce que, souvent, on attend de ce gouvernement des actions à effet immédiat et des réformes approfondies. Le sondage en question, qui s’est déroulé du 25 au 27 avril 2015, révèle que la majorité des Tunisiens jugent négatif le rendement du gouvernement pendant les 100 jours : 58,7% mauvais et 39,6 bon.

Sur la question quelle est la priorité qui devait être réalisée par le gouvernement et qui a réussi, les Tunisiens ont répondu à 18,5% instauration de la sécurité et à 12,3% lutte contre le terrorisme, alors que 44,7% ont répondu aucune réalisation.

 

Toutefois les personnes qui estiment que le gouvernement a réussi, se prononcent sur l’instauration de la sécurité 74,8%, la lutte contre le terrorisme 66,8%, la lutte contre les courants djihadistes 62% ou la neutralité des mosquées 59,7%.

Quant aux principales défaillances du gouvernement, les Tunisiens pensent à 88,4% que l’équipe Essid a échoué dans la création de l’emploi et la réduction du taux de chômage, suivi par la réduction des prix et l’amélioration du pouvoir d’achat (79,9%), la lutte contre la corruption financière et administrative (75,9), la promotion de l’économie nationale (73,1%), le développement régional (72,4%), la propreté de l’environnement (69,6%) et la limitation des grèves (69%).

 

Par ailleurs, les personnes interrogées ont spontanément répondu que les principaux obstacles à l’activité du gouvernement sont les grèves à 52,5% et le terrorisme 21,3%, suivis de loin par les partis d’opposition 7,3% et l’incompétence des ministres 6,8%. Ce que les Tunisiens attendent du gouvernement en priorité pour les prochains mois, c’est à 25,7% la création de l’emploi et la réduction du chômage, 14,4% la réduction des prix et l’amélioration du pouvoir d’achat ou encore à 13,2% pour l’instauration de la sécurité.

 

D’autre part, le sondage s’est intéressé à la notoriété et l’évaluation des membres du gouvernement après les 100 premiers jours d’exercice. Il en ressort que 55,7% des Tunisiens voient que le rendement du chef du gouvernement est bon, contre 37,4% qui le trouvent mauvais. Concernant la notoriété des ministres, Taïeb Baccouche, ministre des Affaires étrangères, arrive en tête avec 34%, suivi du ministre de l’Intérieur, Mohamed Najem Gharsalli, avec 30,1%, Néji Jalloul, ministre de l’Education, 27,4%, le ministre de la Santé, Saïd Aïdi 20,4% ou encore la ministre du Tourisme, Selma Elloumi Rekik avec 19,5%. A savoir que 32,5% des personnes interrogées ont répondu ne connaitre aucun ministre.

 

On apprend également que le rendement du ministre de l’Intérieur est en tête avec 85,8% le trouvant bon, contre 13,6% qui le trouvent mauvais. M. Gharsalli est talonné par le ministre du Développement, de l’Investissement et de la Coopération internationale, Yassine Brahim avec 74,5% qui pensent que son rendement est bon et 21,17% mauvais. En troisième position, on retrouve Saïd Aïdi (73,1% bon – 23,9% mauvais), ensuite Néji Jalloul (51,1% bon – 48,3% mauvais), ou encore le ministre de la Formation professionnelle et de l’Emploi Zied Laâdheri (44,5% bon – 45,8% mauvais) et Taïeb Baccouche (37,6% bon – 59,2% mauvais).

 

30/04/2015 | 22:05
3 min
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Commentaires (9) Commenter
un quartet bizarre , un paysage politique anarchique .
griguer
| 02-05-2015 14:39
la tunisie passe de 50 ans de parti unique et dictature à 180 partis politique , c'est de l'extrême à l'extrême . l'extrémisme et l'arabe une longue histoire .
une coalition sans base commune , des partis en coalition alors que ils s'opposent pendant la campagne électorale , un président de gouvernement qui décide de rien , trop de ministres et secrétaires d état , trop de dépenses partout a carthage a bardo a kasbah ....
une coalition de 4 partis stérile sans courage qui ne fait pas des réformes structurelles .que du blabla à la radio et aux plateaux tv
endettement , dépenses dans les salaires , zéro changement , zéro réformes , mais jusque a quand ?
situation grave
mensonges hypocrisie mentalités inchangées depuis 60a ans
ils doivent dire la vérité au peuple
pauvre électeur
@Mr. Hassen Zargouni (Sigma Conseil)
Dr. Jamel Tazarki
| 01-05-2015 12:26
J'ai la nette impression que Monsieur Hassen Zargouni a oublié les quelques années passées et le bilan que Mr. Essid et Nidaa Tounes ont trouvé à leur arrivée récente au pouvoir

Il serait intéressant de dresser un bilan le plus complet possible pour que les mémoires puissent se remémorer d'où l'on vient et dans quel état notre troïka a laissé la Tunisie.

