« C’est la première fois en cinq ans que le budget de la présidence de la République n’est pas augmenté » a indiqué, ce lundi 13 novembre 2017, le directeur du cabinet présidentiel, Selim Azzabi, dans une déclaration accordée à Jawhara Fm. Il a ajouté que cette décision démontre que la présidence de la République prend en compte la situation difficile des finances publiques.
Selim Azzabi a précisé que cela a été possible grâce à trois décisions qui sont, d’abord, de réduire les dépenses dans les services centraux de la présidence, puis la réduction du nombre de personnes bénéficiant de la protection de la garde présidentielle et enfin le départ de trois instances devenues constitutionnelles et qui relevaient de la présidence de la République.
Selim Azzabi : le budget de la présidence de la République ne sera pas augmenté cette année
« C’est la première fois en cinq ans que le budget de la présidence de la République n’est pas augmenté » a indiqué, ce lundi 13 novembre 2017, le directeur du cabinet présidentiel, Selim Azzabi, dans une déclaration accordée à Jawhara Fm. Il a ajouté que cette décision démontre que la présidence de la République prend en compte la situation difficile des finances publiques.
Selim Azzabi a précisé que cela a été possible grâce à trois décisions qui sont, d’abord, de réduire les dépenses dans les services centraux de la présidence, puis la réduction du nombre de personnes bénéficiant de la protection de la garde présidentielle et enfin le départ de trois instances devenues constitutionnelles et qui relevaient de la présidence de la République.
Un maintien du budget au même niveau que celui de l'année précédente avec réduction du nombre de personnes bénéficiant de la protection de la garde présidentielle et surtout le départ de trois instances devenues constitutionnelles et qui relevaient de la présidence de la République est synonyme à une augmentation de tous les autres postes du buget.
On veut les comptes. Le Tunisien n'à pas confiance en tous ces gouvernements post "révolutionnaires". Qui dit que c vrai, pendant que le peuple se sert la ceinture parce que les gouvernants sont incompétents et rayonnent à vue. Avec plus de 200 partis reconnus,une basse cour qu'on appelle assemblée parlementaire qui coûte des milliards au peuple, que des "lobbies" orientent leurs intérêts égoïstes. La notion Nation n'existe plus, la fierté Tunisienne est bafouée par des mafieux politiques comme cette nouvelle Troïka qu'est Nida, Ennahdha, UPL. Pendant que l'état coule et croule sous les dettes. Il ne plus payer ses fournisseurs privés qui se voient obligés de bloquer son développement et donc l'embauche, baisse des salaires, donc baisse du pouvoir d'achat. Alors que les banques s'enrichissent de semestres en semestres au vu de tous, elles vous saisissent des biens et autres disponibles de tout type, elles vous saigne. Qu'ont fait ces gouvernements successifs? Rien! Que des décisions d'amateurs, aucune vision nationaliste et à long terme. Ça devient urgent de se révolter et virer tous ces partis opportunistes et mafieux et tout ce château de cartes.
Et pourquoi pas une initiative qui plairait au plus grand nombre et plus que symbolique...
La suppression des 30 mille dinars verser au tartour !
Voila du concret !
