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Slim Bagga accuse Marzouki de complicité avec Leïla Ben Ali
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Lors d'une conférence de presse, organisée aujourd'hui 4 décembre 2013, le journaliste Slim Bagga et son avocate, ont présenté les détails sur l'affaire en justice contre M. Bagga et la relation entre ce dernier et le président de la République, Moncef Marzouki.
Slim Bagga a déclaré : "Il y a une complicité implicite entre Moncef Marzouki et Leïla Ben Ali. Les deux veulent me détruire. Leïla Ben Ali l'a franchement dit et même "juré" dans son livre "ma vérité" et Marzouki a œuvré à m'écarter, car il craint que je ne dévoile ses quatre vérités". Il a précisé dans ce contexte que l'épouse de l'ancien président est toujours aussi influente sur le cours de la justice et est encore en contact direct avec une des juges. Il a ensuite expliqué que l'affaire en justice contre lui se rapporte à un article dans lequel il avait évoqué des "ministres incarcérés à juste titre et d'autres, injustement et d'une manière abusive".
Par ailleurs, M. Bagga a affirmé concernant le président de la République: "Marzouki n'a jamais rien fait pour le pays, exception faite de son passage à la Ligue des droits de l'Homme". Il a affirmé : "C'est à moi qu'il doit tout!". Et d'ajouter: "Une fois président, il m'a proposé plusieurs postes prestigieux, mais j’ai refusé. J'ai préféré "rester gardien du temple".
Ensuite, Slim Bagga a cité les circonstances de la détérioration de ses rapports avec M. Marzouki en évoquant un article dans lequel M. Bagga avait considéré "Mustapha Ben Jaâfar, comme étant l'homme de l'étape à venir", chose que M. Marzouki avait perçu comme une "trahison" à sa personne.
Ainsi, M. Bagga estime que le fait de le citer dans le fameux "Livre noir" pour nuire à sa réputation et à celle de sa famille, n'est qu'une façon de l'écarter et de l'empêcher de rentrer chez lui à Paris. Car, là bas, il disposerait de preuves accablantes contre Marzouki", selon ses dires.
M. Bagga a conclu par affirmer qu’il a décidé de porter plainte contre la personne de Moncef Marzouki et non la Présidence, pour propagation de fausses informations et diffamation".
Slim Bagga a déclaré : "Il y a une complicité implicite entre Moncef Marzouki et Leïla Ben Ali. Les deux veulent me détruire. Leïla Ben Ali l'a franchement dit et même "juré" dans son livre "ma vérité" et Marzouki a œuvré à m'écarter, car il craint que je ne dévoile ses quatre vérités". Il a précisé dans ce contexte que l'épouse de l'ancien président est toujours aussi influente sur le cours de la justice et est encore en contact direct avec une des juges. Il a ensuite expliqué que l'affaire en justice contre lui se rapporte à un article dans lequel il avait évoqué des "ministres incarcérés à juste titre et d'autres, injustement et d'une manière abusive".
Par ailleurs, M. Bagga a affirmé concernant le président de la République: "Marzouki n'a jamais rien fait pour le pays, exception faite de son passage à la Ligue des droits de l'Homme". Il a affirmé : "C'est à moi qu'il doit tout!". Et d'ajouter: "Une fois président, il m'a proposé plusieurs postes prestigieux, mais j’ai refusé. J'ai préféré "rester gardien du temple".
Ensuite, Slim Bagga a cité les circonstances de la détérioration de ses rapports avec M. Marzouki en évoquant un article dans lequel M. Bagga avait considéré "Mustapha Ben Jaâfar, comme étant l'homme de l'étape à venir", chose que M. Marzouki avait perçu comme une "trahison" à sa personne.
Ainsi, M. Bagga estime que le fait de le citer dans le fameux "Livre noir" pour nuire à sa réputation et à celle de sa famille, n'est qu'une façon de l'écarter et de l'empêcher de rentrer chez lui à Paris. Car, là bas, il disposerait de preuves accablantes contre Marzouki", selon ses dires.
M. Bagga a conclu par affirmer qu’il a décidé de porter plainte contre la personne de Moncef Marzouki et non la Présidence, pour propagation de fausses informations et diffamation".
D.M
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