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Sami Tahri : Le gouvernement est dirigé par des consignes étrangères !
20/11/2018 | 20:05
1 min
Sami Tahri : Le gouvernement est dirigé par des consignes étrangères !

 

Le secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri a souligné, ce mardi 20 novembre 2018, que le refus du gouvernement de satisfaire les revendications des salariés de la fonction publique est à l’origine du blocage des négociations et du maintien de la grève décrétée le 22 novembre courant.

 

Le syndicaliste a, en outre, affirmé que ce refus émanait des directives du Fonds monétaire international (FMI) qui a « dicté au gouvernement de ne pas augmenter la masse salariale ». Et d’ajouter que « le gouvernement est dirigé par des instructions étrangères ».

 

Rappelons que le secrétaire général de la centrale syndicale, Noureddine Taboubi avait annoncé, aujourd’hui, que la porte des négociations avec la partie gouvernementale est désormais close et ce après l’échec de la réunion avec le chef du gouvernement, Youssef Chahed.

 

B.L

 

20/11/2018 | 20:05
1 min
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Commentaires (24)

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Justinia
| 21-11-2018 18:11
Quand allez vous comprendre que le pays roule sur les jantes?
Quand allez vous comprendre que vous avez mis le pays à genou?
Jusqu'à quand vous allez taillader ce pays?
Le syndicat allemand a annulé une grève quand il a vu que cela allait nuire à l'Allemagne.Mais eux c'est des gens qui aiment leur patrie,contrairement à vous.Vous êtes des bandits et une nullité crasseuse.

Soufi
| 21-11-2018 17:25
On pensait s'en être débarrassé pour un certain temps et le voilà qui revient au galop.
Bête méchant et idiot jusqu'à la moelle . Il fut un temps où lui et ses compères ne pouvaient pas ouvrir leur bouche et aujourd'hui ils crient au malheur tous les jours. Oujouh annahs!!.

Dr. Jamel Tazarki
| 21-11-2018 14:54
des faits:
1) la charge des créances douteuses de notre système bancaire est approximativement de 13 milliards de dinars! Notre oligarchie entrepreneuse a les moyens afin de rembourser ses dettes mais elle ne le fait pas et tout le monde sait pourquoi!
2) le secteur touristique est à l'origine de la faillite de notre système bancaire et de la Tunisie, en effet 50% des créances douteuses de la STB, le 1/3 des créances douteuses de la BNA et le 1/4 des créances douteuses de la BH sont dans le domaine touristique qui appartient à notre oligarchie entrepreneuse et à nos milliardaires qui refusent de rembourser leurs dettes!
3) Ce qui est encore intolérable est le fait que nos banques publiques STB et BH a)financent un champ pétrolier qui contient au maximum la quantité misérable de 8 millions de barils de médiocre qualité et b)de financer une plateforme en pleine mer et d'accepter de la laisser périr sans travaux et sans entretien pendant 11 ans, ==> il est temps que notre oligarchie rembourse ses dettes, voir le lien:
http://www.businessnews.com.tn/limogeage-de-khaled-kaddour-kamel-bennaceur-fustige-youssef-chahed,520,82222,3
4) Et qu'a fait notre ex-troïka? Oui, elle a injecté 10 milliards de dinars (et même plus) dans notre système bancaire oligarque, recapitalisation:(

==>
J'espère que vous comprenez maintenant pourquoi notre système bancaire va très mal!



Les solutions:
Oui, les solutions existent afin de recapitaliser/financer notre système bancaire et notre économie:
==>
-Il est temps de prier/forcer notre oligarchie à rembourser ses dettes et elle a les moyens afin de le faire!
-Il est temps de confisquer les hôtels de ceux qui ne veulent pas rembourser leurs dettes ou qui ne veulent rembourser qu'une partie minimale de leurs dettes et de les vendre à l'internationale.
-Il est temps de prier/forcer ceux qui voulaient investir dans les champs pétroliers de rembourser leurs dettes envers la STB et la BH.


