L'ambassadeur de France en Tunisie, Olivier Poivre d'Arvor a salué, dans un post partagé ce vendredi 24 mai 2019, « la singularité de la Tunisie, terre de tolérance et d’ouverture ».
A son retour de Djerba, où il participait au pèlerinage de la Ghriba, l’ambassadeur français a exprimé ses impressions après avoir vécu ce qu’il a qualifié de « moment véritablement exceptionnel » et notamment l'Iftar communautaire qui a réuni mercredi juifs, musulmans et autres autour du même message de paix, d’attachement aux origines et de partage.
« Un message de la Tunisie pour le reste du monde. Qui rappelle la singularité de cette terre et de ce peuple fiers de leur histoire et de leurs valeurs de tolérance et d’ouverture à toutes les cultures. Merci la Tunisie! », a écrit Olivier Poivre d'Arvor.
M.B.Z
Commentaires (12)
CommenterA lire Mossieur le menteur !
Les idiots utiles de la France
Pas un ambassadeur qui ai vu venir le "printemps arabe"...Pas un seul qui s'insurge contre le retour de ces "chers" islamistes en Tunisie...A part les "soirées de l'Ambassadeur",ils sont tous nuls !!!
Les 4 points cardinaux
@Mr. l'Ambassadeur de France
La Tunisie était tolérante.Mais depuis l'arrivée des islamistes,un malheur s'est abattu sur le pays.Non Mr. l'ambassadeur,la Tunisie n'est ni tolérante ni ouverte aux autres cultures.
a cause des derniers
DOUBLE MORALE D'UN POLITIQUE SALE ... !!!
de quel tolerance vs parlez ? avec les juifs ? et les tunisiens non
Arretez vos complexes. Merci Monsieur l'Ambassadeur.
O.P.A
Karim benzarti | 24-05-2019 10:32
'?tez de vos esprits ce vocabulaire malsain, il n'aboutit nul part l'objectivité est nécessaire ne CRACHONS pas dans la soupe !
Mr Olivier Poivre d'Arvor est un parmi nos amis que veulent que cette révolution atteigne son but une démocratie réelle un peuple fière de ce qu'il a entrepris qui aspire à la liberté d'expression à une tunisie où il fait bon vivre,
Ce nouveau colonialisme auquel vous faites allusion n'est plus d'actualité cher compatriote.
Je vous souhaite joyeux Ramadan,et mes amitiés.
P S : Bizerte la ville où j'ai fait mes études dans les années 60.(Manai)