alexametrics
jeudi 28 mars 2024
Heure de Tunis : 10:32
Dernières news
Noômane Fehri : Il vaut mieux subventionner internet plutôt que le sucre
05/08/2015 | 11:20
1 min
Noômane Fehri : Il vaut mieux subventionner internet plutôt que le sucre

Noômane Fehri, ministre des Technologies de l’information et de l’Economie numérique, a souligné, dans une déclaration accordée à Shems Fm, mercredi 5 aout 2015, qu’il est important de combler le gap numérique entre la Tunisie et les autres pays.

 

Noômane Fehri a précisé que la Tunisie doit agir sur 3 volets à savoir : Equiper tous les foyers tunisiens d’un accès à Internet. Le ministre a d’ailleurs indiqué qu’il est préférable de subventionner Internet, qui aide au développement, plutôt que le sucre qui est très mauvais pour la santé.

 

Deuxième point, abandonner l'utilisation des papiers dans les administrations, ce qui d’ailleurs, limitera la corruption, selon le ministre. M. Fehri a finalement souligné la nécessité de rendre les écoles numériques.

 

M.B.Z

05/08/2015 | 11:20
1 min
sur le fil
Tous les Articles
Suivez-nous

Commentaires (12)

Commenter

ourwa
| 06-08-2015 07:26
Quant à la connerie, elle semble bel et bien subventionnée...en la personne de cet excellent sinistre des "technologies de l'information et de l'économie numérique" (ouf!)...A lire le long intitulé du dit ministère, on se croirait à Silicon Valley...C'est vrai, la Tunisie, tout le monde le sait, wallâahi, est à la pointe de ces technologies machin et ce depuis fort longtemps et après jugulé définitivement la faim, le chômage et le sous développement endémique sur son territoire...On croit rêver, d'autant plus que le sinistre, très malin,croit-il, parle de sucre ( et non pas de farine)à l'origine de l'obésité et des maladies cardio machin... C"est la démagogie en barre, la langue de bois dans toute sa splendeur. A ce niveau, M. Fehri, grosse pointure d'Afek Tounes, ce parti de technocrates qui se nourrit exclusivement de bites, octets et autres actions en bourse, ne démérite pas; il se montre ainsi à la hauteur de sa tâche...indélébile fût-elle... Mais il y a un hic et de taille; que ce transfuge des ordis impersonnels, des labos toxiques de la physique et des idées saugrenues et abjectes sache que les hommes vivent d'abord et obligatoirement de pain ( avec ou sans sucre), d'eau...et accessoirement de viande, poisson, fruits et même de yaourt...en Tunisie et non pas d'internet, comme semble l'exiger cet incapable d'Afek Tounes...Décidément, comment se demander pourquoi le pays marine encore dans le bas fond du sous développement, que l'économie ne décolle guère, que la misère galope encore de plus belle...avec des ministres pareils ?...
Allez ! un dernier pour la route; Mossieu le MINISTRE : pourquoi ne pas subventionner les glibettes ( grande occupation de nos trop nombreux jeunes chômeurs), le café et l'eau courante dans les lavatories des mosquées ? Quant aux mensonges, la démagogie, la poudre aux yeux, la manipulation, les faux semblants et les discours ronflants et creux de nos "politiciens", de gôche comme de droite, au pouvoir comme au crachoir, que le bon peuple se rassure, ils sont plus que subventionnés; ils sont GRATUITS...et ça ne mange pas de pain! walhadou-lillâah

Jilani
| 05-08-2015 18:57
Aller en Lettonie et vous allez voir comment ce petit pays fait tout en numérique : enseignement, industrie, administration, ... Ou sont les projets numériques bloques par benali : banque de données des entreprises, gestion des projets, services numériques, les moocs, soyez pragmatique et lancez ces projets et éviter le populisme kallou sucre ...

Adnène
| 05-08-2015 18:39
Voilà on s'en remet à subventionner!Le tunisien même ministre ne peut se détacher de la mentalité d'assisté,par un état paternaliste. Donnez des salaires corrects aux travailleurs, laissez les promoteurs assumer la responsabilité de leur projet ....arrêtez de bercer la population d'illusions, et gonfler la bureaucratie et ses combinards.

7ay
| 05-08-2015 13:31
Le sucre ou plutôt le poison domestiqué, devrait être identifié de la sorte. Mais est l'autoroute vers le monde extérieur vers le savoir et la découverte, il devra équiper tout foyer Tunisien. Le problème à résoudre sera le débit !!!!!! et là Mr Fehri un plan de travail doit être fait pour venir à bout de la lenteur des connections.
La fibre optique qui devient une solution individuelle dispersée pour chaque utilisateur, constituant un gaspillage et une perte nationale parce que surdimensionnée par rapport à l'usage
La maîtrise du sujet et le bon sens exigent la création d'une société de services qui détiendra l'activité Fibre optique dans le pays et qui loue ses services à tout utilisateur qui le demande. Elle opérera de manière plus professionnelle et au diapason du top de la technologie, elle agira suivant un plan directeur global et optimisé. Cette solution fera que les capacités énormes de la fibre optique soient bien exploitées.

