Le président de la République, Kaïs Saïed, s’est rendu, ce mardi 21 janvier 2020, au gouvernorat de Zaghouan pour présenter ses condoléances à la famille du blessé de la révolution, Tarek Dziri.
Comme à l’accoutumée, cette visite n’a pas été relayée par la page officielle de la présidence de la République, mais par une simple page Facebook "des fans du président".
Dans ce contexte, le journaliste et animateur Samir El Wafi a publié un statut indiquant que « le gouverneur de Zaghouan était en réunion importante avec les responsables sécuritaires régionaux quand soudain, les présents ont reçu un coup de fil leur signifiant que le président de la République est à la maison du martyr Tarek Dziri dans la délégation d’El Fahs. C’était une surprise. Personne n’était averti, ni le gouverneur, ni les autorités sécuritaires qui devaient être au courant afin de sécuriser la route, le cortège et le circuit, comme l’exigent les us et les coutumes. Ce fût des moments d’inquiétude. Le président se rend discrètement à El Fahs, à 60 Km de la capitale, sans préavis, sans coordination et sans la moindre considération aux représentants de l’Etat ».
Samir El Wafi a ajouté que les autorités régionales n’avaient qu’à respecter ceci, s’interrogeant si les visites discrètes du président ont un rapport avec sa vision du pouvoir local et son mépris du pouvoir actuel. « Même si cela est vrai, il y a des procédures d’usage ayant pour objectif la protection du président et la préservation de l’image de l’Etat et de la sécurité nationale. Cela ne peut être changé par les sautes d’humeur. C’est partout pareil dans le monde, mais notre président est réellement étrange » !
S.H
Par ailleurs , il est évident qu'il consulte tous les journaux (dont les francophones ) et agissait à l'instant en convoquant les responsables concernés par les sujets relatés, ou bien il se déplaçait dans la huitaine s'il sagit d'un sujet qui concerne un lieu assez éloigné de Tunis, tel que Tozeur à titre d'exemple.
En somme il voulait combler des "imperfections" par ces visites, et cela réussissait grosso modo tout de même.
En conséquence, les articles que les journalistes ou même les citoyens écrivent dans les journaux, doivent se concrétiser davantage pour servir même indirectement la Nation, et ce dans contrepartie et non comme le pensait Feu Ben Ali qu'il fallait motiver surtout pécuniairement les journalistes pour rédiger des articles.
Donc visite inopinée ou article dans un journal écrit par avec inspiration ou des entre-les-lignes, sont tout à fait envisageables.
Kais Saïed n'a pas voulu se déplacer en Allemagne ( Berlin ), Suisse ( Davos ) et en Algérie pour des raisons étranges !!!
Son frère ( un Trabelsi bis ) co-Préside avec lui !!!
Il est toujours au palais.
Les tunisiens doivent se méfier.
Maxula.
Vous comptez donc le devenir ?
Alors faites vite puisque vous avez déjà un pied dedans !
Maxula.
Il commence à devenir + terrori.. que les vrais Terrori...
By Jove et doux jésus:
En Tunisie, soit ils deviennent fous à cause du pouvoir, à cause d'El Mnihla ville très polluée par les particules du gas oil mélangé à l'eau et qui sert de carburant à des voitures de luxe?
Non! Parlons sérieusement: Il n'y a pas d'âge pour devenir Terrori...
Ben Ali quand il se rendait a Hammamet (presque chaque jour en été) n'avait pas une grande garde rapprochée. Les policiers sur chaque pont de l'autoroute est une innovation de Ben Ali qui aussi coûteuse, qu'inutile.
Kais Saied peut se déplacer avec un cortège limite, le Président de la deuxième république est un poste honoraire et non pas stratégique. Kais Saied jouit d'une grande popularité auprès du peule et ne sent pas le besoin d'une protection importante.
même si vous etes issus du gouvernorat de Zaghouan, cela ne vous donne pas le droit d'interférer ni dans la facon, ni rien d'autre qui concerne le déplacement du Président, vous outre passez vos limites, et je pense que le Président a les justificatifs propre à son institution pour se déplacer comme et comment il veut, vous ne pourrez pas etre plus sécuritaire que les services de sécurité de la Présidence, vous ne trouvez pas?!
