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Rebondissement dans l’affaire Samir El Wafi, ses avocats crient à l’injustice !
18/01/2018 | 14:16
1 min
Rebondissement dans l’affaire Samir El Wafi, ses avocats crient à l’injustice !

 

L’affaire de racket impliquant Samir El Wafi a été finalement déférée devant une chambre de mise en accusation traitant les affaires du pôle judicaire financier, apprend Business News de source judicaire, ce jeudi 18 janvier 2018.

 

Contactés par Business News, ses avocats Nizar Ayed et Hatem Zouari étaient scandalisés et ont dénoncé une injustice. M. Ayed va encore plus loin en estimant qu’« il y a là déni de justice».

M. Zouari nous explique les faits. La Chambre de mises en accusation près de la Cour d’appel s’est engagée à clôturer l’enquête, après que le juge d’instruction a décidé de classer l’affaire comme étant un délit et non un crime. Lundi 15 janvier 2018, le procureur général de la République a déféré l’affaire devant la 13ème chambre et a fixé la date à ce jeudi 18 janvier 2018. Or, les avocats ont été surpris d’apprendre que cette chambre s’est désistée de l’affaire, la confiant à une autre : la nouvelle Chambre des mises en accusation N°35, chargée des dossiers du pôle judiciaire financier. « Le hic, c’est qu’on ne sait pas si cette chambre a été créée ou si elle est en cours de création et quand l’affaire de Samir El Wafi y sera déférée », nous explique M. Zouari.

« Le tout sachant que l’article 14 du Code de procédure pénale accorde seulement une dizaine de jours au ministère public pour fixer la date de délibération, l’animateur attendant la date de son procès depuis 1 mois et 18 jours », précise-t-il.

 

Pour rappeler les faits, Samir El Wafi, emprisonné en juin 2017, est accusé d’avoir escroqué une veuve et son fils en leur soutirant une importante somme d’argent.

 

I.N

 

18/01/2018 | 14:16
1 min
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Commentaires (6)

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Fehri
| 18-01-2018 23:01
Ce qui est étrange dans cette affaire c'est qu'on puni une seule partie, les soi disant victimes ont paye du pot-de-vin mais apparaissent comme plaignants. Ils ont commis un délit en versant un pot-de-vin. Libérez-le et renvoyez l'affaire a la Cour civile. Le garder pendant plus de six mois est une violation flagrante de ses droits constitutionnels. On s'attaque a une personne célèbre pour donner de l'exemple seulement. Samir est un prisonnier politique. C'est honteux de libérer les terroristes et d'emprisonner un soi disant escroc.

Ameur k
| 18-01-2018 18:22
Il doit payer le prix qu il faut ..point

EL WOUAFFY Y
| 18-01-2018 17:06
Ce n'est pas bon de dévoiler un domicile sans la présence de son propriétaire soit que soit sa situation ces la raison du moral et des coutumes .( Allah Yahdy ma Khlak ) .

linocha
| 18-01-2018 16:10
Sincèrement on commence à en avoir assez de ce feuilleton mexicain qui tarde à divulguer son épilogue mais oui puisque durant tout l'été on ne parlait que de ce mariage à la pompette et les provocations successives de son héros vis à vis de ses détracteurs pour découvrir enfin de compte le pot aux roses et couvrir ses procès qui n'en finissent pas eh oui le pauvre est devenu un sujet de fait divers

LE TUNISIEN
| 18-01-2018 15:06
Il ná que ce quíl merite et quón soit debarrassé à jamais de ses malfaiteurs.

Mannou
| 18-01-2018 15:05
Arrogance et fuite vers l'avant..un prix est à payer.