Je propose à Mr. Youssef Chehed d'accélérer la création des banques à 100% publiques des régions qui s'occuperont du développement respectif des différentes zones géographiques tunisiennes! Il est temps que l'on dépose l'épargne des Tunisiens dans nos banques publiques des régions (et non pas dans les banques de l'oligarchie) afin de le faire mieux circuler au profit des régions, des Tunisiens et de la Tunisie!

"Nos" banques oligarques disposent de la presque totalité de l'épargne des tunisiens à des taux d'intérêt dérisoires et le gèrent très mal!

Il y a même des banques tunisiennes privées qui disposent de plus de 5000 millions de dinars d'épargne des Tunisiens alors que leur capital propre ne dépasse pas les 300 millions de dinars! Certes, ceci est un héritage d'avant 2011 mais il est temps de le corriger!

Je rappelle qu'en Allemagne, la majorité du système bancaire est nationalisée sous la forme de banques détenues par les Länder (les Etats régionaux). Et ce sont ces banques régionales qui ont toujours financé les grands projets des Etats régionaux!


Il est urgent de séparer la banque de dépôt de la banque d'affaire: Afin d'éviter une crise bancaire comme celle qui a eu lieu dans les pays de nord, il faut séparer la banque de dépôt de la banque d'affaire. Ce qui signifie que nos banques oligarques n'ont le droit de spéculer qu'avec leurs propres monnaies et non pas avec l'épargne des particuliers (appelés fonds reçus du public). ==> D'où la nécessité des banques des régions!


Emeli Sandé - Read All About It:
https://www.youtube.com/watch?v=vaAVByGaON0

Dr. Jamel Tazarki
| 21-11-2018 14:44
Introduction: ce n'est pas à cause des quelques centaines de Millions que l'on a accordés aux pauvres que la Tunisie va mal, mais il faut revoir plutôt où sont passés les 19 milliards d'aide et de dettes extérieures qui ont été injectées par le haut et ne se sont jamais infiltrées vers le bas afin que la masse pauvre puisse en profiter


La plus grande faute du gouvernement de Mr. Essid est d'avoir injecté directement/indirectement autour de 10 milliards d'euros dans un système bancaire oligarque et en faillite. Il s'attendait qu'en injectant de l'argent dans notre système bancaire, cet argent allait circuler et créer de la richesse pour la Tunisie et tous les Tunisien et aboutir ainsi à une croissance économique de 4% à 7%", mais à sa grande surprise notre système bancaire était/est une jarre sans fond et l'argent injecté n'a jamais circulé. Certains de nos hommes d'affaires et de nos banquiers nous parlaient plutôt de la conquête économique de l'Afrique Subsaharienne et de l'exportation de nos capitaux!


On ne recapitalise pas des banques qui appartiennent en partie à l'oligarchie et à la bourgeoisie avec l'épargne de la masse pauvre sans les avoir nationalisées à 100% auparavant et ceci à zéro dinars/euros. L'Allemagne a eu le courage de nationaliser entièrement et à zéro euro l'une de ses plus grandes banques avant d'y injecter de l'argent, la Hypo Real Estate. Alors que notre ex-gouvernement de Mr. Essid injecte inconditionnellement des milliards de dinars dans le système bancaire tunisien en grande partie oligarque. ==> La nationalisation à zéro dinars/euros et entière des banques tunisiennes en faillites aurait dû être faite déjà en 2011. Toute autre solution (sans la nationalisation à 100% et à zéro dinars/euros ou la fermeture) coûte plus chère aux Tunisiens! Voir le lien: http://www.businessnews.com.tn/oxford-business-group-presente-le-programme-de-reforme-du-systeme-bancaire-tunisien,520,66109,3


Depuis 2011 les entreprises privées tunisiennes exigent et obtiennent des baisses d'impôts et des dépenses publiques et privent ainsi l'Etat tunisien des moyens financiers de jouer son rôle d'entrepreneur dans des secteurs économiques indispensables pour la Tunisie où personne n'ose investir (infrastructure et logistique), elles assèchent ainsi les moyens de la source d'investissement de l'?tat sans pour autant apporter de remèdes à notre économie. Notre ex-Premier Ministre, Mr. Essid, a fait baissé le taux directeur de 5% à 3.5% afin de motiver nos entrepreneurs d'investir, mais rien de cela! ===> Même un taux directeur négatif (ce qui est du non-sens, mais à limite faisable) ne pourrait pas motiver nos hommes d'affaires affairiste à investir.