Je propose à Mr. Hassen Zargouni de nous parler plutôt du déficit de la Tunisie, de l'augmentation de la dette et son évolution en % de notre BIP, du déficit de la dette de l'Etat, de la balance commerciale, du déficit de la sécurité sociale, de l'augmentation de la pauvreté en Tunisie, de l'augmentation du taux du chômage, de l'augmentation de la corruption, de l'augmentation des impôts et de l'envolé des prix des carburants durant le règne de notre ex-troïka.

Monsieur Hassen Zargouni, vous êtes injuste envers le gouvernement de Mr. Essid et envers Nidaa Tounes! Pourquoi toute cette injustice au nom des chiffres et des statistiques.

Cordialement
Jamel
john wayne
ali bee
| 01-05-2015 12:23
notre john wayne m'inquiete
il se fait ses propres interview et il n'a pas parlé des sionistes....
il est en phase terminale.
Nidaa Tounis ou le parti qui a arnaqué les électeurs!
rayan benne
| 01-05-2015 11:22
Lors des élections il se disait:
- découvrir les commanditaires de meurtres Belaïd et Brahmi,
- rétablir le prestige de l Etat, c est à dire respecter la constitution,
- plus d attention pour les régions dites oubliées par les 2 dictateurs Bourguiba et Ben Ali,
- lancer l économie et faire venir des investissements étrangers.
- (...).
Rien de tout cela, à la place un projet sécuritaire qui porte les germes d une guerre civile entre la population et les forces de l ordre; pour rappel cette loi:
- si si votre fils ou fille jette un caillou sur un véhicule sécuritaire il ou elle serait condamné à perpétuité!, - si vous filmez un policier en train de tabasser, torturer, cracher dessus... votre fils, votre père, votre frère ou tout autre honnête citoyen vous risquez 2 ans de prison, - si un journaliste investigue sur un dossier supposé par ex. louche dans les forces sécuritaires, il risque 10 ans de prison!
Elire un parti ne veut pas dire le laisser faire à sa guise!
99% des tunisiens
Sigmund
| 01-05-2015 10:52
Pensent que Sigmund est oiseau de mauvaise augure. Ils sont sceptiques, mais ils préfèrent différer leur jugement. On ne devrait pas s'octroyer le droit de semer le doute après 3 mois de gouvernement.
Les doléances sont énormes. Mais les tumeurs sont malignes. La Tunisie, dont les moyens sont modiques, est en face à tous les Diables du monde.
La plupart des entreprises publiques, la Santé Publiques, la Sécurité sociale la flambée des prix...Qui peut en venir à bout en 3 mois ?
La solution résiderait peut-être dans l'interdiction absolue du caviar...
C'est un sujet qui mériterait d'être posé sur la table. Les conférenciers n'ignorent certainement pas que les allemands sans distinction , ont du se gaver de patates pendant de longues années, afin de faciliter la reconstruction de leur pays. Ils ont eu à le prouver une seconde fois à l'occasion de la réunification.
Alors il vaudrait mieux se taire et d'arrêter de se réunir pour débiter des bêtises.
Cocher, c'est régner...
millefoudres
| 01-05-2015 09:17
1- Le peuple n'a jamais choisi et ne choisira jamais ses représentants. Ils sont pré-sélectionnés au sein de leurs partis, en fonctions de leur servilité pour les intérêts financiers occultes qui financeront leurs campagnes ruineuses.
2- Le résultat est que les électeurs se retrouvent avec des gouvernements qu'ils n'ont jamais souhaité, qui font des alliances avec des partis auxquels ils juraient de s'opposer.
3-Pour continuer à se moquer d'eux, des institutions toutes aussi louches les unes que les autres leur posent la question:
Êtes vous contents d'un gouvernement que vous n'avez jamais souhaité?
4- On leur fait endosser les gaffes monumentales de politiques sur lesquels ils n'ont plus aucun contrôle.
Cochez la case, vous êtes en ..démocrassie...
L'AVENIR DE L'ARMEE TUNISIENNE : 10 QUESTIONS A JOHN WAYNE (1)
JOHN WAYNE
| 01-05-2015 05:28
Q-1 : Depuis le 14 Janvier 2011, vous exprimez un sentiment mixte envers l'armée Tunisienne. Vous l'accusez d'avoir fomenté un coup d'état dont les sponsors sont des agents de la CIA tout en vous souciant gravement des revers qu'elle subit a Chaambi et ailleurs. Pourquoi l'armée Tunisienne est telle souvent le sujet principal de vos analyses ?
JW : L'armée Tunisienne représente aujourd'hui ce que j'appellerais le maillon faible de la Nation Tunisienne et de son avenir. Elle a le pouvoir de sauver le pays, comme elle a le pouvoir de le pousser vers l'abime.
Et pour comprendre le rôle que joue et que jouera l'armée dans l'avenir de la Nation Tunisienne, il faut comme pour tous les sujets revenir à son historique.
L'armée Tunisienne a été formée au lendemain de l'indépendance à partir d'ancien officiers ayant servi la France coloniale que Bourguiba avait amnistié mais également à partir de nouveau cadres très valables, beaucoup ayant fait St Cyr.
L'armée Tunisienne a toujours joué en Tunisie un rôle secondaire de surveillance des frontières et de force supplémentaire en cas de crise.
Il s'agit d'une force qui a été marginalisée surtout depuis les complots dont avait fait l'objet Bourguiba dans les années 1960.
L'armée Tunisienne a également joué un rôle d'intervention secondaire à l'époque de Ben Ali. Cela s'est vu notamment dans l'affaire du commando de Soliman ou les forces de l'ordre et de la Garde Nationale ont joué un rôle primordial dans leurs surveillances, enquêtes, mais aussi dans les affrontements armés avec les terroristes.
Sur les décennies qui ont suivi, l'armée Tunisienne est devenue une force marginalisée et sous équipée et qui a développé une grande amertume vis-à-vis des hauts cadres du Ministère de l'Intérieur et de la Garde Nationale.

