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Officiel : Slim Riahi, secrétaire général de Nidaa Tounes, HCE président du comité politique
16/10/2018 | 14:04
1 min
Officiel : Slim Riahi, secrétaire général de Nidaa Tounes, HCE président du comité politique

 

La réunion entre Hafedh Caïd Essebsi et Slim Riahi vient de s’achever, ce mardi 16 octobre 2018 et a abouti au dispatching des postes au sein de Nidaa Tounes.

 

Il en ressort que Slim Riahi a été désigné secrétaire général de Nidaa Tounes et devient de fait le numéro 1 du parti fondé par Béji Caïd Essebsi en 2012. Hafedh Caïd Essebsi a été désigné président du comité politique alors que Ridha Belhadj a été désigné coordinateur général.

 

R.B.H

16/10/2018 | 14:04
1 min
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Commentaires (53)

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Aby
| 17-10-2018 17:26
Une question monsieur le président de la république, président beji caïd Essebsi. Avez vous conscience du foutoir dans lequel vous êtes entrain de mener le pays à coup sûr. '?tes vous conscient du fait que créer une association d'idiots, l'un pour ses intérêts personnels et l'autre par affiliation vous aller sauver le peu de ce qui reste du nidaa ? Sachez monsieur le président que vous n'avez réussi qu'à créer un café chanta comme disait ma mère.

Maxula
| 17-10-2018 17:13
"mariage contre nature est voué à l'echeque"

Tout dépendra donc des sommes faramineuses qui seront inscrites sur ces chèques !
La vérité sort de la bouche des enfants !
Maxula.

eshmoun
| 17-10-2018 13:15
Aurais-je la berlue ?ya-t-il conversion (grâce à la fréquentation de BN) à un certain bon sens -à part la tirade concernant la "secte" laquelle , qu'il le veuille ou non , est "convertie" au principe de la dictature du prolétariat selon lequel" la fin justifie les moyens" ...ils disent "la fetwa"... bon...! donc prête à toute compromission en vue de la victoire finale ! allez encore un petit effort et tu deviendra crédible et fréquentable nom de "faucon" !.... tu vois je te tends la perche je ne suis pas si chacal que tu le penses ....

Imed
| 17-10-2018 13:09
Sute à mon précédent commentaire, un détail significatif: la position des tases de café. Il est clair que la position des tasses de café sur la table montre que Slim Riahi ne se gêne pas pour poser la sienne juste devant lui (c'est lui le boss), alors que celle de HCE est désaxée. Encore un détail qui en dit long. HCE s'est fait phagocyter par Riahi.

Si les élus et les partisans Nidaa restent encore dans le parti sans claquer la porte, c'est qu'ils cautionnent leur nouveau chef.

eshmoun
| 17-10-2018 12:49
En fait il serait peut être temps de trouver le qualificatif qui conviendrait à "Protectorat".....un statut plus conforme aux réalités actuelles sans doute ?- car tout concourt (désordre dette abyssale combines irresponsables et minables etc....) à nous y précipiter à nouveau avec un masochisme inouï et une bonne dose d'indignité non ? probablement en pire ; d'autant que les "protecteurs" d'antan-maintenant chantres des "droits-de l'homme" auxquels ils ont fini par se convertir(pour les "citoyens" çà laisse encore à désirer) ne sont plus candidats , conscients qu'ils sont qu'on ne refait pas les conneries coûteuses ,préférant laisser ce soin à leurs affidés ,agissant pour leur compte d'ailleurs mais avides et heureux pour leur part d'exhiber les jou-jou dont ils ont été dotés par leurs "souteneurs"
en bombardant à tour de bras et se consituer ainsi de nouveaux empires ....en pire !

observator
| 17-10-2018 12:01
En droit des sociétés commerciales, la fusion entre Nidaa et l'UPL s'apparente à une fusion absorption sauf qu'au préalable il fallait demander l'avis des électeurs de chaque parti comme la convocation des actionnaires en AGE dans les sociétés pour une approbation.
Or dans le cas du Nidaa et UPL aucun des deux partis n'a demandé l'accord des électeurs pour cette opération de fusion.
Voilà un UPL qui, dans son programme en 2014, s'est opposé vigoureusement au Nidaa et avait promis aux jeunes des silicones valley et des emplois high tec dans toutes les régions du pays.
Il a réussi à obtenir 15 siéges.
Aujourd'hui non seulement il leur a menti mais en plus il fait une opération de samsar avec ses députés sans demander l'avis de ses électeurs.
Idem pour le Nidaa .
Comment voulez-vous que les Tunisiens vous croient un seul instant que vous pensez à leur intérêt.
Tout se passe comme si c'est une opération pour une raison de politique politicienne à court terme.
Car sur le long terme et la perspective d'une élection en 2019, je ne vois aucun intérêt dans cette opération pour ses instigateurs.

Le marché du siècle!
| 17-10-2018 11:37
Il semble que ce mariage contre nature est voué à l'echec ! Cette scène comique nous rappelle les négociations serrées entre un vendeur de vins et un payeur par chèques! Mais la question qui se pose est la suivante: Est ce que le vendeur de vins va accepter des chèques sans provision?

