Les transitaires doivent être aussi mis en examen théorique dans ce dilemme de la lutte contre la corruption en Tunisie. Où il n'y a pas de corrupteurs, il n'y a pas de corrompus. Et qui pourrait être les corrupteurs des douaniers en dehors des transitaires et de leurs mandants.
Le chef de gouvernement doit tenir bon. Il doit retirer la concession aux transitaires protestataires. Pour un transitaire écarté, attendent plus d'une centaine pour le remplacer.
Idem pour les agents des douanes qui ne veulent pas accepter la décision du chef de gouvernement. Sauf que ces douaniers, ne devraient pas nous revenir par leurs larmes de crocodiles, pour reprendre un travail qu'ils avaient refusé de faire auparavant.
Le service douanier est un service militaire. La protestation dans ce secteur, équivaut le désordre, la pagaille, et la faillite.