Q-2 : Est-ce là le point le plus faible de l'armée Tunisienne ?
JW : Non le point le plus faible de l'armée Tunisienne est le renseignement, notamment dans les six décennies qui ont vu évoluer les régimes de Bourguiba et de Ben Ali. Il s'agit d'une force qui ne possède pas de service de renseignement digne de ce nom. Le renseignement ayant toujours été le fort du Ministère de l'Intérieur et de la Garde Nationale.
Dans les différents complots qui ont impliqué les islamistes Tunisiens, ce fut toujours le Ministère de l'Intérieur et la Garde Nationale qui ont agi dans la sécurité et dans les interventions nationales. L'armée a souvent été marginalisée dans les grandes affaires de complot et n'a été impliqué que dans des cas extrêmes comme dans le cas de l'affaire du commando de Soliman.

Q-3 : Quelles sont les conséquences de cette marginalisation de l'armée Nationale durant ces six décennies ?
JW : Les conséquences sont très graves. L'armée Nationale est celle qui a souvent recruté le plus grand nombre de dissidents et de comploteurs islamistes comme ce fut le cas dans l'affaire de Baraket Essahel.
Les islamistes Tunisiens depuis leur apparition à la fin des années 1980, ont surtout infiltré l'armée Nationale car il s'agissait de la force la plus marginalisée politiquement. Au début des années 1990, l'armée Tunisienne était devenue une force très dangereuse surtout que certains de ses éléments islamistes étaient entrainés dans les meilleures bases en Europe et aux Etats Unis. Dans l'affaire de Baraket Essahel, nous avons agi in-extremis et sauvé la Nation d'un complot qui devait faire des milliers de morts.

L'AVENIR DE L'ARMEE TUNISIENNE : 10 QUESTIONS A JOHN WAYNE (2)
JOHN WAYNE
| 01-05-2015 05:28
Q-4 : Qu'en est-il de l'armée Tunisienne depuis le 14 janvier 2011 ?
JW : Parce qu'elle a accepté de coopérer avec le gouvernement Américain dans son complot contre Ben Ali, l'armée Tunisienne hérite d'un lourd héritage politique. Les coups d'état militaires de la CIA sont des armes à double tranchant. Ils mettent au pouvoir des hauts gradés commandités par Washington mais qui se retrouvent plus tard liés politiquement à ces mêmes agents de la CIA qui les ont instruits à prendre le pouvoir. L'armée Tunisienne est au pouvoir aujourd'hui grâce à Washington mais elle paye un prix très lourd à la fois sécuritaire et politique.

Q-5 : Expliquez-vous.
JW : Au lendemain du coup d'état de Carthage, l'armée Tunisienne s'est vue recevoir de lourdes taches très graves en conséquences de la part du gouvernement Américain.
Il y avait d'abord la formation d'un gouvernement par intérim dont les membres seraient loyaux à Washington d'où le rôle joué par l'homme d'affaire***
Washington a continué avec ses demandes surtout le démantèlement et l'emprisonnement des hauts cadres de Ben Ali, le rapatriement des islamistes, et la tenue d'élections.
Mais l'exigence la plus grave en conséquence a été celle qui consistait à trahir Le Colonel Kadhafi et à ouvrir les frontières du Sud Tunisien a l'OTAN. Cette décision prise lors de réunions à Doha pendant l'été 2011 est la plus grave de l'histoire de la Tunisie puisqu'elle a aidé à la destruction de la Libye et à sa transformation en une base d'Al Qaeda qui aujourd'hui menace l'existence même de la Tunisie. Il s'agissait d'une armée prise dans le piège des pressions de Washington et qui ne pouvait plus faire marche arrière.

