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Rencontre entre Béji Caïd Essebsi et Said Aïdi
03/09/2015 | 15:38
1 min
Rencontre entre Béji Caïd Essebsi et Said Aïdi

 

Le président de la République Béji Caïd Essebsi, a rencontré, ce jeudi 3 septembre 2015, le ministre de la Santé publique, Said Aïdi, au palais présidentiel de Carthage.

Le ministre a présenté au président de la République, les caractéristiques des grandes réformes du secteur de la santé, les moyens de sa promotion et les campagnes visant à prévenir contre plusieurs maladies et l'avancement de l'infrastructure sanitaire.

La rencontre a aussi traité de l'importance de préparer le terrain et de fournir les conditions nécessaires pour la réussite des grandes réformes dans le secteur. Cet objectif ne peut être atteint que par la conjugaison des différents efforts pour l’atteindre.

E.S

03/09/2015 | 15:38
1 min
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Commentaires (9)

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M. Melliuli
| 04-09-2015 18:44
On se croirait à lepoqun de ben ali. Ou les journalistes n'avaient rien à dire. Cest le cas aujourd'hui? Ou c'est 1 syndrome. Dégoûtant! !!

G&G
| 04-09-2015 13:55
la plus grande réforme c'est de laisser nos pharmaciens diplomés de Monastir travailler là où ils veulent sinon on continue à encourager la médiocrité

JOHN WAYNE
| 04-09-2015 11:46
Depuis l'année 2006, la CIA infiltre les milieux sunnites Syriens dans l'espoir de créer une insurrection armée contre le régime d'Al Assad.
En cette même année, une chaine de télévision de propagande islamiste Syrienne était inaugurée, entièrement financée par la CIA et le Mossad.
Au lendemain du printemps Arabe dont l'épicentre se trouve en Tunisie et dont le peuple a toujours eu pour rêve et idéal d'être colonisé par des blancs et des sionistes, la communauté sunnite Syrienne manipulée par la CIA et le Mossad s'est soulevée contre son leader.
La raison ?
Hafez Al Assad en exclusivité dans le monde Arabe avait un beau matin déclaré la Syrie comme étant une Nation à la constitution laïque.
Un bouleversement historique qui n'a même pas touché la Tunisie de l'après révolution qui se dit être une démocratie exemplaire dans le monde Arabe.
Comment peut-on être une démocratie exemplaire dans le monde Arabe quand l'ANC a comme membres des bonniches en hijab, des alcooliques, et des islamistes financés par le Qatar ?
Les Tunisiens sont des êtres prétentieux, ignares, nuisibles et destructifs.
Leur participation dans les massacres de DAECH en Syrie en témoigne.
Leur coopération avec la CIA du temps de Ben Ali en témoigne quand des hommes d'affaires et des confidents de Wassila aujourd'hui au palais de Carthage, se rendaient régulièrement à l'ambassade des Etats Unis à Tunis afin de déverser leurs informations quant à un Ben Ali et une Tunisie cernés par un peuple de traitres et d'expatriés Tunisiens d'Europe qui se disent Tunisiens mais qui sont financés par le Mossad.
Il m'arrive souvent de revoir ces vidéos datant du début de la révolution, de femmes en hijab laides et trapues, prêchant lors de réunions dans des villes comme Homs face à des milliers de gueux sunnites en clamant haut et court que le régime de Bashar tombera.
Les Arabes sont des traitres et le meilleur échantillon de cette racaille sont les Tunisiens qui dilapident l'argent du peuple dans des institutions démocratiques qui ne verront jamais le jour ou dont l'espérance de vie sera brève dans un pays au bord de la guerre civile.
L'armée en Tunisie doit prendre le pouvoir au nom de la Nation Arabe car un tel renversement sera suivi de répercussions infinies et positives dans le monde Arabe.
La Turquie d'Erdogan sombrera dans une révolution populaire Kamélienne.
La Libye des Kadhafistes se soulèvera et les islamistes tomberont de Tripoli à Benghazi.
Les forces de l'ordre Tunisiennes pourront mettre fin à cette hécatombe appelée révolution Arabe qui n'est autre que la plus grande trahison de tous les temps de peuples dont les Tunisiens, qui n'avaient ni honneur ni dignité.
Il s'agit d'une opportunité historique qui fera qu'il n'y aura plus jamais de corps d'enfants recroquevillés échoués sans vie sur des plages Turques.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.

watani
| 04-09-2015 09:23
Nous avons confiance au Ministre de la santé, 'est un grand homme. Cet entretien avec BCE consolide le travail en groupe e en coordination harmonieuse avec la Présidence du gouvernement et celle de la République. Les grands projets de la santé nécessitent l'implication de tout le gouvernement et la Présidence de la République, tout est lié, s'il y a défaillance au niveau d'un quelconque ministère, c'est le blocage de la chaîne. Chacun agit dans son rayon de compétences en harmonie. Ceci est valable pour les autres projets des différents départements. Merci Mr le Ministre et merci Bajbouj pour votre écoute et surtout pour votre apport positif.

Ettounsi
| 04-09-2015 00:24
La plus grande réforme à faire est;
- de forcer les médecins a payer leur impots comme tout le monde
- les pharmaciens a ne plus vendre des médicaments sans ordonnance!
- de forcer un passage géneraliste avant le spécialiste pour permettre a nos médins chomeurs de travailler

Ce sont des milliards de perdu!

élise
| 03-09-2015 20:16
le commentaire de B.N. rappele les informations insipides du temps de Ben Ali.
La photo et des officiels d'une trés grande prestance corrige un tant soit peu la langue de bois

SELIM
| 03-09-2015 17:07
Franchement je ne me lasse pas d'admirer l'élégance et la classe de BCE. Bravo au peuple tunisien qui a montré sa maturité en faisant le choix de porter Si Beji à la magistrature suprême.

Citoyen_lambda
| 03-09-2015 16:06
Je ne vois pas le role de BCE dans ce domaine. La santé ne fait pas partie de ses prérogatives , constitutionellement parlant. A moins qu'il ne porte la casquette de chef du premier partie de l'ARP et non de Président.

DHEJ
| 03-09-2015 15:57
Mais bon disposant d'une seconde nationalité, je ne suis que les traces de mon père:


Servir la maître blanc!