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Salma Bouraoui : La tête de certains journalistes est mise à prix à Tataouine !
28/04/2017 | 15:07
1 min
Salma Bouraoui : La tête de certains journalistes est mise à prix à Tataouine !

La journaliste Salma Bouraoui a affirmé, ce vendredi 28 avril 2017, sur Express Fm, que la tête de certains de ses confrères est mise à prix à Tataouine.

Elle a expliqué, que des collègues, notamment du journal « Al Mayadine » ont été menacés « car ils travaillent dans un journal pro Bachar Al Assad ». Ces journalistes n’ont pas pu quitter leur hôtel à Tataouine.

 

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28/04/2017 | 15:07
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Commentaires (11)

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Alexandre Dumas
| 29-04-2017 23:53
La Syrie, symbole de la résistance et du patriotisme contre les rétrogrades dont les jours sont comptés et Bachar, victime d'un complot impérialiste voué à l'échec!!! Pour quand la réouverture de l'ambassade: promesse électorale de BCE ??!

slalom
| 29-04-2017 22:59
Cibler un organe pro-assad prouve, si besoin est, que la horde des soit disant"manifestants" est manipulée par un courant politique et ça rappelle bizarrement la mascarade de Petrofac à Kerkenna les vrais besoins de développement c'est au nord-ouest et là ça ne frime pas avec ideologie mais le gouvernement voit les choses autrement et c'est dommage

sss
| 29-04-2017 14:46
Personnellement je suis tout à fait d'accord! Ce que j'ai vu sur les vidéos: Des voyous, des racailles, et j'en passe je n'ai jamais vu de ma vie une femme et qui de plus porte soit disant le voile parler à un homme qui de plus est chef de gouvernement d'une manière vulgaire impolie; une femme musulmane n'élève pas la voix de cette manière criant huant c'est ce que j'appelle manque d'éducation dineyan we ekhlakien enfin on verra comment ça va finir

Tintin
| 29-04-2017 12:15
La couverture sur place de cette dame , des evenements a Tataouine, nous rappelle les reportages du journalisme neo- colonial du " monde civilise" chez les geux et affreux barbares du tiers monde.
Une illustration qui reflete a merveille l ecart qui separt les medias des realites du pays et des aspirations du peuple pauvre de la Tunisie profonde Un reportage qui balise le terrain pour que l opinion s habitue a accepeter l instrumentalisation de la matraque, a faire croire que les tunisiens du sud sont des terroristes et enfin leur enlever leur qualite de Tunisiens. Le coktail parfait pour faire resigner l opinion a une guerre civile alors que la Lybie est si proche !

kameleon78
| 29-04-2017 12:01
Le pétrole produit dans la région n'est pas rentable avec des coûts de production élevés et un prix de vente du baril dérisoire, donc même si on attribuait 20% des bénéfices du pétrole cela ne suffirait pas à développer la région. Cette idée n'est sortie de la tête que de politiciens cyniques qui ne cherchent qu'à diviser la population. Comment faire fonctionner les organismes publics, les hôpitaux, les écoles, les municipalités avec un prix du pétrole aussi bas, donc ces régions sans la solidarité nationale s'enfonceraient encore plus dans le sous-développement.

k.Hmida7806
| 28-04-2017 21:14
ça leur apprendra à s'occuper de leurs affaires et d'arrêter de courir n'importe où à la recherche du buzz.
Ignorer ces hommes de mains de nahba, cpr et des lpr est la meilleure façon de leur faire comprendre leur vraie valeur, juste qu'ils sont nuls et qu'on les emmerde tous

anti-islamiste
| 28-04-2017 20:11
Ne plus y envoyer de journalistes et ne plus donner d'importance à la racaille islamiste peut servir de leçon .

G D ID
| 28-04-2017 18:58
Parce qu'il y a des hôtels à Tataouine?

Marwen-Electrosat
| 28-04-2017 15:42
Je pense qu'il est temps de donner l'indépendance à tataouine et construire un mur entre cette région & le reste du pays , on verra bien ce qu'ils feront quand tataouine deviendra un emirat de daech...

kameleon78
| 28-04-2017 15:40
Les islamistes et les CPristes (et leurs dérivés) excitent une partie de la population à stigmatiser Bachar, je vous avais dit que la Nahda joue les doubles-faces, ils ont un pied dans le gouvernement pour surveiller les dossiers "chauds" les concernant mais en privé ils poussent la population du Sud à s'insurger face au gouvernement. Les journalistes ne sont que leurs cibles "visibles" mais la vraie cible c'est le gouvernement et l'état.