kimdee
| 05-08-2015 12:46
et vous remercier tous ceux qui n'ont jamais mis leur doigt sur un clavier... et qui n'auront jamais assez d'argent pour s'acheter le luxe d'un ordinateur.
et puis si vous parlez santé alors interdisez plutôt le tabac car lui, il est plus que clair qu'il est nocif et là si le démuni ne fume plus il se plaindra au départ mais aura une meilleure santé et définitivement plus d'argent dans sa poche!

miskouambar
| 05-08-2015 12:23
Il est aberrant que l'installation du fibre optique traîne toujours. à Sousse,le secteur Tantana-Chott Mariem souffre depuis belle lurette sans que le Ministre de la tutelle ne s'inquiète !!!. en effet un gable en cuivre de six km "rouiller" relie cette région ou des établissements manufacturières et des millier de résidences souffres encore de l'interruption très fréquente ainsi que de la lenteur de l'Internet...Monsieur le Ministre de technologie "SVP" (Je vous pries je vous en supplie)donner vos consigne pour l'accélération de la livraison des équipements nécessaires à liaison de notre secteur au fameux "est tant attendu Fibre Optique.

TEAM-TONIC
| 05-08-2015 11:51
Zero papier dans l'Administration !
Il le faut le plus vite possible !
Ce sera notre veritable source de progrès...

moi
| 05-08-2015 11:46
on vous promet de prendre notre café sans sucre et avec skype . mais est ce que tu peut nous promettre vous et votre administration de travailler sept heures par jour et de ne pas gaspiller l'argent de l'etat?

Dr. Jamel Tazarki
| 05-08-2015 11:40
Le devoir du Gouvernement tunisien est de favoriser par des investissements directs le domaine de la production des logiciels en Tunisie sans même chercher à faire de profit. Nous devons conquérir le monde via internet par nos services et nos logiciels gratuits. Nous devons convaincre le monde que nous sommes capables et que l'on a une mentalité de collaboration et que l'on est généreux avec notre savoir en l'offrant gratuitement sur Internet. Nous devons offrir des logiciels informatiques dans tous les domaines possibles sur internet et au monde entier. Il faut que nos chômeurs informaticiens, physiciens, mathématiciens, biologistes, chimistes, philosophes, linguistes et tous les autres créent une communauté virtuelle de projets informatiques sur Internet. L'Etat tunisien doit prendre en charge toutes les dépenses et tous les salaires. Cette communauté virtuelle sera soumise à des contraintes de temps et à des obligations de résultats. On y pratiquera le travail collaboratif au moyen d'outils qui favorisent la coordination et le travail en commun. Les logiciels informatiques qui vont être produits par cette communauté virtuelle seront mis à disposition du monde entier gratuitement. En effet, les firmes étrangères cherchent des logiciels gratuits, alors donnons au marché international ce qu'il a dont besoin. Vous allez voir, en quelques mois la Tunisie va en profiter. Nous pourrons faire de la Tunisie en quelques mois le nouvel eldorado de l'informatique, et nous serons ainsi parmi les premiers exportateurs de logiciels dans le monde entier.

On ne peut pas se permettre de laisser des concitoyens hyper diplômés et intelligents traîner dans les cafés. Je propose des connections internet gratuites pour les étudiants et les chômeurs diplômés. Il faut aussi leur garantir le droit de circuler en transports en commun gratuitement. Ces privilèges sont indispensables pour un retour à l'emploi (CV par mail, recherche des jobs ailleurs que dans son département, etc.).

Offrir une connexion internet a un chômeur, c'est lui donner des chances supplémentaires de retrouver un emploie plus facilement .... Une connexion internet est une espérance de vie pour un chômeur. Aujourd'hui, Internet est en plein essor. Beaucoup d'emplois à l'échelle internationale sont en ligne dépassant même les offres publiées au bureau de chômage ou dans les journaux des pays occidentaux. Les moteurs privés de recherche d'emploi en ligne sont un moyen obligatoire afin d'être informé des postes vacants à l'échelle internationale. Selon leur conception, ces moteurs de recherche en ligne dénichent les emplois qui sont annoncés vacants sur les bourses et les marchés de l'emploi du monde entier (même directement sur le site des entreprises).

Il faut vous faire connaître et on ne va pas tarder à vous proposer des emplois à l'étranger extrêmement bien payés. Et attendant, on doit vous donner en Tunisie les moyens à vous connecter gratuitement à internet afin de lire aussi des livres informatiques et scientifiques numériques (digitales) sur votre ordinateur, ....

L'Etat tunisien ne peut pas créer en quelques mois 250000 nouveaux emplois pour nos diplômés en chômage. Au contraire, il faut que nos chômeurs académiciens créent des entreprises afin de faire fonctionner l'économie du pays. Il n'y a pas que les mathématiques, l'informatique et les technologies modernes. Nos chômeurs académiciens peuvent s'engager par exemple dans l'hydro culture et l'aquaculture. Ils peuvent ainsi révolutionner l'agriculture tunisienne. Ils n'ont besoin ni de terrains agricoles et ni de terres fertiles. L'agriculture sans terre ne nécessite que le bon sens et la bonne volonté. On peut devenir un riche paysan sans posséder de terrains agricoles et de bétail.

