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Pluies diluviennes : Youssef Chahed appelle à une intervention immédiate
05/06/2017 | 22:51
1 min
Pluies diluviennes : Youssef Chahed appelle à une intervention immédiate

Le chef du gouvernement Youssef Chahed a chargé le ministre de l’Intérieur et de l’Equipement et celui de l’Habitat et de l’Aménagement du territoire d’assurer une intervention immédiate et rapide, à travers la prise de mesures nécessaires, à la suite des pluies diluviennes qui se sont abattues, lundi 5 juin 2017, dans plusieurs villes tunisiennes.

 

Ainsi, le ministre de l’Intérieur a été chargé de l'organisation des interventions urgentes de la protection civile. Pour sa part, le ministre de l’Equipement, de l’Habitat et de l’Aménagement du territoire aura la mission de mobiliser les moyens et équipements nécessaires pour le pompage des eaux de pluies et les travaux d’assainissement, indique la présidence du gouvernement dans un communiqué.

05/06/2017 | 22:51
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Commentaires (8)

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Letranger
| 06-06-2017 16:07
J'en connais qui auraient signé : verset 112 de la Sourate des Abeilles.
Juste pour info, ton pseudo n'est pas ton N° de téléphone j'espère...

versus
| 06-06-2017 12:21
Un réseau pluvial est fait pour recueillir les eaux, pas les déchets envahissant la voie publique. Mettez vos ordure dans votre évier, vous verrez bien si l'eau passe.

versus
| 06-06-2017 12:19
C'est exactement ça. Les bouches puis les canalisations des réseaux pluviaux sont bouchés par les détritus que tous jettent là ou ils se trouvent.
Depuis Carthage, le tunisien en a fait du chemin, en arrière. malheureusement, l'Europe prend le même visage.

Mounir299792458
| 06-06-2017 08:22
"Après le départ de mon oncle, je continuai l'étude qui m'avait empêché de le suivre. Vint ensuite le bain, le repas ; je dormis quelques instants d'un sommeil agité. Depuis plusieurs jours, un tremblement de terre s'était fait sentir. Il nous vaiet peu effrayés, parce qu'on y est habitué en Campanie. Mais il redoubla cette nuit avec tant de violence, qu'on eût dit, non-seulement une secousse, mais un bouleversement général. Ma mère se précipita dans ma chambre. Je me levais pour aller l'éveiller, si elle eût été endormie. Nous nous assîmes dans la cour qui ne forme qu'une étroite séparation entre la maison et la mer. Comme je n'avais que dix-huit ans, je ne sais pas si je dois appeler fermeté ou imprudence ce que je fis alors. Je demandai un Tite-Live. Je me mis à le lire, comme dans le plus grand calme, et je continuai à en faire des extraits. Un ami de mon oncle, récemment arrivé d'Espagne pour le voir, nous trouva assis, ma mère et moi. Je lisais. Il nous reprocha, à ma mère son sang-froid, et à moi ma confiance. Je n'en continuai pas moins attentivement ma lecture.

Nous étions à la première heure du jour, et cependant on ne voyait encore qu'une lumière faible et douteuse. Les maisons autour de nous, étaient si fortement ébranlées, qu'elles étaient menacées d'une chute infaillible dans un lieu si étroit, quoiqu'il fût découvert. Nous prenons enfin le parti de quitter la ville. Le peuple épouvanté s'enfuit avec nous ; et comme, dans la peur, on met souvent sa prudence à préférer les idées d'autrui aux siennes, une foule immense nous suit, nous presse et nous pousse. Dès que nous sommes hors de la ville, nous nous arrêtons ; et là, nouveaux phénomènes, nouvelles frayeurs. Les voitures que nous avions emmenées avec nous, étaient, quoiqu'en pleine campagne, entraînées dans tous les sens, et l'on ne pouvait, même avec des pierres, les maintenir à leur place. La mer semblait refoulée sur elle-même, et comme chassée du rivage par l'ébranlement de la terre. Ce qu'il y a de certain, c'est que le rivage était agrandi, et que beaucoup de poissons étaient restés à sec sur le sable. De l'autre côté, une nuée noire et horrible, déchirée par des tourbillons de feu, laissait échapper de ses flancs entr'ouverts de longues traînées de flammes, semblables à d'énormes éclairs.

[---] Presqu'aussitôt après la nue s'abaisse sur la terre et couvre les flots. Elle dérobait à nos yeux l'île de Caprée, qu'elle enveloppait, et nous cachait la vue du promontoire de Misène. Ma mère me conjure, me presse, m'ordonne de me sauver, de quelque manière que ce soit. Elle me dit que la fuite est facile à mon âge ; que pour elle, affaiblie et appesantie par les années, elle mourrait contente, si elle n'était pas cause de ma mort. Je lui déclare qu'il n'y a de salut pour moi qu'avec elle. Je lui prends la main, je la force à doubler le pas. Elle m'obéït à regret, et s'accuse de ralentir ma marche.

La cendre commençait à tomber sur nous, quoiqu'en petite quantité. Je tourne la tête, et j'aperçois derrière nous une épaisse fumée qui nous suit en se répandant sur la terre comme un torrent. Pendant que nous voyons encore, quittons le grand chemin, dis-je à ma mère, de peur d'être écrasés dans les ténèbres par la foule qui se presse sur nos pas. A peine nous étions-nous arrêtés, que les ténèbres s'épaissirent encore. Ce n'était pas seulement une nuit sombre et chargée de nuages, mais l'obscurité d'une chambre où toutes les lumières seraient éteintes. On n'entendait que les gémissements des femmes, les plaintes des enfants, les cris des hommes. L'un appelait son père, l'autre son fils, l'autre sa femme ; ils ne se reconnaissaient qu'à la voix. Celui-ci s'alarmait pour lui-même, celui-là pour les siens. On en vit à qui la crainte de la mort faisait invoquer la mort même. Ici on levait les mains au ciel ; là on se persuadait qu'il n'y avait plus de dieux, et que cette nuit était la dernière, l'éternelle nuit qui devait ensevelir le monde. Plusieurs ajoutaient aux dangers réels des craintes imaginaires et chimériques. Quelques-uns disaient qu'à Misène tel édifice s'était écroulé, que tel autre était en feu ; bruits mensongers qui étaient accueillis comme des vérités.

Il parut une lueur qui nous annonçait, non le retour de la lumière, mais l'approche du feu qui nous menaçait. Il s'arrêta pourtant loin de nous. L'obscurité revint. La pluie de cendres recommença plus forte et plus épaisse. Nous nous levions de temps en temps pour secouer cette masse qui nous eût engloutis et étouffés sous son poids."


Ce soir j'aurai le temps, afin d'écrire la suite de mon commentaire!

moha
| 06-06-2017 05:56
Le tunisien est sale donc tant qu il jettera les déchets hors des poubelles
le résultat sera celui qui arrive avec les orages

Ameur k
| 06-06-2017 00:27
Pensez svp a creer un organisme qui s occupe de l entretien des reseaux d eaux pluviales...c est tres urgent parceque il n yen a pas

DHEJ
| 06-06-2017 00:13
Et je demande si le GAMIN à une langue propre!


Saiebsaleh
| 06-06-2017 00:07
C'est en amont l'assainissement et les travaux d'infrastructure. Mr. Chahed va continuer ta sieste ramadanesque, toi, ton gouvernement et tes fonctionnaires