Jamel Tazarki

Dr. Jamel Tazarki
| 21-11-2018 14:30
1ère partie
Une politique conjoncturelle pour la Tunisie pourrait être une combinaison des paramètres suivants:
-Politique monétaire (taux d'intérêts),
-politique budgétaire (dépenses et investissements publics),
-politique fiscale (impôts),
-politique de financement,
-politique sociale,
-politique des salaires et le taux de change.

Les politiques de relance se basent en particulier sur deux théories économiques: les keynésiens et les libéraux. Je vais parler dans la suite de la politique budgétaire keynésienne et je parlerai une autrefois de la politique budgétaire antiétatique (les libéraux). Je vais essayer de situer la Tunisie dans ces systèmes de pensées économiques.

L'interventionnisme (les keynésiens)
1) Les keynésiens sont pour l'Appui de l'Etat et recommandent une politique de relance par l'augmentation de la demande de consommation et de la demande d'investissement. Pour inciter ou ralentir l'activité économique, ils utilisent la politique monétaire (taux d'intérêts) et la politique budgétaire (dépenses et investissements publics). Le but est la consolidation de l'emploi par l'investissent et l'élargissement de la croissance. La relance engendre ainsi un déficit budgétaire mais augmente les investissements: C'était la politique conjoncturelle de Mr. Essid qui était un désastre puisque nos entrepreneurs ont profité des dépenses publiques sans ou avec très peu d'investissement.

2) Le déficit doit être équilibré par les impôts à long terme ==> ce que Mr. Youssef Chehed doit faire afin d'équilibrer les énormes dépenses publiques sans aucun résultat socio-économique de Mr. Essid.

3) Certes, la contribution de l'Etat est indispensable lorsque l'économie est déficiente afin de corriger les imperfections du marché et d'atteindre le plein emploi. La politique monétaire, entre autre par les taux d'intérêts, est le régulateur primordial. Mr. Essid a fait baisser le taux directeur de 5% à 3.5% afin de motiver nos entrepreneurs à investir mais rien de cela!

4) D'après la politique budgétaire keynésienne, Il n'y a pas de relance si la politique monétaire ne produit pas une augmentation de la demande. Or, une forte demande est déjà existent en Tunisie puisqu'il n'y a pas assez pour tous les Tunisiens (il manque de tout en Tunisie). ===> De ce fait cette condition keynésienne est vérifiée en Tunisie.

5) oui la politique socio-économique de Mr. Essid vérifiait toutes les conditions indispensables afin que sa politique budgétaire réussisse. Et pourtant Mr. Essid a complètement échoué pour la simple raison que rien ne pouvait motiver certains de nos entrepreneurs oligarques qui ont profité des dépenses publiques sans bouger le petit doigt en contrepartie.

6) La politique budgétaire keynésienne qui a été appliquée par Mr. Essid n'a pas fonctionné et n'a créé que de l'inflation En effet, Mr. Essid, a fait baisser le taux directeur de 5% à 3.5%; il a fait baisser l'impôt sur les sociétés de 30% à 25%, il a injecté 10 milliards de dinars dans notre système bancaire oligarque (recapitalisation), il a fait baisser le prix du carburant, il a fait baisser La taxe sur les dividendes et il a facilité la sortie/exportation de nos capitaux, et ceci afin de motiver nos entrepreneurs à investir, mais rien de cela!

7) Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. De ce fait, l'?tat a une fonction à jouer dans le domaine économique particulièrement dans le cadre de politique de relance. Les '?tats-Unis ont employé d'une manière méthodique la formule keynésienne pour sortir de leurs récessions d'après-guerre. Une possibilité de se convaincre est de constater dans quelle mesure ils ont autorisé à leur ratio dette/PIB d'augmenter entre la récession et le premier sommet conjoncturel. Oui, à la différence de nos entrepreneurs, les américains ont extrêmement investi!