Un président qui risque sa vie pour aller auprès de son peuple.
Que le président fait des visites discrètes tel le calife Omar.
Touchant.
ces gens malades sont les conséquences des problèmes de la vie courante à savoir la cherté ,le chômage ,le transport ,l'insécurité .ces gens étaient très normaux avant ce choc social qu'ils l'appellent " merdolution ". ce qui plus malade ces gens là ,quand ils entendent des arrivistes jamais vue jamais entendu crient fort " AU NOM DE NOTRE REVOLUTION " alors qu'on vérité ne sont que des arnaques et voleurs . souvent je me promène dans la plus belle avenue du monde " AVENUE HABIB BOURGUIBA " rien que pour siroter une bière ou un verre de whisky comme tout citoyen moyen ,certes pendant et durant le mois de janvier noir pour la Tunisie je n'ai jamais remarqué des gueules que j'ai interféré devenus les maîtres de ce pauvre pays . KS en est un exemple . IL Y A DE QUOI DEVENIR FOU DANS MON BLED .
" JA MIN TALI OU AIET YA MALI "
En se pointant ni vu ni connu dans un endroit pour un rencontrer une personne du Peuple, Peuple que le Président/Chef de l'Etat doit servir, KS agit d'une manière qui nous est familière....Ce n'est pas la premier fois qu'un Président fait une visite surprise d'un lieu.
Mais sa surprise dans un endroit populaire pose la lumière sur cet endroit et sur le dossier des blessées de la "révolution" handicapés à vie et sans ressources pour guérir leurs blessures physiques ou pour le moins alléger leurs souffrances.
Car aujourd'hui quid des soins et indemnités à prodiguer à ces jeunes qui se sont lancés dans ce mouvement ? Où sont les fonds qui devaient être utilisés pour soigner nos jeunes ?
On a bien entendu parler d'indemnisation de d'untel ou d'untel à des hauteurs de sommes astronomiques. Une partie de ces emoluments fraîchement mis à jour aurait déjà permis d'améliorer le quotidien de ces blessés et de leur famille.
Alors KS se ballade et va rendre visite au Peuple au lieu d'être à Davos.....
Commençons un peu par remettre à plat tout ce qui manque à notre pays et qui dépend que de nous comme par exemple :
1- Le rapatriement des fonds spoliés par ben ali &co et il fut le prince des voleurs mais n'en est pas le roi actuel ....
2- Revoir les déviations de l'IVD qui aurait pu/du soutenir le projet d'indemnisation des blessés et la prise en charge de leurs soins dans le pays ou à l'etranger selon le cas. Où est passé l'argent ?
3- création de la cour constitutionnelle dont le projet est gelé depuis 2014. Si le projet de société est la charia on comprend ce gel....autant rayer ces termes de la constitution qui devient du coup une pseudo constitution manipulable selon les intérêts particuliers de l'un ou de l'autre....
Un Président qui met une part de son Autorité au service des démunis sans les envoyer se faire flinguer ou se prostituer dans les zones de conflits c'est inhabituel dans notre Tunisie actuelle n'est-ce-pas ?
Feu Ben Ali aussi, faisait la même chose à ses débuts.
J'étais moi-même en route vers mon chantier à Zaghouan et je profite de l'occasion, pour remercier du fond du c'?ur, le nouveau Commandant de la Garde nationale, dont je pense, que c'est lui en coopération avec le ministère de l'équipement, qui ont aboli cette gigantesque injustice d'un radar mobile de la Garde nationale omniprésent à quelques mètres après une fausse plaque de limitation de vitesse, rabaissant la vitesse de 90km/h à 70km/h dans un presque tournant sans la moindre importance, là où il n'y a ni âme humaine ou animale, ni des maisons, ni même qu'il n'y a jamais eu d'accident de la route sur cette tronçons de route. Rien de rien qu'une malhonnêteté d'attrape-nigauds pratiquée dans les deux sens, par des gendarmes avides de profit personnel (primes de 6%) du montant de la contravention. Ces deux plaques de fausse limitation de vitesse à 70km/h, ont été retirées laissant une grande joie dont parlent les usagers de cette presqu'autoroute de Zaghouan.
