...est en marche...religion à tous les étages!!!

Effectivement les islamistes ne pensent pas islam religion mais pensent plutôt islam tremplin pour conquérir le pouvoir et utilisent tous les moyens pour y arriver.
Cependant les masses ne sont pas totalement aveugles et l'imposture commence à être levée.

Les ikhouaes en egypte ont pollue l esprit des jeunes avec le jihad dans les camps de scoot,alors faites attention et ne livrez pas vos enfants a n importe qui et faites leur education religieuse en prive en condamnant les passages du jihad qui causent des troubles du compoprtement l educstion religieuse doit etre controlee et loin de la politique deis ikhouanes qui veulent le pouvoir arme .ghannoucheot joue avec l education de nos enfant et reste un wahabo ikhouani dans l ame et partisant du jihad .en egpte les ikhouanes ont assassine sadate malgre son soutient s leur organisation

dE QUELLE VERSION DE LA RELIGION PARLEZ VOUS, DU WAHABISME qui vous a enrichi vous et vos enfants qui ont béneficié des meilleures écoles anglaises alors que les filles et fils de pauvres ont été endoctrinés pour allet assassinen en Syrie et ailleurs et les autres fils de pauvres sont militaires et policiers et se font sauter sur les mines de ceux qui vous rappellent votre jeunesse ;au fait vos fils ont ils accompli leur service militaire ou sont ils en train de s 'enrichir avec les safkats avec la Turquie et d 'autres pays;rahou akhir derwich met fi tounis vous nous prenez pour des debiles

Toute une stratégie d'Ennahdha commencer par le commencement, former ses futurs soldats dés la naissance, c'est la politique de tous les partis théocrates et totalitaires

Vous avez parfaitement raison mais avec les islamistes (je ne parle pas que de la Tunisie) on continuera de parler de ce problème dans plusieurs siècles à moins de les éradiquer de la surface de la terre mais ce sera difficile, voire impossible car les islamistes se nourrissent de la pauvreté, de l'ignorance et dans ce domaine là cela ne va s'améliorer dans les pays islamiques. C'est le cercle vicieux : les islamistes se nourrissent de la misère humaine et les miséreux se nourrissent de l'islam.

Mettre au même pied d'égalité la science et la religion est une imposture car d'un côté nous avons le savoir et l'expérience et de l'autre côté la croyance et la foi . L'école s'occupe du savoir et la religion est une affaire privée

Il voulait dire science de la religion.

C'est une question d'impact et non d'éducation.
Quand un religieux ou un pseudo-religieux, se met à donner son interprétation des textes religieux, qu'elle soit modérée ou extrémiste, il faut que son impact sur la sphère publique se cantonne à la vie religieuse et ne doit pas déborder sur le quotidien de la population.
Les débats religieux doivent viser à résoudre les problèmes rencontrés en religion. Ils doivent se cantonner au spirituel.
Ils ne doivent pas avoir d'influence sur la citoyenneté qui a ses règles propres. Chaque citoyen adopte l'attitude qu'il veut vis à vis de la religion, sans jamais imposer quoique ce soit aux autres et sans que cela influence le cours général de la vie en commun.
Les pays avancés ont commencé à appliquer ces règles voilà 4 ou 5 siècles et ils ne l'ont pas regretté: ils sont à la pointe de civilisation.
Les Musulmans tardent à le faire et tout le monde sait où nous en sommes: à des années-lumières derrière les pays avancés. Même nos savants et nos meilleurs éléments n'arrivent à s'épanouir que parmi eux. C'est cela ce que les enfants doivent assimiler. Il ne faut pas refaire les mêmes erreurs qu'ont faites les ancêtres de nos ancêtres de nos ancêtres comme le préconise Ghannouchi, qui propose une piste déjà essayée maintes fois dans le passé. Elle a toujours abouti à l'éclosion de mouvements extrémistes, en réponse au mouvement modéré officiel.
Ce sont ces choses qu'il faut apprendre aux enfants pour pouvoir espérer qu'un jour, dans 100 ou 200 ans, on devienne un pays qui ressemble au Japon.
Il faut commencer aujourd'hui.

Nos enfants, nos petits-enfants et leurs descendants vivront d'Islam et d'eau fraîche (à condition que l'eau coulera encore en Tunisie) quant au reste, le Gourou s'en lave les mains.