Abel Chater
| 17-10-2018 10:57
Ces amateurs arrivistes sur la nouvelle scène démocratique de la Tunisie, n'ont pas encore compris que la base essentielle dans la vraie démocratie du monde, en Europe comme en Asie, n'est autre que la base électorale. Non pas la base financière comme aux USA, où tout s'achète et tout se vend par l'argent. Il suffit de voir à la télévision cette mise-en-scène théâtrale, avec les débiles derrière Donald Trump dans ses tournées électorales, comment ils hochent leurs têtes par un automatisme robotique, pour ne pas les comparer avec les ânes à qui on offre des morceaux de sucre, pour bien sentir l'argent à chaque mouvement de ces adeptes du profit personnel. J'ai vu de mes propres yeux, comment plus d'une vingtaine d'animateurs imposaient les applaudissements à la foule par une synchronisation bien étudiée. Sans parler de l'argent fou qui passe par les banques et par les cadeaux à ces marionnettes avides de profit sans foi ni loi, qui ne savent même pas de quoi leur parle ce dictateur Trump. Une manière de corruption légale, du genre des cartons de sucre, de thé, de tomate concentrée, de pâtes et de couscous, que distribuaient les deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, lors de leurs élections par 99,9%, les voix des morts comprises. Ce théâtre américain, n'est pas possible à réaliser ni en Europe ni en Asie, ni chez nous en Tunisie.
Donc, ni le papa de Hafedh Caïd Essebsi, ni l'argent de Slim Riahi, ne pourront jamais plus sauver cette branche illégale de Nidaa Tounes. Même les supporters du Club Africain détestent Slim Riahi. Il ne reste à ce dernier, que les sangsues lèches-bottes du profit superficiel momentané et instantané. Et que reste-t-il encore à Hafedh Caïd Essebsi, pour qu'il décide quoi que ce soit à Nidaa Tounes?
Non Messieurs les malins. Personne ne peut offrir ce qui ne lui appartient pas, et personne ne peut s'acquérir la propriété des autres. Béji Caïd Essebsi ne put créer ce parti artificiel de Nidaa Tounes, qu'avec l'aide vitale de Faouzi Elloumi. Nous nous rappelons très bien du tout début de Nidaa Tounes avant l'arrivée de ce Mohsen Marzouk, qui devient à présent entre autres, le propriétaire de tout un village à Zaghouan, comme si son parti gère une mine d'or.
Il faut restituer le parti de Nidaa Tounes à son vrai propriétaire Faouzi Elloumi, afin qu'il puisse sauver ses meubles avec son honnêteté, non pas avec son argent. Et qu'il rassemble les vrais Nidaïstes autour de lui, afin de fonder un parti solide de base et de sommet, qui pourra faire concurrence au parti d'Ennahdha. Une autre solution n'existe pas et ne pourra jamais exister, suivant les vraies règles mathématiques de la haute politique. Même si tous les partis politiques de la Tunisie fusionnent en un seul bloc contre Ennahdha, rien ne changera dans le fond. Il n'y va pas de partis politiques et de leurs noms, qui ne ramasseraient que ce fameux nombre du zéro virgule. Il y va de la crédibilité, de l'honnêteté et des programmes de leurs dirigeants. Le parti d'Ennahdha bouge au sein du peuple et parmi ses citoyens, par des programmes adéquats avec chaque région de la Tunisie. Les autres partis eux, ils ne bougent que dans les cafés des Lacs, de l'hôtel Africa, du Café de Paris, du Café de Tunis et du Laico ancien Abou Nawès, en ne faisant qu'insulter et qu'intriguer en chorale le parti d'Ennahdha, sans jamais chercher des programmes pour la Tunisie et pour les Tunisiens, que de détruire le parti d'Ennahdha, comme si on était en 1956, lorsque Bourguiba intriguait contre Salah Ben Youssef. Sauf que les temps ont changé à 180°.
Réveillez-vous ceux de Nidaa Tounes. La démocratie tunisienne a besoin d'au moins deux à trois autres partis forts contre Ennahdha, pour ne pas tomber dans le piège d'une «démocratie à parti unique» entouré de chiens qui lynchent pour un passeport diplomatique, ni moins ni plus. Exactement comme ce fut au temps de l'opposition d'Ahmed-Najib Chebbi, sous le régime du dictateur déchu Ben Ali.
Honni soit qui mal y pense.

Imed
| 17-10-2018 10:22
Qui a le beau rôle dans cette photo? HCE a été suffisamment stupide pour laisser la mise en scène de la photo le trahir. La photo a été prise chez ce qui était chez lui, la mise en scène aurait dû être irréprochable.

Analysons:
-- le portrait de Bourguiba: il est du côté de Riahi, pas du côté de HCE;
-- le drapeau Nidaa est à côté de HCE: démarche partisane;
--le drapeau de la Tunisie est à côté de Riahi: cela le positionne en rassembleur. Normalement, HCE aurait dû mettre les deux drapeaux de son côté;
--expression du visage: Riahi a l'ai grave, mais serein: c'est le sauveur; HCE a l'air déconfit, livide: c'est le capitaine de l'Ulysse, il est à la barre sans voir qu'il emmène droit son bateau sur des récifs où il va se briser en mille morceaux.

Quelle scène lamentable pour les démocrates qui avaient voté Nidaa.

Les 2 troupeaux?
| 17-10-2018 10:03
Les députés et responsables restants de nidaa tounes et de l'up sont vraiment à plaindre! Ils sont tous victimes de la dictature de hce et de slim riahi! Sans consultations et sans vote préalables, la récente fusion ressemble à celle des bergers qui décident de garder leurs troupeaux ensemble! Ce mariage contre nature est voué à l'echeque!! wait and see!!