Jamel Tazarki

Dr. Jamel Tazarki
| 21-11-2018 14:27
2ème partie
8) En Tunisie, Mr. Essid a surestimé le degré d'efficacité de la politique monétaire et budgétaire.

9) Mr. Youssef Chehed a heureusement très vite compris que la politique budgétaire keynésienne comme elle a été définie par John Maynard Keynes n'est pas applicable en Tunisie et a déjà conduit l'état tunisien à la faillite! Mr. Youssef Chehed a compris qu'il faudrait varier plutôt d'autres paramètres comme la politique fiscale (impôts), politique de financement, la politique sociale, politique des salaires et le taux de change tout en structurant notre industrie et notre agriculture. ==> C'est évident que notre oligarchie et nos milliardaires qui ont été trop gâtés par la politique keynésienne de Mr. Essid se "révoltent" contre le gouvernement de Mr. Chehed et vous savez maintenant pourquoi. En effet, Mr. Youssef Chehed voudrait appliquer plutôt une politique budgétaire keynésienne conditionnelle: ==> grands allègements fiscaux à condition d'investir et de créer de l'emploi. Et ceux qui investissent dans les régions intérieures de la Tunisie auront encore plus de privilèges et de facilités. Alors que Mr. Essid a injecté inconditionnellement des Milliards de devises étrangères (crédit et aide internationale) au profit de notre oligarchie entrepreneuse et de nos milliardaires qui n'ont investi que très, très peu!

10)La politique budgétaire d'inspiration keynésienne qui consiste à laisser galoper le ratio dette/PIB ne peut relancer notre économie que si nous la rendons conditionnelle comme a été prévu dans la PLF2018.

11) Une chose est évidente est que la crise économique en Tunisie n'est pas liée à la baisse de la demande privée (comme dans les pays du nord). Le peuple tunisien veut consommer mais il n'y a pas assez pour tout le monde. En Tunisie, la demande est là, mais la productivité est faible et ainsi le prix de revient est très haut.

12) Donc une solution évidente est celle i)de la baisse conditionnelle de la fiscalité (seulement ceux qui investissent pourraient profiter d'un allègement fiscal), ii)l'augmentation de l'offre grâce à une meilleure productivité, iii)minimiser le prix de revient, iv)équilibre budgétaire, v)minimiser les dépenses sociales et vi)augmenter progressivement la masse d'argent en circulation afin que l'offre ainsi crée sera absorbée par la demande.

13) Il faut que l'activité économique augmente plus vite que La masse monétaire dans notre pays. Sinon on aura un accroissement anormal de la quantité de monnaie par rapport au volume de la production.

Je résume: ce sont les consignes du FMI entre 2011 et 2014 qui ont ruiné la Tunisie socio-économique. Mais la faute est en particulier à notre extroika qui n'a pas su mettre en place des indicateurs appropriés afin de corriger notre politique socio-économique à temps et avant le collapse total.


@Rationnel:
Vous écrivez: "La politique socio-économique de la Tunisie est une stratégie du 'Stop-Go'" ==> non, je dois vous contredire, la politique socio-économique de notre ex-troïka était un GO sans STOP. Oui, il n'y avait pas des STOP afin de corriger notre politique socio-économique!

Très Cordialement
Jamel Tazarki

Rationnel
| 21-11-2018 13:31
"ce sont les consignes du FMI entre 2011 et 2014 qui ont ruiné la Tunisie socio-économique" La Tunisie a fait appel au FMI en 2016, le FMI n'était pas implique dans les choix économiques de la Tunisie entre 2011 et 2014.
La politique économique de la Tunisie est une stratégie du "Stop-Go" et non une politique Keynésienne. Une politique Keynésienne implique des investissements publics importants dans l'infrastructure tel qu'on voit en Chine ou en Turquie. Est ce qu'on peut parler de grands projets d'infrastructure en Tunisie?
L'inflation en Tunisie est le résultat de la baisse du dinar, de la baisse de la production, de l'augmentation des dépenses publiques non productives dues a l'augmentation de l'effectif de la fonction publiques (recrutement de 200 milles bureaucrates), et l'augmentation des salaires. La baisse du dinar est due a l'aggravation du déficit commercial avec la chute des recettes touristiques et l'exportation des phosphates.

