L’écrivain et homme politique, Safi Saïd est revenu, aujourd’hui, dimanche 28 mai 2017, sur les accusations selon lesquelles il aurait bénéficié de biens offerts par Chafik Jarraya et qui ont été confisqués.
L’ancien candidat à la présidentielle affirme qu’il n’a rien à se reprocher et que rien ne l'inculpe dans l’affaire de Chafik Jarraya, qui est devenue, selon lui, un règlement de comptes. « Je ne suis pas du genre à recevoir des pots-de-vin ou à conduire des voitures appartenant aux autres. J’ai déjà connu les voitures luxueuses et j’ai toujours été un homme libre [...]Je pardonnerai à ceux qui ne me connaissent pas. Cependant, ceux qui me connaissent auront ça sur la conscience », a-t-il écrit sur sa page Facebook.
Safi Saïd : L'affaire Jarraya est devenue un règlement de comptes
L’écrivain et homme politique, Safi Saïd est revenu, aujourd’hui, dimanche 28 mai 2017, sur les accusations selon lesquelles il aurait bénéficié de biens offerts par Chafik Jarraya et qui ont été confisqués.
L’ancien candidat à la présidentielle affirme qu’il n’a rien à se reprocher et que rien ne l'inculpe dans l’affaire de Chafik Jarraya, qui est devenue, selon lui, un règlement de comptes. « Je ne suis pas du genre à recevoir des pots-de-vin ou à conduire des voitures appartenant aux autres. J’ai déjà connu les voitures luxueuses et j’ai toujours été un homme libre [...]Je pardonnerai à ceux qui ne me connaissent pas. Cependant, ceux qui me connaissent auront ça sur la conscience », a-t-il écrit sur sa page Facebook.
Le cas Jarraya est particulier car c'est surtout sur la base d'atteinte à la sureté de l'Etat que la loi du 25 avril 1978 a été activée. En réalité ce qui est recherché actuellement ce sont plutôt les complicités dans la comission de ce crime contre la sureté de l'Etat qui donc pourront tomber sous le coup de cette infraction. Pour ce qui est du lobbying(généralement attaché à des entreprises et non des hommes) il n'est pas interdit par la loi mais en revanche le trafic d'influence lui l'est. Recevoir des biens et des services en contrepartie d'une décision ou d'un acte engageant une prerogative de puissance publique cela est du trafic d'influence. En revanche éclairer les agents publiques par des études (ce que font généralement les groupes de pression) ou des avis afin d'orienter leur décisions sous couvert d'intérêt
général cela c'est du lobbying. Le lobbying c'est d'ailleurs ce que font les partis politiques, les associations, les entreprises, la presse parfois afin de faire entendre leur voix ou leur voie au choix.
C'est donc la contrepartie rétrubitive d'un bien ou d'un service octroyée lorsque celle-ci engage une décision de puissance publique qui sera recherchée et qui constitue bien souvent un casse-tête juridique. En revanche toute activité complice d'une infraction de contrebande ou de corruption directe sera beaucoup plus facile à démontrer. Il faut aussi rappeler que toute donation et sa provenance doit être déclarée au fisc...
d'entendre "bavasser" avec suffisance ce petit maître donneur de leçons et dont le discours donne(me donne) l'impression qu'il n'est pas aussi innocent (libre comme il dit) qu'il l'affirme et aussi qu'il a bouffé à pas mal de râteliers....
Essayer de se justifier , c ' est reconnaître à quelque part avoir mal agi. Mais de plus n' en rajoutez pas en provoquant les effort du gouvernement à lutter contre la corruption .
Il n' est pas sain , Monsieur , de nier ses actions et de plus dénigrer les efforts louables du gouvernement . Ce n' est pas une attitude patriotique d' ex - prétendant à la magistrature suprême . Vous prouvez que vous n' en auriez pas eu l' étoffe .
La démagogie et la langue de bois ont fait son temps , Monsieur .
Tout comme Belhaj le présentateur sur nessma tv qu'on nous devient historien pour raconter des absurdités risibles.
Dors sur ton foin de lui dire et arrêtés de déformer l'histoire comme plusieurs opportunistes qui ne savent dire des bêtises pour cacher leur devenus étonnement des complexes sociaux. Il faut s'instruire avant de se moquer des gens.
on deux mot c'est résumé Mr SAFI,a la place de dire je pardonne a ceux qui ne me connaissent pas , mais ceux qui me connaissent aurons ça sur la conscience , ces beau de dire tous ça , mais moi a votre place je dirai en restant calme j'attendrai des preuves pour tous cela sans dire que l'affaire est devenu un règlement de Compte , la sagesse et la clé de la réussite en politique
Vous dites que vous n'êtes pas proche de Jerraya....OK....mais alors à quel titre vous émettiez cet opinion...pet être par simple philanthropie...soit....on peut vous croire à la limite, mais il y a un hic, quand le nommé C.Jarraya se montrait indécent, insultant et arrogant vis à vis d'un tas de gens politiciens et même des journalistes qui faisaient leur boulot, M° Safi Saied n'a pas levé le petit doigt pour contrer ce malotru, pour calmer son ardeur et le mettre à sa juste place....celle d'un contrebandier
Le jour de l'arrestation de Chafik Jarraya, Safi Saïd est apparu à la télé en compagnie de la Abbou, pour expliquer aux téléspectateurs sa conception du fassad en Tunisie et ses conséquences sur l'économie. Pour résumer, il ne considère pas Jarraya comme étant un "fased dangereux", les vrais fossadss sont ceux qui possèdent des participations dans les sociétés pétrolières étrangères. Il n'a pas cité de noms mais il a essayé de minimiser le rôle de Jarraya dans le système et à conseillé les autorités d'aller chercher ailleurs les fosseds. On se demande pourquoi se montrait-t-il aussi indulgent envers Jarraya alors que que les choses