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Photo du jour- Accolade entre Béji Caïd Essebsi et Rafik Abdessalam, la glace est finalement brisée ?
A l’occasion de la fête de la Libération algérienne, plusieurs personnalités de la scène nationale étaient présentes, hier vendredi 31 octobre 2014 au siège de l’ambassade algérienne à Tunis, pour célébrer l’événement. Béji Caïd Essebsi, président de Nidaa Tounes, Rached Ghannouchi, chef du mouvement Ennahdha, Foued Mbazâa, ancien président de la République, Rafik Abdessalem, ex-ministre des Affaires étrangères, Houcine Abassi, secrétaire général de l’UGTT, Nabil Karoui, PDG de la chaine Nessma et bien d’autres étaient au rendez-vous.
On note également que les représentants d’Ennahdha n’ont pas manqué l’occasion de se trouver côte à côte avec leurs traditionnels rivaux de Nidaa pour les féliciter de leur victoire aux législatives. C’est le cas de Rafik Abdessalam qui a donné une accolade chaleureuse à Béji Caïd Essebsi, sous le regard attendri de Rached Ghannouchi. Le leader au sein d’Ennahdha a, en effet, félicité son rival politique de sa victoire aux législatives. Une image à forte symbolique qui laisse à se demander si la glace, entre les deux partis, sera finalement brisée.
Rappelons que BCE a déclaré hier sur Nessma Tv que Nidaa n'exclura aucun parti du gouvernement y compris Ennahdha qui n'est pas un adversaire et qui fait partie intégrante du paysage politique tunisien.
On note également que les représentants d’Ennahdha n’ont pas manqué l’occasion de se trouver côte à côte avec leurs traditionnels rivaux de Nidaa pour les féliciter de leur victoire aux législatives. C’est le cas de Rafik Abdessalam qui a donné une accolade chaleureuse à Béji Caïd Essebsi, sous le regard attendri de Rached Ghannouchi. Le leader au sein d’Ennahdha a, en effet, félicité son rival politique de sa victoire aux législatives. Une image à forte symbolique qui laisse à se demander si la glace, entre les deux partis, sera finalement brisée.
Rappelons que BCE a déclaré hier sur Nessma Tv que Nidaa n'exclura aucun parti du gouvernement y compris Ennahdha qui n'est pas un adversaire et qui fait partie intégrante du paysage politique tunisien.
E.Z.
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