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Remaniement partiel du gouvernement
25/02/2017 | 14:41
1 min
Remaniement partiel du gouvernement

La présidence du gouvernement vient d’annoncer un remaniement partiel, le 25 février 2017. Ainsi, Ahmed Adhoum est ministre des Affaires religieuses. Khalil Ghariani est nommé en tant que ministre de la Fonction publique et de la Gouvernance, en lieu et place de Abid Briki.

 

Par ailleurs, Abdellatif Hmam est nommé en tant que secrétaire d’Etat au Commerce, en remplacement de Faycel Hafiène.

 

M.A

25/02/2017 | 14:41
1 min
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Commentaires (16)

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houda
| 26-02-2017 12:22
monsier chahed vous n avez de compte a rendre a personne la tunisie a besoin de vous vous etes entourèe de fauteurs de troubles ils faut les mettre en place de grè ou de force les tunisiens attendent un homme fort comme bouguiba et comme ben ali qu elle va au diable l ugtt de meme pour les partis ennahdha et nida qui ne cherchent que leurs interets et pas l interet du pays monsier chahed compte sur le peuple tunisien vous ne srez pas perdant

houda
| 26-02-2017 12:12
c est que le gouvernement tynisien a perdu le nord et celui qui donne encore de l importance a ennahdha va sauter avec elle

N.Burma
| 26-02-2017 11:17
Pas moins de quarante postes de ministres et sous-ministres dits secrétaires d'Etat, dans un pays aussi pauvre que la Tanzanie qui le devance dans le classement des pays par PIB c'est déjà en soi une honte tunisienne pour celles et ceux qui auraient encore un reste de dignité citoyenne.
Quarante ministres et sous-ministres là où en France il n'en faut pas plus de 36 ministres et secrétaires d'Etat pour administrer un pays qui compte parmi les sept nations les plus puissantes du monde et de plus de 65 millions de citoyens. Toutes choses égales par ailleurs, un gouvernement tunisien digne de ce nom n'aurait pas compté plus de sept ministres au maximum et il aurait ainsi démontré à l'opinion publique (dont il s'enfiche) que la gestion du pays ne se compte pas au nombre de ministres nommés.
Quand on observe de plus près cette composition gouvernementale qui nous donne à penser à une armée mexicaine en représentation à l'opéra de Mexico, on distingue Khalil Ghariani qu'on peut nommer le ministre des yaourts qui vient remplacer le ministre de la Fonction Publique Abid Briki, c'est l'UTICA qui s'occupe maintenant de la Fonction Publique, exactement comme aux USA Trump un industriel de la finance qui vient administrer l'Etat comme il aurait administré l'un de ses hôtels ou salles de jeux de Los Angeles.
Avec cette redistribution des cartes, fausses cartes et chaises tournantes, Ennahdha n'a qu'à se frotter les mains pour les prochaines échéances électorales, où tout porte à penser qu'elle remportera des victoires principalement sur l'échec politique patent d'un gouvernement théâtral qui gagnerait plus au théâtre municipal de Tunis que sur la scène politique d'un pays en déclin.
A ce rythme de déliquescence, Ghanouchi peut accéder le moment venu, à Carthage en toutes assurances et sans doute même applaudi par des dizaines de milliers de gens qui en auront assez de tant d'hypocrisies politiques sans le moindre résultat.

Mouchahéd
| 26-02-2017 08:54
Les ministres forts, orateurs et influents qui ne sont pas les hommes du Président de la République ne sont pas les bienvenus dans ce gouvernement.

Voilà la première chose à retenir de ce remaniement.

Deuxième chose est l'esprit à la Ben Ali: Tu ne démissionnes pas, c'est moi qui t'éjectes pour montrer que je suis le chef et le plus fort et par la suite je suis intraitable sur beaucoup de terrains.

Troisième chose qui est un message clair à la centrale syndicale: On s'en fou de l'opinion de l'UGTT, plus est qu'il doit reprendre sa vraie dimension et le remettre à sa place: Vous avez voulu démettre Néji Jalloul, eh bien on démettra un des vôtres. Après tout, c'est vous qui avez commencé.