"injecté 10 milliards de dinars et même plus dans notre système bancaire oligarque" , l'état Tunisien détient 38% du capital des banques Tunisiennes et l'état est majoritaires dans les trois banques qui ont reçu la part du lion de la recapitalisation. L'état Tunisien a la responsabilité de recapitaliser des banques comme la STB puisque ce sont les directives de l'état qui ont créer des difficultés pour ces banques. L'état ne peut pas exiger que les banques comme la STB soutienne le tourisme et ne pas les aider quand ce secteur s'écroule. Est ce qu'il y a vraiment une oligarchie en Tunisie? Si c'est le cas est ce que vous pouvez nommer les oligarques? Aux USA il y a une Oligarchie et tous le monde connaît les oligarques comme Bezos, Gates, Buffet, Koch brothers,...

La plupart de vos commentaires sont très loin de la réalité.

Mansour Lahyani
| 21-11-2018 11:54
Le gouvernement est surtout entravé par des Tunisiens pur sang aveuglés par leur incompétence maquillée en militantisme syndical ! Pour s'en convaincre, il suffit de connaître ces aveugles qui ne savent pas quoi faire, mais qui le font avec enthousiasme!

Dr. Jamel Tazarki
| 21-11-2018 11:46
Très Cher Compatriote,
Vous écrivez: "Ce sont précisément ces 'Parties' à l'origine de ces 'Consignes étrangères' qui maintiennent le pays vivable!",
==>
Ceci n'est pas à 100% vrai!

En effet, ce sont les consignes du FMI entre 2011 et 2014 qui ont ruiné la Tunisie socio-économique: la politique budgétaire keynésienne qui a été conseillée par le FMI et appliquée aveuglement par notre ex-troïka n'a pas fonctionné et n'a créé que de l'inflation. En effet, notre ex-troïka a injecté 10 milliards de dinars et même plus dans notre système bancaire oligarque (recapitalisation), notre ex-troïka a fait baisser le taux directeur de 5% à 3.5%; a fait baisser l'impôt sur les sociétés de 30% à 25%, a fait baisser le prix du carburant, a fait baisser La taxe sur les dividendes et a facilité la sortie/exportation de nos capitaux, et ceci afin de motiver nos entrepreneurs à investir, mais rien de cela, oui rien de cela! Nos entrepreneurs ont asséché ainsi les moyens de la source d'investissement de l'état (en infrastructure et en logistique) sans pour autant apporter de remèdes à notre économie.

Certes, de point de vue théorique le FMI avait complètement raison! Mais cette Théorie keynésienne qui a bien fonctionné en Asie, en Amérique latine et même aux USA n'a nullement fonctionné en Tunisie. Pour la simple raison que la mentalité de nos entrepreneurs (en majorité des affairistes) est totalement différente de celle de ceux de l'Asie et d'Amérique latine.

La faute est à qui? Surement pas du FMI, mais plutôt la faute de nos politiciens du temps de notre ex-troïka qui n'ont pas su mettre en place des indicateurs appropriés afin de corriger notre politique socio-économique à temps et avant le collapse total.


Le malheur est que la majorité de nos experts voudraient réappliquer de nouveau la même politique socio-économique désastreuse de notre ex-troïka! Il suffit de prendre l'exemple de "Maxula Bourse" qui nous propose d'injecter 3000 Millions de dinars (et même plus) dans notre système bancaire (recapitalisation), voir le lien: http://www.businessnews.com.tn/maxula-bourse-classe-les-banques-tunisiennes-selon-leur-perennite-et-solidite-financieres,519,83944,3

Je vous prie de me corriger, si je me trompe dans mon analyse!

Très Cordialement

Jamel Tazarki

stuc
| 21-11-2018 11:42
j ai tjrs pense que pour sauver ce pays,il faut le donner en gerance libre.(un mtre de l economie japonais,finances un suisse,interieur,un allemand,etc........