L’ancienne ministre de la Santé, Samira Meraï, a publié, le 14 mars 2019, un statut dans lequel elle s’en prend à son prédécesseur à ce poste, Saïd Aïdi.
Samira Meraï écrit que Saïd Aïdi n’a pas accepté son limogeage du ministère et qu’à chaque sortie médiatique il ne fait que parler de ses réalisations sans avoir de projet politique. « Il attend qu’une catastrophe arrive dans le pays pour sortir diffamer autrui avec de fausses accusations », ajoute l’ancienne ministre.
Elle poursuit en disant que Saïd Aïdi a passé un an sans parler aux recteurs des facultés de médecine en 2016 et elle l’a invité à présenter ses « dossiers » à la justice ou à l’instance de lutte contre la corruption.
« Il faut qu’il se respecte et qu’il s’excuse sinon je porterai plainte comme je l’ai fait avec le président de l’association des victimes d’erreurs médicales », a-t-elle conclu.
M.A
Commentaires (10)
Commenter"tenez moi ,si non je fais un scandale"
Mad. Merai n'a aucune credibilite
il faut un mecanicien nahdhaoui a la la d un technicien nahdhaoui
On attend le Messie
QUEL EST LE PROBLEME DE CETTE DAME
Elle a été ministre de la santé et elle porte une responsabilité de non action.
Dakhla aala jbal bkaddouma
===== '? ABIR ABSOLUMENT JUSTE ET VRAI=====
Soupçon de corruption?
C'est la règle du jeu !
Mais, si Aidi a passé l'année 2016 sans parles avec les recteurs ou les doyens de s universités et Fac de médecine, il sera impliqué directement dans ' l'affaire de formation médicale ' et surtout des jeunes médecins - notamment la médecine de famille - dont le projet traîne jusqu'à aujourd'hui.
Ceci aussi est un acte très grave qui émane d'un ministre envers la formation des médecins dont les conséquences néfastes sont vécues aujourd'hui.
D'ailleurs, la première promotion de médecins de famille va sortir cette année et le flou règne encore !
On en conclu que les Directeurs Généraux - qui ont fait la vague aujourd'hui - de plusieurs désignation étaient les principaux responsables de cette tragédie et drame vécues en commençant par la formation des médecins jusqu'à cette catastrophe - 15 morts en 48 heures -
C'est seulement la justice qui pourrait trancher et sanctionner tout Haut fonctionnaire et notamment les ministres qui ont trahi la Tunisie par nonchalance, incompétence ou actions préméditées