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Omar Béhi annonce des mesures pour réduire la flambée des prix des fruits et légumes
20/10/2017 | 12:25
1 min
Omar Béhi annonce des mesures pour réduire la flambée des prix des fruits et légumes
Le ministre du Commerce, Omar Béhi, a annoncé, ce vendredi 20 octobre 2017, qu’une réunion sera organisée prochainement avec les directeurs d’espaces commerciaux pour discuter du contrôle et du réajustement des prix des fruits et légumes.
 
« Nous sommes en train de passer en revue les produits dont les prix sont excessivement élevés pour les réajuster. Pour les tomates, l’augmentation est due à un déficit pluviométrique et à une production faible » a expliqué Omar Béhi sur les ondes de Mosaïque Fm.

K.H

20/10/2017 | 12:25
1 min
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Commentaires (9)

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Adel
| 22-10-2017 13:38
Les réunions n'ont jamais été une solution. Une stratégie durable peut être, mais dans un autre pays que notre trou à rats

moumou21
| 21-10-2017 17:04
Enfin monsieur le ministre a été mis au courant de la flambée des pris un pas en avant c'est déjà ça

babjedid
| 21-10-2017 14:48
depuis la révolution combien de ministre a exercé??? en plus il ne sont pas du Domène , si le cultivateur livre au marché de gros de sa région sous contrôle de le garde national sur les routes et la concurrence joue le jeu, les prix ne flambe pas autant et surtout permettre a la fédération des consommateurs d'intervenir sur les média de l'état trois minutes par jour pour donner des consignes a la populations pour soit encourager ou boycotter tel produit ou tel genre d'achat les prix seront juste pour toute la filières, mais il faut un état fort et un ministre compétant ( la Tunisie MATMOUR ROMA) ya hassra

citoyen
| 21-10-2017 08:00
Monsieur le Ministre, j'ai l'honneur de vous rappeler que les prix aux marchés hebdomadaires sont décidés par les marchands gourmands et qui ne possèdent pas de facture d'achat.Donc il faut faire un contrôle aux marchés hebdomadaires pour ramener les prix à un niveau acceptable et ne pas chercher des excuses pour les fraudeurs.Les espaces commerciaux; qui sont habitués à pratiquer des prix élevés et non jamais participer à la régularisation des prix;ne vont pas fournir un effort pour baisser les et ce pour ne pas réduire leur bénéfice.

Kays
| 21-10-2017 07:05
Il ne suffira pas de simples négociations pour réduire les prix, il faudra un contrôle beaucoup plus strict sur tous les chaînons de l'appareil commercial.
L'Etat tunisien est confronté à des défis immenses. La défiance à l'égard du personnel politique est grandissante au sein du peuple. Pourtant l'Etat a relevé avec succès jusqu'à présent du defi sécuritaire et ce n'est pas peu.

Manifestement le défi économique est devant nous, la tâche est immense et loin d'être gagnée car une partie grandissante de la population est en train de perdre totalement son confort de vie. Certains ont du mal à nourrir leurs familles. Nous assistons peu à peu à une dégradation des rapports sociaux et la méfiance mutuelle s'accroit. Du côté des entreprises il est de plus en plus difficile de trouver des salariés consciencieux travaillant effectivement leurs heures de travail, du côté des salariés beaucoup se plaignent aussi du non-paiement de leurs heures supplémentaires ou encore du bas niveau de leur salaire proportionnellement au coût actuel de la vie.

Comment rétablir la confiance?

Les lois ne suffiront pas, il faudra aller beaucoup plus loin car nous risquons des troubles sociaux graves si nous ne prenons pas de suite le taureau par les cornes. Le mal est sournois mais il gangrène peu à peu toutes les couches de la société et passé une certaine limite la situation peut ne plus être rattrapable.

Seule une politique dirigiste et planificatrice peut remettre les choses à l'endroit. Il est d'ailleurs certain que l'Europe fera pression et ce de plus en plus fort sur tous les dirigeants du maghreb afin qu'il améliorent et remettent de l'ordre dans leur pays, la population européenne ne supportant plus les flux migratoires sur son sol ou en tout cas certainement plus de cette façon, l'extrême droitisation de la population européenne (plus que celle des politiques ) menaçant CONCRÈTEMENT la stabilité du continent européen (Beaucoup plus dangereux qu'il n'y paraît ).
Nous ne pouvons plus attendre pour mettre en place un véritable retour de l'Etat et ce à tous les niveaux afin de faire régner l'ordre, la discipline et la morale avec tout ce qu'elle implique en matière de rapports sociaux mais aussi au sein des rapports économiques entre les différents acteurs. Beaucoup hésitent justement par peur des troubles sociaux mais ce qu'il ne comprennent pas c'est que si nous manquons de courage aujourd'hui, nous allons être confrontés à des troubles sociétaux beaucoup plus grave que nous l'imaginons.
Ce ne sont pas des vains mots, nous n'avons pas 25 ans pour éduquer la population à ces valeurs et il faudra bien que le mot CONTRAINTE revienne au goût du jour. Notre époque semble vouloir oublier ce mot sans lequel pourtant un grand nombre de choses concrètes ne peuvent être réalisées.

Les grandes démocraties vivent car leurs peuples savent se contraindre à un certain nombre de choses dans la vie sans besoin de contrainte extérieure.

Dans les pays "jeunes" tels que les nôtres l'Etat doit jouer son rôle en terme de contrainte.

Il est temps de mettre la même énergie sur ces questions que celle mise en terme de sécurité sans bien évidemment rien relâcher sur ce plan.

Le relèvement doit se faire maintenant.

Tahya Tounes.

Khneji
| 21-10-2017 06:25
Dans ce pays chacun fait ce qu il veut et a sa facon,medecin,avocat,commercant,assureur.fonctionnaire,syndicaliste,homme d affaire,journaliste,police.juge etc le malheur on a entendu et on nous a casse' la tete de;prestige de l etat,de la pauvrete'provisoire,salete'provisoir....enfin c est du BLA BLA.

SBL
| 20-10-2017 14:52
L'absence de régularité dans la non maitrise des fruits et légumes est toujours récurrente et aucun ministre n'a réussi à endiguer ce fléau qui touche des milliers de familles.
Le kg de dattes était hier à 8d500.
La clémentine à 5d700.
Comment est-ce possible dans le pays producteur.
Donc, toutes ces promesses vont tenir quelques jours, et puis rebelote.

URMAX
| 20-10-2017 14:09
...
Je me souviens que, dans les années 70, lorsque l'on passais sur la piste de la soukra le soir, (la route n'existait pas encore), il n'y avait aucune lumière. Que des vergers et champs. Et pour cause : Tous les fruits et légumes du grand Tunis y étaient produits !
De nos jours, il n'y a plus aucun champ. Que du béton. Et c'est idem dans - pratiquement - tous les gouvernorats.
...
ministère du plan et de l'aménagement du territoire ... dodo !
...
Ministère de l'agriculture (domaines agricoles) : dodo !
...
et pendant ce temps là, nos terres agricoles se construisent ...
...
Pronostic : Dans 20 ans, c'est la famine en Tunisie !
...
Continuons à dormir paisiblement (spécialistes du dodo ugtt-iste que nous sommes) ; nous nous réveillerons bien un jour, mais ... lorsqu'il sera déjà trop tard pour agir !
...
URMAX

totodetunis
| 20-10-2017 13:44
Ca ne sert a riennnnnnnnnn , les marchands des legumes et fruits font a leurs guises , personnes ne controle , aucun controle , en roue libre