Q-6 : Cette emprise de Washington est-elle illustrée dans l'achat des hélicoptères Blackhawk ?
JW : Oui Absolument. Washington a une main mise sur l'armée Tunisienne à la fois politique et logistique. Cette mainmise implique une coopération technique comme celle qui se voit dans les pays devenus des bases du Pentagone tels l'Arabie Saoudite et le Qatar. L'armée Tunisienne est condamnée à être le client pauvre et endetté du Pentagone.

Q-7 : Quelles sont les plus grandes faiblesses de l'armée Tunisienne aujourd'hui ?
JW : Il s'agit d'une force qui est en charge du pays et qui a pour rôle le maintien au pouvoir des politiciens élus, mais aussi la protection de la force politique islamiste Tunisienne selon les exigences de Washington. Il s'agit donc d'une force armée qui ne peut guère s'attaquer à ses propres ennemis qui sont les islamistes Tunisiens dont les cerveaux et les hauts cadres comme Rached Ghanouchi servent d'émulation et d'exemple aux Djihadistes qui combattent a Chaambi ou ailleurs.
Autre handicap majeur, elle ne dispose plus des services de renseignement du Ministère de l'intérieur et ses propres services de renseignement sont embryonnaires et peu efficaces. Il s'agit donc d'une armée sourde et aveugle sur le terrain.
L'AVENIR DE L'ARMEE TUNISIENNE : 10 QUESTIONS A JOHN WAYNE (3)
JOHN WAYNE
| 01-05-2015 05:27
Mais il y pire que cela et la tenez-vous bien :
L'armée Tunisienne a non seulement des services de renseignement très faibles mais elle est elle-même infiltrée par des taupes islamistes qui fournissent au djihadistes des renseignements vitaux. Ces fuites expliquent l'embuscade de nuit du convoi de l'armée dans la région de Kasserine mais aussi l'embuscade qui a frappé le bus militaire et dans lequel des familles entières de militaires ont été massacrées.
L'arme est infiltrée par un système de renseignement inverse puisque l'armée elle-même sert de système de renseignement à ses propres ennemis. Cette situation est similaire à celle qui existait en Egypte à la veille de l'assassinat du Président Sadate.

Q-8 : Quel message avez-vous pour l'armée Tunisienne et que proposez-vous comme solutions ?
JW : Je dis à l'armée Tunisienne de se souvenir que Staline avait déclaré un jour à des hommes du KGB : « J'ai battu la sixième armée d'Hitler grâce a un seul espion ! »

Q-9 : Que voulez-vous dire par la?
JW : Lors du siège de Stalingrad, Staline ne voulait pas mobiliser ses unités d'élite qui se trouvaient en Sibérie car il craignait une invasion de la Sibérie par le Japon. Mais Staline avait placé à Tokyo un espion Russe qui avait infiltré les forces armées Japonaises pour découvrir que le Japon n'avait pas l'intention d'envahir la Sibérie. Cet espion enverra à Staline cette information cruciale par message codé en morse. Staline ordonnera donc à ses unités d'élite Sibériennes de se déplacer en train vers Stalingrad. C'est grâce à ces unités Sibériennes entrainées à combattre dans le froid que la contre-offensive du Marchal Zukhov décimera l'armée d'Hitler.
Dans une guerre, le renseignement est la clef de la victoire.

Q-10 : Ce qui veut dire ?
JW : L'armée Tunisienne doit reconstituer le service de renseignements qui se trouvait au sein du Ministère de l'intérieur avant le 14 Janvier 2011. Elle doit permettre aux hauts cadres comme moi-même et comme Si Ali Sériati de réintégrer ce Ministère et non pas des comités marginalisés et n'ayant pas grande influence.
On ne sauve pas une Nation comme la Tunisie en écoutant des femmes comme Sihème Ben Sedrine qui disent n'importe quoi pour attirer l'attention des medias, mais avec des Hommes comme Si Ali et tous les autres cadres qui ont été limogés.
L'armée Tunisienne fait face à un très grave complot armé dont les commanditaires sont des pays riches comme Crésus comme le Qatar et dont les soldats sont jeunes et très motivés.
Elle a la responsabilité de sauver le pays et peut le sauver si elle veut, mais elle doit s'imposer et balayer de son chemin les clowns et les opportunistes car le cirque a assez duré.
L'armée Nationale doit comme Staline, avoir son propre KGB.

Ancien élève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.