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Retour au calme au Kram après les heurts entre manifestants et forces de l'ordre
13/12/2017 | 22:00 , mis à jour à 22:30
1 min
Retour au calme au Kram après les heurts entre manifestants et forces de l'ordre

Une vive tension et des affrontements entre des manifestants et les forces de l’ordre ont lieu, ce soir du mercredi 13 décembre 2017, au quartier 5 décembre d’El Kram. Des jeunes ont manifesté leur colère à la suite de l’agression d’un poissonnier du quartier, Ferjani alias "Taureau", par le chef du poste de police, selon la version des protestataires.

 

 

La situation semble s’envenimer de plus en plus. Les manifestants ont barré les routes en mettant le feu dans des pneus, alors que les forces de sécurité ont tenté de les disperser en usant de gaz lacrymogène.

 

(Attention, langage grossier)

 

 

Mise à jour 22h30 :

 

Après le départ des forces de l’ordre, il y a eu un retour au calme et la situation s’est apaisée à la suite des grabuges et des heurts.

 

13/12/2017 | 22:00 , mis à jour à 22:30
1 min
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Commentaires (11)

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Osta
| 14-12-2017 20:11
C'est ce qu'on appelle prendre le "Taureau" par les cornes de la part de la Police.

takilas
| 14-12-2017 19:08
Croyant à l'Eden, pareil à l'immigration clandestine ou autorisée (quoique sur intervention en guise de privilège pour populisme du RCD du temps de Ben Ali ou de nahdha après 2011), plusieurs originaires des régions de l'intérieur, ont commencé à migrer massivement, surtout à partir des années quatre-vingts, vers les quartiers populaires (récemment conçus) de Tunis, dont entre autres celui du Kram Ouest, laquelle localité présente toutefois (d'après ceux qui se sont destiné à cette exode) l'avantage d'être proche de la plage et du festival de Carthage (qui n'a plus raison d'être actuellement) entre autres lieux de distractions comme le manège des Berges du Lac qui ne répond plus, par ailleurs, vu son âge, aux mesures préliminaires de sécurité, en attendant d'enseigner les générations actuelles à l'aide d'autres moyens favorables à la décentralisation.
Et, ce qui distingue le Kram Ouest des autres quartiers populaires de Tunis (anarchiquement conçus) c'est que ce lieu répond aux voeux de plusieurs des femmes (originaires de la campagne et des régions de l'intérieur, ainsi que celles du sud tunisien) qui ont exigé de leurs maris (des maçons en général) de muer vers ce lieu proche de la capitale Tunis, qui est elle-même déjà surpeuplée par l'effet de l'exode rural.
Ces femmes (ou leurs enfants devenus ados maintenant), en parlant des tous les quartiers populaires environnants Tunis, bataillent à ce jour pour s'intégrer sans moyens ni principes et ce dans la vie sociale, sans réussite toutefois, car leur défi est quasiment insensé, contre nature et incontrôlable voire plus grave de conséquence socio-économique que les immigrations clandestines ; et ce n'est pas les quelques exemples de réussites qui auraient pu se réaliser sans se remue ménage, et pareillement les cas des "nouveaux" riches.
Pour la petite histoire ces femmes insistent et font plusieurs interventions dès le départ rien que pour inscrire leurs enfants dans des écoles (même éloignées du Kram-Ouest) soit au Kram, à Salambo et même plus éloignées imaginant que ces écoles sont d'abord meilleures que celles se trouvant au Kram Ouest, et que leurs enfants vont acquérir le savoir, or leur rêve est vite estompé car les trajets d'aller et retour vont s'avérer plus difficiles que ceux à effectuer s'ils (elles) étaient patelin réciproques et dont le coût de la vie quotidienne leur permettrait plus aisément qu'au Kram Ouest ; dont leur sommeil en saison estivale plus particulièrement s'effectue par roulement , villages ou villes originels. Ceci d'une part.
D'autre part, leurs fréquentations de ces enfants (ou ados) sont basées sur la violence (vu le surpeuplement draconien dans ces quartiers populaires en général) alors que lesdites imaginant avoir accomplies leur devoir, se destinent à la promenade dans soit à Tunis (Parc Belvedere surpeuplé) , ou Sidi Bou Said pleine à craquer et d'autres emplacements présumés de renommés.
Et puis vint l'âge des beuveries précédé de la rupture définitive de l'enseignement en bas âge la plupart du temps, et les études soi-disant poursuivies au collège de la Goulette ou autre collège éloignées pareillement, même avec la resquille au train (et ses débandades) de leur résidence précaire et misérable au Kram Ouest.
Telle est la Tunisie dont la situation socio-économique s'est nettement aggravée depuis le début des années quatre-vingts à cause du fléau du régionalisme d'une part, et de la colonisation (interne) Tunis préconisée par certains traîtres dont des partis politiques, d'autre part.

BABAMOMES
| 14-12-2017 17:27
Au vu de la gueule tabassee du sieur taureau, on ne peut qu etre fuer du joli travail à la FBI accompli par notre police nationale

HatemC
| 14-12-2017 15:31
Ghdij tj derrière les émeutes ... le " taureau" drôle de surnom pour une victime .... HC

Soufa
| 14-12-2017 14:35
Elli mayrabihich bouh irabih el Hakem .

ommiaziza1912
| 14-12-2017 13:16
L ami du tartour minable recoba est passe par la. Le tartour et le gourou sont le drame de notre chere Tunisie de l apres revolution de la brouette.

Carthage Libre
| 14-12-2017 10:18
J'y passe TOUS les jours là bas, donc je connais parfaitement l'endroit. L'obscurantisme et le salafisme, idéologie de mort et de régression, fleuri comme les plantes nuisibles et la religion est devenu la nouvelle loi du quartier. C'est même devenu un petit "émirat", avec comme bras armée les LPR et autres bandits salafisés.

Nettoyer l'endroit au Karcher est un faible mot.

Il faut décontaminer cet endroit.

zohra
| 14-12-2017 08:31
c'est immonde ne passez plus des images comme ça, c'est horrible. Quelle agressivité, quelle scène tragique.

bec bec
| 14-12-2017 08:09
j'ai essayé de faire attention, mais j'ai pas réussi. Next time je serai plus prudent

beni hilal
| 14-12-2017 01:52
Le Kram, le Kram, le Kram ?
Ah oui, c'est le QG des soit disant LPR
Alors on s'en fout.