Quatrième chose: on retire le ministère d'un ancien UGTT et on le donne à un actuel de l'UTICA. Fini d'amadouer l'UGTT.

La leçon ainsi comprise, la question est aux ministres actuels: A qui le tour?

Et si le prochain tour sera le Président du gouvernement lui-même après la perte de l'appui de l'UGTT qui lui, sera absolument intraitable avec ce gouvernement, suite à ce coup dans le dos? Perte de confiance oblige!

Forza
| 25-02-2017 23:43
L'UGTT ne va pas laisser l'humiliation passer. Je pense que BCE les a provoqués avec cette décision surtout que la performance de Briki n'est pas si mauvaise que ça. Donc l'UGTT va insister maintenant sur le limogeage de Jalloul pour démontrer qu'elle est encore une organisation avec la quelle il faut compter, rabi youstour barka, ce n'est pas le moment pour une telle confrontation à moins que des lobbies oligarques voulaient la tête de Briki et la question est pourquoi et quels dossiers.

kbwebkb
| 25-02-2017 23:24
idéale !!!!

LOGIQUE
| 25-02-2017 20:57
Adhoum est tout simplement l'époux de la s'ur de notre ancien premier ministre Mohamed Ghannouchi. Il est inutile de parler des autres ministres et de leur rapports familiaux et amicaux avec Hamed Karoui etc rien n'a changé...j'espère qu'on ira mieux!

Gabès-la-polluée
| 25-02-2017 20:44
il apparaît clairement, qu'Ennahdha fait ce qu'elle veut, au niveau du gouvernement, et que le Cheikh nomme et dénomme qui il veut, puisque Faycel Hafiyene qui rendait la vie difficile à Zied Laadheri au ministère du commerce, surtout, en essayant de s'opposer au néocolonialisme turc que concède Laadheri et son parti à la Turquie, et qui a coulé le commerce du pays sous des tonnes de produits sans aucune utilité, et qui a déséquilibré de façon « périlleuse » la balance commerciale de la Tunisie. C'est, en substance ce qu'avait déclaré Faycel Hafiyene, deux jours avant son limogeage, ce qui laisse croire que ce sont ses dernières déclarations qui ont fini par fâcher les « maîtres ottomans » et leurs représentant en Tunisie, Zied Laadheri, et qui ont précipité la prise de décision en ce qui le concerne.

je dis la vérité
| 25-02-2017 19:56
Le chef du gouvernement a fait un pied de nez à l'UGTT, en nommant quelqu'un de l'UTICA.

L'UGTT estime que c'est une provocation.
Les couteaux sont tirés...

Printemps arabe, printemps chaud...

takilas
| 25-02-2017 18:37
Et les médiocres de Nahdha indéfectibles comme d'habitude, il faut qu'ils soient. Pourqoui ? Par banditisme devons-nous ?
Alors ces ministres de Nahdha ont respectivement massacrés chacun son secteur, non seulement ils n'ont rie réussi mais pire encore ils ont massacré. On sait pas pourquoi on leur demandes de tâches inadéquates avec leurs capacités et leurs compétences ?
- Jusqu'à quand faut-il imposer cette formule dans le gouvernement ? Et surtout qu'il s'agit de gouvernement qui doit fonctionner efficacement et savamment ?
Cette mentalité de main basse et de colonisation doit être bannie sinon La Tunisie va perdurer dans la médiocrité. Tout cela à cause des occidentaux qui ont imposé (c'est loin d'un avis ou d'une proposition ) de formés soi-disant une constituante par un parti élu. C'est plein d'arrières-pensée (pour appeler les choses par leurs noms) et la preuve la réaction populaire qui a mené au...prix Nobel, la preuve ?! Nahdha devient bandit et la Tunisie subit un massacre inégalable risquant de devenir chronique voire irréversible.