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Samir Taïeb : La lutte contre le terrorisme doit se faire sous le contrôle de la justice
31/03/2015 | 21:44
1 min
Samir Taïeb : La lutte contre le terrorisme doit se faire sous le contrôle de la justice

Le secrétaire général du parti Al Massar, Samir Taïeb a indiqué, dans une déclaration accordée, aujourd’hui, mardi 31 mars 2015, à Express FM, que toutes les parties politiques, qui participeront à la conférence nationale de lutte contre le terrorisme, doivent s’accorder sur une définition unifiée du terrorisme.


M. Taïeb a considéré que la lutte contre ce fléau doit revenir au pouvoir judiciaire. Et d’ajouter, que son parti a quelques réserves sur la version du projet de loi de lutte contre le terrorisme et le blanchiment d’argent soumis à l’ARP, précisant qu’il en a déjà fait part au bureau de l’assemblée.


S.H

31/03/2015 | 21:44
1 min
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Commentaires (6) Commenter
Quel génie !!!
Pressing
| 01-04-2015 21:37
C'est un génie ce samir !!!
Zéro Partout
maamar
| 01-04-2015 17:30
Le Proconsul fait des appels du pied,de la langue, de toute son âme pour être parachuté consul quelques part en France,et Lahbib fait la sourde oreille.Si j'avais un demi gramme de pouvoir j'éviterai à la scène politique
le risque de mourir d'ennui à chaque apparition d'un Zéro sur toute la ligne.
samir bettaieb
abdelmajid
| 01-04-2015 16:17
tu ne nous apprends rien de neuf et c ' est ce qui est en train d ' etre fait c ' est ton chwen gum que tu maches sans en finir !
Une élite aux antipodes des aspirations du peuple !
Ben
| 01-04-2015 14:04
Personnage curieux que ce Samir TAIEB soulignant que le combat contre le terrorisme devrait être mené sous contrôle judiciaire.
Il y a lieu, tout d'abord, de rappeler à ce juriste que ça trouvaille constitue une évidence en matière de conduite de tout acte de poursuite, d'instruction ou de jugement.
Il y a, ensuite, lieu à l'appeler à se poser la question qui consisterait à se demander si les magistrats seraient les meilleurs hommes à conduire ce combat.
M. TAIEB aura beau avoir vécu à Bab El fellah, un quartier populaire de la capitale, mais il lui manque la connaissance de la rue dont il ne connait que les combats de moutons ou les rixes des matches de football.
La guerre contre le terrorisme, M.TAIEB, consiste à sauver des vies que des hyènes sans loi et sans foi voudraient arracher à des civils désarmés et livrés à eux-mêmes.
Continuez, par ces temps très graves pour la destinée de la nation Tunisienne, à promouvoir ce discours de suspicion à l'égard des forces de l'ordre et à semer la discorde entre les diverses autorités d'application de la loi constitue, de votre part, un acte irresponsable loin de vous hisser au niveau des personnalités capables de protéger ses concitoyens en temps de paix et en temps de guerre.
Aussi, vous inviterai-je à avoir la descence de vous taire.
@ si SAMIR...
VIVE BEN ALI
| 01-04-2015 07:16
les terroristes ne reconnaissent ni la justice ni l'état ni personnes,alors ils faut les traiter comme ils nous traite 'il pour 'il et dent pour dent....
Non ! No ! Nein ! Niet ! Samir Taïeb sait dire autre chose que dénigrer le parti d'Ennahdha ?
Abel Chater
| 31-03-2015 22:57
Et encore dire de belles et de bonnes choses, comme la lutte contre le terrorisme doit se faire sous le contrôle de la Justice !!!
Je n'en crois pas mes yeux.
J'ai demandé à ma femme de me pincer, pour réaliser mon état d'éveil.
Pour la première fois je vois Samir Taïeb convertir son rôle de politicien en Tunisie. Mais encore refuser le retour aux anciennes méthodes de la carte blanche à la torture policière, ça me surprit énormément.
Je salue cette fois-ci la lucidité de Samir Taïeb et je l'exhorte à cesser ses chamailles enfantines contre le plus grand et le plus solide parti politique de la Tunisie Ennahdha.
Quand un politicien parle au peuple, il faut qu'il assume ses dires et qu'il ait des preuves en sa possession. Mais parler comme s'il était dans un café populaire autour d'une partie de "Chkobba", ça n'appartient plus qu'au passé, où les citoyens tunisiens furent considérés comme les brebis des deux dictateurs déchus.
Maintenant dis vrai. Ne spécule pas dans le vide. Dénonce preuve à l'appui qui tu voudras. Parle, le peuple t'entend. Mais ne mens pas et ne pense pas bêtifier les Tunisiens. Car le mot "dégage" est encore actuel.