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Safwane Grira, objet de discorde entre Moncef Marzouki et son ancien ami Youssef Seddik
Au cours de l’émission « A celui qui ose seulement » de ce soir du dimanche 19 octobre 2014, Moncef Marzouki a eu un nouveau coup de gueule à l’égard de Youssef Seddik qui lui a rappelé des propos qu’il aurait avancés concernant le journaliste Safwane Grira qui avait révélé l’affaire de la demande du président Marzouki de faire limoger un fonctionnaire de Tunisair pour un verre de whisky qu’on ne lui aurait pas servi à bord d’un avion.
Lorsque Youssef Seddik lui rappela ses menaces quant à « la mise en prison de Safwene Grira », anecdote publiée dans le dernier livre de M.Seddik, Moncef Marzouki a éludé la question tout en refusant ce genre d’accusations.
A noter que le président de la République a été très en colère, également, contre son « ami » Youssef Seddik lorsqu'il lui a demandé de ne pas s’approprier l’élaboration de la Constitution, car celle du 30 juin 2013 que M. Marzouki allait accepter était contraire aux aspirations des Tunisiens et n’eût été la pression de l’opposition, de la société civile et de la rue, il n’y aurait pas eu ce texte final adopté.
Le président de la République a, alors, dit clairement que les règles du jeu dans l’émission étaient qu’on le mette face à des invités « amis pour l’aider» avant de se tourner vers Youssef Seddik et lui dire, sur un ton grave, que le moment n’est pas aux finasseries car c’est de l’avenir de la Tunisie qu’on débat.
Lorsque Youssef Seddik lui rappela ses menaces quant à « la mise en prison de Safwene Grira », anecdote publiée dans le dernier livre de M.Seddik, Moncef Marzouki a éludé la question tout en refusant ce genre d’accusations.
A noter que le président de la République a été très en colère, également, contre son « ami » Youssef Seddik lorsqu'il lui a demandé de ne pas s’approprier l’élaboration de la Constitution, car celle du 30 juin 2013 que M. Marzouki allait accepter était contraire aux aspirations des Tunisiens et n’eût été la pression de l’opposition, de la société civile et de la rue, il n’y aurait pas eu ce texte final adopté.
Le président de la République a, alors, dit clairement que les règles du jeu dans l’émission étaient qu’on le mette face à des invités « amis pour l’aider» avant de se tourner vers Youssef Seddik et lui dire, sur un ton grave, que le moment n’est pas aux finasseries car c’est de l’avenir de la Tunisie qu’on débat.
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