Vous n'avez pas bien réalisé, cher Monsieur, que l'émission
du 17 décembre 2019, avait été mise en scène par notre fameux BCE et UGTT contre Y. Chahed et son gouvernement ou suis-je naïf ?
Sur sa page Facebook ce jeudi 17 janvier 2019, jour de grève générale dans la fonction publique et le secteur public, le député de la Coalition nationale Sahbi Ben Fredj a félicité Béji Caïd Essebsi, président de la République et commandant suprême des forces armées, d'avoir fait en sorte "qu'il n'y ait pas eu de dépassements ou altercations lors de la grève d'aujoud'hui, aussi bien du côté du syndicat, de la police républicaine ou du gouvernement".
"Je remercie Dieu de nous avoir laissé la chance de vivre dans un régime démocratique dans lequel on organise une grève générale, pacifique, civilisée et sans violences, effusion de sang, torture ou emprionnement, marginalisation, comme a été le cas en 1978 et comme redoutait le président lui-même", a-t-il écrit, ajoutant : "Je remercie aussi Dieu d'avoir un gouvernement et un syndicat qui reprendront les négociations et les disputes, avec les discussions et non les balles, pour parvenir à un consensus qui satisfait à la fois les revendications légitimes et les moyens de l'Etat".
S.T
Sur sa page Facebook ce jeudi 17 janvier 2019, jour de grève générale dans la fonction publique et le secteur public, le député de la Coalition nationale Sahbi Ben Fredj a félicité Béji Caïd Essebsi, président de la République et commandant suprême des forces armées, d'avoir fait en sorte "qu'il n'y ait pas eu de dépassements ou altercations lors de la grève d'aujoud'hui, aussi bien du côté du syndicat, de la police républicaine ou du gouvernement".
"Je remercie Dieu de nous avoir laissé la chance de vivre dans un régime démocratique dans lequel on organise une grève générale, pacifique, civilisée et sans violences, effusion de sang, torture ou emprionnement, marginalisation, comme a été le cas en 1978 et comme redoutait le président lui-même", a-t-il écrit, ajoutant : "Je remercie aussi Dieu d'avoir un gouvernement et un syndicat qui reprendront les négociations et les disputes, avec les discussions et non les balles, pour parvenir à un consensus qui satisfait à la fois les revendications légitimes et les moyens de l'Etat".
S.T