La journaliste de Radio Kef Fm, Hana Medfaïi a comparu, jeudi 26 février 2015, devant le juge d’instruction au Tribunal de première instance du Kef, pour le prononcé du verdict dans l’affaire intentée contre elle. Le juge a finalement prononcé un non-lieu pour la journaliste, selon Radio Kef. Le procès a été intenté à l’encontre de la journaliste par la délégation régionale de la protection de l’enfance, après qu’elle ait traité du sujet de l’harcèlement sexuel touchant les enfants. Hana Medfaïi était accusée de diffamation.
Notons que le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) avait déclaré dans un communiqué récent que les procès intentés contre la journaliste et d’autres confrères, constituent une véritable menace pour la liberté de la presse, ainsi qu’un premier pas vers le contrôle des contenus diffusés par les médias.
La journaliste de Radio Kef Fm, Hana Medfaïi a comparu, jeudi 26 février 2015, devant le juge d’instruction au Tribunal de première instance du Kef, pour le prononcé du verdict dans l’affaire intentée contre elle. Le juge a finalement prononcé un non-lieu pour la journaliste, selon Radio Kef. Le procès a été intenté à l’encontre de la journaliste par la délégation régionale de la protection de l’enfance, après qu’elle ait traité du sujet de l’harcèlement sexuel touchant les enfants. Hana Medfaïi était accusée de diffamation.
Notons que le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) avait déclaré dans un communiqué récent que les procès intentés contre la journaliste et d’autres confrères, constituent une véritable menace pour la liberté de la presse, ainsi qu’un premier pas vers le contrôle des contenus diffusés par les médias.
C'est incontestablement une bonne nouvelle pour cette journaliste qui est un modèle de professionnalisme et d'honnêteté, mais aussi une excellente nouvelle pour le journalisme, la Justice tunisienne et la liberté
La délégation régionale de la protection de l'enfance du Kef est priée de faire gaffe, avant de traîner en justice des journalistes qui n'ont rien à se reprocher ! A moins que ce ne soit le cas des responsables de cette délégation régionale de la protection de l'enfance... Qui se sent morveux se mouche ?