Maintenant c'est au tour de la police stationnant au rond-point à l'entrée de la ville de Zaghouan, qui a trouvé comment spolier les hôtes de Zaghouan. Un policier se met avec son radar manuel à l'intérieur de leur station, et vise par la fenêtre, des gigantesques contraventions pour soi-disant avoir roulé à 60km/h au lieu de 50 km/h, là où toutes les voitures devront passer par un barrage policier à une vitesse piétonnière. Son collègue assis à table, remplit les contraventions à la chaîne par une joie indescriptible. Leur boss étoilé veille sur la fête. Je les ai vus un jour se tenir à la recette des finances, la carte d'identité à la main, pour cueillir les primes de la souffrance de leurs vaches laitières automobilistes.
Le ministre de l'Intérieur est ici appelé à lever cette injustice à l'entrée de la ville de Zaghouan dont souffrent les visiteurs de Zaghouan en premier lieu.
Donc, de retour à la fausse histoire de Samir El Ouafi, je lui dis que s'il y avait eu une réunion du gouverneur de Zaghouan à 07 heures du matin, c'est qu'il a eu une nuit blanche derrière lui, pour ne pas avoir été informé de la venue du président de la République Kaïs Saïd, dont le parcours dépasse une heure de route, passant par de grands rond-points où stationnent les agents de la Garde nationale. Des agents qui devraient avoir essayé de l'informer, s'ils avaient pu le rejoindre.
Cessez de desinformer, le monde est trop petit.
C'est une nouvelle idéologie cohérente qui offre une vision puissante et attractive de la démocratie, de la société et de l'économie. S'il exprime une colère et un ressentiment, sa force tient au fait qu'il se présente comme la solution aux désordres du présent. Il participe consciemment ou inconsciemment à alimenter par ses gestes à l'idéologie nouvelle du « populisme » ascendante du 21éme siècle.
Le Président tente une approche politique qui a tendance à opposer le peuple aux élites politiques, économiques ou médiatiques.
Le sentiment d'exclusion du pouvoir, même élu démocratiquement, est à la base de cette attitude qui touche aussi bien des sensibilités politiques de droite, de gauche ou islamiste. Il tente de parler à un peuple qu'il estime exclu du pouvoir et non écouté par la démocratie représentative jugée coupée des réalités.
Il est en train de créer un courant de pensée politique qui a des aspects démagogiques en préconisant et/ou soutenant des solutions simplistes à divers problèmes sociaux, économiques et politiques. '?a nous rappelle la naissance des fascismes dans les années 1920. Cette démarche s'affirmer depuis la fin du XXe siècle dans le monde occidental, dans un contexte de mondialisation et de déplacements de populations. On retrouve souvent des thèmes communs au populisme et au nationalisme, ce qui amène la notion de national-populisme.
C'est grave ce qu'il fait
Un repris de justice et ex-taulard serait-il assez légitime ou suffisamment compétent dans le domaine du protocole présidentiel ou même expert en logistique concernant les déplacements, officiels ou non, du PR, pour fourrez son nez dans des affaires qui ne le concernent pas et qui le dépassent même ?
Nous vivons décidément une période bien étrange, dans un pays qui est à l'avenant, où l'on voit désormais tout un chacun s'affubler des oripeaux de l'expert en savoir-vivre, jusqu'à donner effrontément des leçons de maintien au PR lui-même !
Excusez du peu !
Maxula.
Sous d'autres cieux, le Ministre de l'intérieur et le patron de la sécurité présidentielle auraient demandé au Président de se conformer aux normes de sécurité, en mettant aussi leur démission sur la table.
Mais c'est sous d'autres cieux...