Il faut que nos chômeurs académiciens soient capables de s'investir à fond dans toutes sortes de projets même s'ils n'ont rien avoir avec ce qu'ils ont appris auparavant. Et pour cela, il faut leur donner la possibilité de se connecter gratuitement à Internet afin de créer une communauté tunisienne virtuelle à l'échelle internationale. L'Etat Tunisien est dans l'obligation de financer et d'organiser cette communauté virtuelle qui groupera l'intelligence tunisienne.

On n'a pas encore réalisé l'importance d'Internet pour la création de l'emploi en Tunisie. En effet, nous avons 250000 chômeurs académiciens d'une grande intelligence mais qui manquent d'inspiration afin de lancer leurs propres projets. Et pour cela il est impératif de se ressourcer et de s'inspirer sur Internet. Le web est un univers sans limites pour notre inspiration' Et oui, même les plus créatifs ont souvent besoin d'inspiration. L'idée n'étant pas de copier, de plagier ou de dupliquer, mais simplement de trouver des pistes d'inspirations qui pourront engendrer nos élans créatifs. Réjouissons-nous : Internet est là pour nous aider !

Jamel

https://www.youtube.com/watch?v=icd1c3FpnC4&list=RDpgQBlPgdzY0&index=10

Dr. Jamel Tazarki
| 05-08-2015 11:36
Il est temps que le Tunisien s'engage dans des communautés scientifiques informelles sur internet, qui satisfont à son aspiration d'être reconnu en tant que scientifique, avec ses convictions propres. L'efficacité se mesure dans ces communautés à la capacité de créer des solutions ou d'analyser des problèmes de manière autonome.

La question qui se pose, est comment permettre aux (académiciens) Tunisiens d'accroître leurs ressources collectives nécessaires afin d'améliorer leur savoir et leur vie. Le moyen le plus efficace et le plus souple sont les réseaux de communication qui permettent à l'information de circuler depuis et vers la communauté tunisienne et peuvent ainsi renforcer nos ressources collectives. Internet répond bien à une telle vision. C'est en effet un véritable "média" de communication. Il peut être intégré dans une grande diversité de projets ayant des objectifs tels que la participation, la formation, l'éducation, la recherche participative, l'assistance technique et l'appui institutionnel. En somme, cet outil présente un réel intérêt pour le développement de notre pays.

Lorsqu'un projet fait intervenir des personnes qui ont besoin de communiquer et de partager de l'information par-delà les distances géographiques et les catégories sociales, entre des organisations et des systèmes de production, il devient nécessaire de mettre à leur disposition des systèmes flexibles de communication et de diffusion de l'information, qui sont Internet.

Les résultats des projets Internet ne sont pas seulement humains et sociaux mais aussi techniques et scientifiques. Internet est fondamentalement un outil qui permet de renforcer le savoir humain. Ainsi, les résultats assignés à un projet Internet devraient être mesurés en termes d'amélioration de l'accès au savoir et de sa diffusion. Il faut montrer à nos académiciens comment tirer parti de la souplesse d'Internet afin de satisfaire leurs besoins d'information et de communication pour atteindre leurs objectifs de développement.

Les interactions entre les individus à l'échelle internationale représentent le plus fort potentiel d'évolution que les nouvelles technologies de l'information et des communications permettent, voire imposent de prendre en compte à l'échelle planétaire. Il est temps d'aller au-delà des limites des frontières nationales pour se pencher sur une autre voie, la richesse d'innovation des échanges interhumains sans les contraintes inutiles de la race et du pays d'origine. Nous allons vers un monde plus collaboratif et responsable.

Quand les contraintes d'interactions entre individus dans une entreprise ou dans une communauté close n'ont pas de sens par rapport à ce qu'il est désormais possible de faire au dehors, elles sont alors perçues davantage comme des freins.

Il faut s'adapter à la culture du coopératif et du partage sur le développement de nos projets technologiques et sociaux sur Internet. Il s'agit d'aller beaucoup plus loin à présent. Le dialogue et l'interaction sont une nécessité à l'évolution non seulement de notre société mais aussi de ceux des pays du nord et de la race humaine en général. Il va falloir repenser la vie sociale et internationale en réseaux inter-reliées par les outils de la mobilité, du travail coopératif et du partage de la connaissance.

Je fais appel par cette occasion à tous les académiciens tunisiens de participer à partir de la Tunisie et via Internet à des projets scientifiques à l'échelle mondiale.

Jamel

http://www.go4tunisia.de/PDF/Pronostics_excerpt.pdf

http://www.go4tunisia.de/PDF/intelligence_artificielle.pdf

https://www.youtube.com/watch?v=9Pes54J8PVw


C'est dans l'intensité, la régularité et le renouvellement du débat socio-politique que se forge le gouvernement du peuple. La bonne santé de notre jeune démocratie tunisienne se mesure à ses contre-pouvoirs. Voilà pourquoi l'indépendance des médias, de la justice, l'activité syndicale et la qualité du débat parlementaire concernent tous les Tunisiens.