Au lieu de fortifier son ministère par la continuité de l'Institution de par ses compétences reconnues, comme partout dans les pays avancés, il commence à soumettre les appartenances caméléoniennes liées au régionalisme, aux liens familiaux et aux hypocrites lèche-bottes. Ils l'aveuglent par leur méthode de béni-oui-oui, jusqu'à ce qu'il se prend pour un «Papa Schtroumpf», à la manière de l'ancien ministre de l'Education, Néji Jalloul. La faillite et l'échec sont programmés d'avance jusqu'à son prochain limogeage ou «dégage».
Belote et rebelote, jusqu'à ce que cette génération résiduelle de l'école désuète des deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, meure d'elle-même et qu'elle sera remplacée par une nouvelle génération de ces jeunes Tunisiens de loin plus avancés en mentalité et en compétence que cette ancienne garde pourrie, corrompue et dépassée par les sciences et les nouvelles technologies.