Le même phénomènes se retrouve dans tous les domaines.. Incompétence, manque d'information, manque d'articulation, capacités langagières limitées, connaissance limitée du monde contemporain, avidité et cupidité et désir d'enrichissement facile et rapide... etc. etc.
Améliorer la qualité des prestations au sein du marché financier tunisien et renfoncer les exigences de transparence et d’intégrité des transactions boursières ont fait l’objet d’une réunion de travail entre les différents intervenants de la place : intermédiaires en bourse et représentants de la Bourse et du Conseil du marché financier (CMF). La réunion élargit le champ de la concertation à tous les intervenants opérant sur la place boursière de Tunis pour le projet de refonte du cadre législatif régissant le marché financier.
A cette occasion, les participants ont formulé d’importantes propositions d’ordre pratique notamment en ce qui concerne l’amélioration des diligences lors des opérations d’introduction en bourse pour permettre aux investisseurs d’avoir toutes les informations pertinentes au sujet des sociétés objet de l’introduction et pour assurer la liquidité des valeurs nouvellement introduites. Ces efforts doivent aller de pair avec le renforcement des capacités de communication au niveau de la place aussi bien à travers les missions dédiées à cet effet au sein de la Bourse des valeurs mobilières de Tunis que via l’association professionnelle des intermédiaires en bourse (AIB) afin que les professionnels du marché puissent répondre au mieux aux attentes des investisseurs en général et des petits porteurs en particulier.
Les débats ont, également, porté sur un possible repositionnent du marché alternatif de la bourse afin qu’il soit destiné en priorité aux investisseurs institutionnels et avertis (banques, sociétés d’assurances, fonds d’investissement…) et ce, au vu du profil particulier des sociétés pouvant être cotées sur ce marché à savoir principalement les petites et moyennes entreprises et les sociétés en voie de restructuration ou de constitution.
Les professionnels de la place ont plaidé pour la poursuite des réformes visant le développement du marché financier et de la Bourse de Tunis, notamment à travers l’octroi d’incitations spécifiques à certains produits et véhicules tels que les comptes d’épargne en actions et les organismes de placement collectif en valeurs mobilières et ce, afin de dynamiser la demande sur le marché boursier pour qu’il puisse jouer pleinement son rôle dans le financement de l’investissement privé, vecteur essentiel de croissance et de création d’emplois.
Commentaires (2)
CommenterLe problème tunisien
Le même phénomènes se retrouve dans tous les domaines.. Incompétence, manque d'information, manque d'articulation, capacités langagières limitées, connaissance limitée du monde contemporain, avidité et cupidité et désir d'enrichissement facile et rapide... etc. etc.
Pas assez précis !
At-il été débattu ?